| 1815 - 520 pages
...pou r" "i-je , à soixante ans , mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour * » ilét'ensc. » Je ne crains donc rien pour moi , mais je crains pour...les torches de la guerre civile , y apporte " aussi le ilc;,u de la guerre étrangère; il vient remettre notre pallie sous «son joug fle fer; il vient... | |
| France - 1815 - 160 pages
...tous » les jours les marques les plus touchantes de » son amour ; pourrai-je , à soixante eus , mieux » terminer ma carrière qu'en mourant pour...la France : celui qui vient allumer » parmi nous le» torches de la guerre civile , y » apporte aussi le fléau de la guerre étrangère ; » il vient... | |
| Paris (France) - 1815 - 440 pages
...je recueille chaque jour les preuves les plus douces de son amour et de sa fidélité. Pourrois-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière, qu'en mourant pour sa défense! ( Ici des cris de Vive le Roi! ont interrompu le Monarque ; et lorsque l'émotion générale lui a... | |
| 1815 - 428 pages
...recueille chaque jour les preuves les plus douces de son amour et de sa fidélité. Pourrait- je , à soixante ans, mieux terminer ma carrière, qu'en mourant pour sa défense ! (Ici des cris de five le Roi! ont interrompu le Monarque ; et lorsque l'émotion générale lui a... | |
| Jean-Baptiste-Germain Fabry - France - 1816 - 522 pages
...recueilli, je recueille tous les jours les. « marques les plus touchantes de son amour; » pourrais- je à soixante ans, mieux terminer ma » carrière qu'en...mais je » crains pour la France. » Celui qui vient parmi nous allumer les » torches de la guerre civile y apporte aussi le » fléau de la guerre étrangère.... | |
| Antoine Antoine - 1816 - 402 pages
...recueilli , je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour : pourrais -je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière^ qu'en...moi , mais je crains pour la France. Celui qui vient parmi nous allumer les torches de la guerre civile y apporte aussi le fléau de la guerre étrangère.... | |
| Jean-Gabriel Peltier - 1816 - 748 pages
...recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour ; pourrais-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en...pour sa défense?. , " Je ne crains donc rien pour mol, mais je crains pour la France. " Celui qui vient parmi nous allumer les torches de la guerre civile... | |
| Jean-Baptiste-Germain Fabry - France - 1817 - 516 pages
...seront, n'en'doutez pas, fidèles » aux traités qui nous ont rendu la paix. » ma carrière qu'én mourant pour sa défense ?.: » Je ne crains donc...mais » je crains pour la France. » Celui qui vient parmi nous allumer les » torclies de la guerre civile y apporte aussi le » fléau de la guerre étrangère... | |
| P. J. Lauze de Peret - France - 1818 - 428 pages
...produisit ces paroles mémorables ! L'élite de la France les entendit de la bouche du Roi : a Je ne crains rien pour moi , mais je » crains pour la France. Celui qui vient allumer » parmi.nous les torches de la guerre civile , y » apporte aussi le fléau de la guerre étrangère... | |
| Jean-Pierre Gallais - 1820 - 624 pages
...recueilli , je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour : pourrois-je, à soixante ans, mieux terminer ma carrière qu'en...défense? « Je ne crains donc rien pour moi; mais ]gl5 je crains pour la France : celui qui vient allumer parmi nous les torches de la Euerre civile... | |
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