Châtiments |
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... homme qui lutte pour la justice et la vérité trouvera toujours le moyen d'accomplir son devoir tout entier . >>> La toute - puissance du mal n'a jamais abouti qu'à des efforts inutiles . La pensée échappe toujours à qui tente de l ...
... homme qui lutte pour la justice et la vérité trouvera toujours le moyen d'accomplir son devoir tout entier . >>> La toute - puissance du mal n'a jamais abouti qu'à des efforts inutiles . La pensée échappe toujours à qui tente de l ...
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... homme , car la conscience de l'homme , c'est la pensée de Dieu . » V. H. » Les quelques lignes qu'on vient de lire , préface d'un livre mutilé , contenaient l'engagement de publier le livre complet . Cet engagement , nous le tenons ...
... homme , car la conscience de l'homme , c'est la pensée de Dieu . » V. H. » Les quelques lignes qu'on vient de lire , préface d'un livre mutilé , contenaient l'engagement de publier le livre complet . Cet engagement , nous le tenons ...
Page 7
... homme qui monte , Le manteau sur ses yeux ; Nul ne se doutera que j'apporte la honte A ce jour glorieux ; » J'irai plus aisément saisir mon ennemie Dans mes poings meurtriers ; La France ce jour - là sera mieux endormie Sur 7.
... homme qui monte , Le manteau sur ses yeux ; Nul ne se doutera que j'apporte la honte A ce jour glorieux ; » J'irai plus aisément saisir mon ennemie Dans mes poings meurtriers ; La France ce jour - là sera mieux endormie Sur 7.
Page 9
... homme du bénitier , l'homme de l'agio ; Quiconque est méprisable et désire être infâme ; Quiconque , se jugeant dans le fond de son âme , Se sent assez forçat pour être sénateur . Myrmidon , de César admire la hauteur . Lui , fait la ...
... homme du bénitier , l'homme de l'agio ; Quiconque est méprisable et désire être infâme ; Quiconque , se jugeant dans le fond de son âme , Se sent assez forçat pour être sénateur . Myrmidon , de César admire la hauteur . Lui , fait la ...
Page 10
... homme les avait lui - même ainsi placés , Et n'avait pas eu peur de tous ces fronts glacés . Ils étaient là , sanglants , froids , la bouche entr'ouverte , La face vers le ciel , blêmes dans l'herbe verte , Effroyables à voir dans leur ...
... homme les avait lui - même ainsi placés , Et n'avait pas eu peur de tous ces fronts glacés . Ils étaient là , sanglants , froids , la bouche entr'ouverte , La face vers le ciel , blêmes dans l'herbe verte , Effroyables à voir dans leur ...
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Common terms and phrases
abject Adieu aigles âme Austerlitz avez bagne Baroche Bonaparte boulevard Montmartre bourreaux bras brigands Cayenne César chante Chasse ciel cieux Citoyens clairon cœur crime d'airain debout décembre deuil devant Dieu drapeau empereur êtes Falstaff femme flots forçat frémissant frissonne front géants glaive gloire gouffre gueux HARMODIUS Haynau Hélas hideux homme honte humain hydre immonde infâme J'ai JEAN BOUSQUET Jersey jette jour joyeux l'aigle l'âme l'empire l'exil l'heure l'homme l'ombre Lacenaire Lazare LÉON FAUCHER liberté Magnan main Mandrin martyrs Maupas mêlés meurtre Miserere morne mort Napoléon nations Néron noir nuit ô douleur ô misère passé patrie Pauline Roland pensif peuple pieds pleurs poëte pontons président prêtre proscrits rayonne regard République rire rois Rouher sabre sacré saint sang sanglants Séjan sénateur Sibour sinistre soldats soleil sombre sort souffle spectre Tibre tombe tombeau tremble tribune Troplong tyrans vainqueur vent VICTOR HUGO vieux vivant vivre sans pain voix vote yeux
Popular passages
Page 212 - Waterloo ! Waterloo ! Waterloo ! morne plaine ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. D'un côté c'est l'Europe, et de l'autre la France. Choc sanglant ! Des héros Dieu trompait l'espérance ; Tu désertais, victoire ! et le sort était las.
Page 72 - Cria-t-elle; monsieur, il n'avait pas huit ans! Ses maîtres, il allait en classe, étaient contents. Monsieur, quand il fallait que je fisse une lettre, C'est lui qui l'écrivait. Est-ce qu'on va se mettre A tuer les enfants maintenant?
Page 214 - La Déroute, géante à la face effarée, Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons. Changeant subitement les drapeaux en haillons, A de certains moments, spectre fait de fumées, Se lève grandissante au milieu des armées, La Déroute apparut au soldat qui s'émeut, Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut!
Page 214 - Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête. Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur ! Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur, Tranquille, souriant à la mitraille anglaise, La garde impériale entra dans la fournaise.
Page 213 - II tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du combat, point obscur où tressaille La mêlée, effroyable et vivante broussaille, Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.
Page 217 - Comme le froid matin d'un jour mystérieux. Son âme palpitait, déjà presque échappée. Un jour enfin il mit sur son lit son épée, Et se coucha près d'elle, et dit: c'est aujourd'hui ! On jeta le manteau de Marengo sur lui. Ses batailles du Nil, du Danube, du Tibre, Se penchaient sur son front; il dit: Me voici libre! Je suis vainqueur ! je vois mes aigles accourir...
Page 333 - J'accepte l'âpre exil, n'eût-il ni fin ni terme, Sans chercher à savoir et sans considérer Si quelqu'un a plié qu'on aurait cru plus ferme, Et si plusieurs s'en vont qui devraient demeurer. Si l'on n'est plus que mille, eh bien, j'en suis! Si même Ils ne sont plus que cent, je brave encor Sylla; S'il en demeure dix, je serai le dixième: Et s'il n'en reste qu'un, je serai celui-là!
Page 71 - Son crâne était ouvert comme un bois qui se fend. L'aïeule regarda déshabiller l'enfant, Disant : - - Comme il est blanc! approchez donc la lampe. Dieu! ses pauvres cheveux sont collés sur sa tempe!
Page 76 - Coller l'empire sur ton mur; Puisque toute âme est affaiblie, Puisqu'on rampe, puisqu'on oublie Le vrai, le pur, le grand, le beau, Les yeux indignés de l'histoire, L'honneur, la loi, le droit, la gloire, Et ceux qui sont dans le tombeau; Je t'aime, exil ! douleur, je t'aime ! Tristesse, sois mon diadème! Je t'aime, altière pauvreté ! J'aime ma porte aux vents battue. J'aime le deuil, grave statue Qui vient s'asseoir à mon côté. J'aime...
Page 368 - République et violateur des lois, de ce Gouvernement né de la force et qui doit périr par la force, de ce Gouvernement élevé par le crime et qui doit être terrassé par le droit, le Français digne du nom de citoyen ne sait pas, ne veut pas savoir s'il ya quelque part des semblants de scrutin, des comédies de suffrage universel et des parodies d'appel à la nation : il ne s'informe pas s'il ya des hommes qui votent et des hommes qui font voter, s'il ya un troupeau qu'on appelle le Sénat et...