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Latitude cherchée.. l = 50.37.23,23.

Quand p excède les limites de la table, on calcule directement k sur l'équ. (B). (V. n° 285.) Mais sin' np = n2 sin' p quand p est très petit : on peut donc prendre la moitié de p, et quadrupler la valeur de k correspondante. Ainsi, pour p = 22′8′′, prenez 11′ 4′′, qui donne 240",42; quatre fois ce nombre produit 961′′,68, qui ne diffère pas sensiblement de 961",14, employé ci-dessus.

Supposons maintenant qu'on ait fait des observations de la même étoile à son passage supérieur; on aura d'autres valeurs

de z et de k; une partie du calcul précédent sera conservée, et donnera une autre quantité pour x, puis pour l. Soit donc

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c'est-à-dire que la déclin. supposée est trop forte de o",20.
On trouve dans la Base du système métrique, t. II, p. 613,
qu'en observant, à Barcelone, ? de la grande Ourse près des
passages au méridien, les moyennes des latitudes obtenues sont

Passage supérieur... l′ 41°22′ 43′′ 365
Passage inférieur. "= 41.22.44,806

Somme... =

8,171 Diff. +1,441

0,720.

Moy. ou vraie latitude. = 41.22.44,085

Demi-diff.. e=

C'est l'erreur de la déclinaison, qu'on a prise = 56° 0′ 16′′ 50.
La vraie déclin. de & grande Ourse est donc D=56.0.17,22.

Autres procédés pour obtenir la latitude du lieu.

151. Par la hauteur d'un astre, mesurée à une heure connue. Dans le triangle sphérique qzp (fig. 18) formé par l'astre 9, le zénith z et le pôle p, on connaît deux côtés et un angle opposé, savoir: 1o. pq=90°—D, 2°. qz=90o — h, et 3o. l'angle horaire p, qui résulte de l'heure de l'observation (no 124). On résout ce triangle par les équ. de la Trigonométrie sphérique (p. 7),

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On tire de la re de ces équ. la valeur de l'arc auxiliaire ; puis, conservant à le signe qu'à donné le calcul, la 2o fait connaître l+, et par suite l.

Le problème tombe dans les cas douteux, c'est-à-dire qu'il a deux solutions quand h>D, pourvu que les deux valeurs

de l soient <90°: mais il n'y a qu'une solution lorsque h<D, et aucune quand h> D avec p > 90°, ou bien h<D avec p>90°; on ne fait dans ces règles aucune attention au signe de D.

On se sert de cette méthode, lorsqu'on est sûr de l'heure, comme, par exemple, quand on a pris des hauteurs correspondantes (n° 136): mais elle a peu de précision quand l'astre est observé loin du méridien, parce qu'une petite erreur sur l'heure influe alors beaucoup sur la valeur qu'on obtient pour l

Le 6 octobre 1830 matin, on a pris une hauteur du Soleil, qui, toutes corrections faites, était h = 33° 43′ 46′′,1 ; il était au temps moyen. 10h34′ 3′′9 Soleil avance de... 11.44,5

'Donc en temps vrai. 10. 6.45.48,4.

Ainsi, l'angle horaire est p 1h 14′ 11′′,6 = 18° 32′ 54′′; enfin, on a.....

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=

--

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La valeur + > 90° ne convient pas au problème, parce qu'elle don nerait / négatif.

Le 20 septembre 1828 matin, en un lieu près de Paris, on a observé quatre distances zénith. du Soleil, savoir,

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La latitude a été obtenue par d'autres procédés; celle-ci n'est en erreur que de 33", quoique les observations fussent faites très loin du méridien. La seconde valeur de 1+, supplément de la ire, ne convient pas à la question, parce qu'elle donnerait l négatif.

152. Par hauteurs de la polaire. La méthode que nous allons exposer est due à M. Littrow; elle consiste à mesurer des hauteurs de l'étoile polaire en un lieu quelconque de son cours, et à noter les heures correspondantes. On groupe les observations par 4, ou par 6, consécutives, et pour chaque groupe, on regarde la moyenne des hauteurs comme contemporaine à la moyenne des heures. On y applique ensuite le calcul suivant.

Le pôle est en p (fig. 31), le zénith en z; le méridien est zp, n la polaire en un point quelconque de son cercle diurne nin', zp=90° -1; la distance polaire pn=d; enfin, zn=90o — h, h étant la hauteur de l'étoile, corrigée de la réfraction. Comme l'arc d n'est que d'environ 100', les côtés zp, zn, ne different entre eux que d'un petit arc x que nous nous proposons de calculer; zp-zn= x; ainsi h—l=x, d'où

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Soit p l'angle horaire actuel zpn de l'étoile, dans la position où elle a été observée; le triangle sphérique zpn donne (équ. 33, page 4)

cos zn=cos pn cos pz + sin pn sinpz cosp,

sin hcos d. sin (h-x)+ sin d cos (h-x) cosp.

Développons sin et cos(h-x), et divisons toute l'équ. par sinh,

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+sin d(cos x cot h + sin x) cos p,

1=cos x (cos d+sin dcoth cos p)—sin x (cosd coth—sind cosp):

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Or on a vu, qu'au 4o ordre près (v. page 3), sin d=d— ¿d3, cos d = 1 - d2,

d'où

a=1+dcosp cot hd-d3 cosp coth,
b=coth-d cosp-d' coth+d3 cosp.

Mais d'un autre côté, A, B, C désignant des coefficiens inconnus indépendans de d, on peut poser

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Nous ne mettons ici aucun terme exempt de d; car si l'étoile était située au pôle même, x serait visiblement nul; d'où l'on voit que x est une fonction de d, telle que do doitdonner x=0; det x sont nuls ensemble. Développons les sinus et cosinus de ce trinome, toujours jusqu'au 3° ordre, et nous aurons

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sin x= Ad+ Bd2 + (C― A3) ď3.

Substituant ces expressions dans l'équ. (1), ainsi que les valeurs de a et b, il vient, en ordonnant par rapport à d,

1=1+cosp coth.d-d

d3cos p cot h

-¦ A'd' —¦ A'd' cos p coth-ABď3

-A coth.d+A cospd+ Ad3 coth+Bd' cosp

-B coth.d-(C-A)dcot h.

Cette équ. est identique, et les termes où d est affecté des

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