Histoire politique et littéraire de la restauration |
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... n'avait plus qu'à attendre un maître : il se présenta bientôt . Le Directoire justifia par sa faiblesse les rigueurs de la Convention . Sous un gouvernement sans force et sans di- gnité , la guerre civile se réveilla . Jacobins et ...
... n'avait plus qu'à attendre un maître : il se présenta bientôt . Le Directoire justifia par sa faiblesse les rigueurs de la Convention . Sous un gouvernement sans force et sans di- gnité , la guerre civile se réveilla . Jacobins et ...
Page 21
... n'avait pas trop présumé de la complaisance du Sénat ; aucune protestation ne se fit entendre ni contre l'indignité de ce langage , ni contre le gouvernement provisoire que M. de Talleyrand avait arrêté la veille dans son salon , et qu ...
... n'avait pas trop présumé de la complaisance du Sénat ; aucune protestation ne se fit entendre ni contre l'indignité de ce langage , ni contre le gouvernement provisoire que M. de Talleyrand avait arrêté la veille dans son salon , et qu ...
Page 23
... n'avait plus d'armée . Un armistice , conclu par Marmont avec le prince de Schwartzenberg , avait été changé en une véritable défec- par les généraux Souham et Bordesoulle : le sixième corps passait à l'ennemi . Le lendemain , il est ...
... n'avait plus d'armée . Un armistice , conclu par Marmont avec le prince de Schwartzenberg , avait été changé en une véritable défec- par les généraux Souham et Bordesoulle : le sixième corps passait à l'ennemi . Le lendemain , il est ...
Page 28
... n'avait changé depuis vingt - cinq ans , un immense drapeau blanc se déploya au - dessus du pavillon de l'Horloge ; Paris apprit que le drapeau des Bourbons n'était pas celui de la France . " Après une journée consacrée à la joie du ...
... n'avait changé depuis vingt - cinq ans , un immense drapeau blanc se déploya au - dessus du pavillon de l'Horloge ; Paris apprit que le drapeau des Bourbons n'était pas celui de la France . " Après une journée consacrée à la joie du ...
Page 29
... n'avait exigé du prince le sacrifice auquel il se refusait . L'empe- reur Alexandre voulut que la constitution fût acceptée ; le Sénat donna au comte d'Artois le titre de lieutenant géné- ral , et le soir même se rendit aux Tuileries ...
... n'avait exigé du prince le sacrifice auquel il se refusait . L'empe- reur Alexandre voulut que la constitution fût acceptée ; le Sénat donna au comte d'Artois le titre de lieutenant géné- ral , et le soir même se rendit aux Tuileries ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée attaque avaient bataillons Benjamin Constant bientôt Blücher Bourbons budget c'était chambre des députés chambre des pairs Charles Charles X charte Châteaubriand chefs clergé commission comte d'Artois condamnés conseil constitution constitutionnel Corbière débats Decazes décidé déclara devant dévouement discussion division duc d'Angoulême duc de Richelieu duc de Wellington électeurs élections électorale enfin ennemis étrangères force Fouché gauche général Grouchy guerre heures hommes journaux jours l'armée l'article l'Autriche l'empereur l'Empire l'Etat l'Europe Labourdonnais laissait libéral liberté Ligny lois lord Castlereagh Louis XVIII lutte majorité malheur maréchal Ney membres menacée ment millions ministres monarchie n'avait n'était Napoléon nation nouvelle partout peuple politique pourtant pouvait pouvoir préfet presse prince proclamation projet de loi propos Prusse Prussiens publique Quatre-Bras réclamations refusa religion rentes repoussait Restauration reste Révolution royalistes royauté Royer-Collard Russie s'était séance Sénat sentiments serait seulement soldats souverains surtout Talleyrand tion trône troupes victoire Villèle Vitrolles voix vote Waterloo
Popular passages
Page 472 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 198 - J'en appelle à l'histoire ; elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais vint librement dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle...
Page 65 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 196 - En butte aux factions qui divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique et je viens comme Thémistocle m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois...
Page 178 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France; puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir...
Page 100 - Soldats, dans mon exil j'ai entendu votre voix ; je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général , appelé au trône par le choix du peuple et élevé sur vos pavois , vous est rendu: venez le joindre.
Page 131 - L'indignation de voir ces droits sacrés, acquis par vingtcinq années de victoires, méconnus et perdus à jamais, le cri de l'honneur français flétri, les vœux de la nation m'ont ramené sur ce trône qui m'est cher, parce qu'il est le palladium de l'indépendance, de l'honneur et des droits du peuple. » Français, en traversant, au milieu de...
Page 474 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 99 - Un prince qui régnerait sur vous, qui serait assis sur mon trône par la force des mêmes armées qui ont ravagé notre territoire, chercherait en vain à s'étayer des principes du droit féodal; il ne pourrait assurer l'honneur et les droits que d'un petit nombre d'individus ennemis du peuple, qui, depuis vingt-cinq ans, les a condamnés dans toutes nos assemblées nationales.
Page 131 - Empereur, consul , soldat , je tiens tout du peuple ; dans la prospérité , dans l'adversité , sur le champ de bataille . au conseil , sur le trône , dans l'exil , la France a été l'objet unique et constant de mes pensées et de mes actions.