Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 - France |
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... examiner si leur vie n'est pas encore une chose sacrée . Ne craignez - vous pas que dé- couragés d'avance à l'aspect de tant de malheurs et de difficultés , ils ne préfèrent leur antique esclavage à votre 2 CONVENTION NATIONALE .
... examiner si leur vie n'est pas encore une chose sacrée . Ne craignez - vous pas que dé- couragés d'avance à l'aspect de tant de malheurs et de difficultés , ils ne préfèrent leur antique esclavage à votre 2 CONVENTION NATIONALE .
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... chose publique depuis long - temps . Toutes les fois que la patrie était exposée à quelque danger , l'as- semblée constituante et l'assemblée législative tenaient des séances permanentes : je demande que la convention dé- crète que le ...
... chose publique depuis long - temps . Toutes les fois que la patrie était exposée à quelque danger , l'as- semblée constituante et l'assemblée législative tenaient des séances permanentes : je demande que la convention dé- crète que le ...
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... chose à me reprocher , c'est de n'avoir pas suivi le 10 août la première inspiration qui me disait de vous épargner la peine de juger longuement Louis XVI . » ( Rumeur ; longue agitation . ) ༥ Guadet . « Citoyens , c'est sans doute ...
... chose à me reprocher , c'est de n'avoir pas suivi le 10 août la première inspiration qui me disait de vous épargner la peine de juger longuement Louis XVI . » ( Rumeur ; longue agitation . ) ༥ Guadet . « Citoyens , c'est sans doute ...
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... chose de plus certain , c'est ce dont vous a parlé Camille . Ce n'est pas moi , mais quelqu'un dont je suis sûr , qui a vu un plan de faire partir le roi à Rouen . Il est certain que Mirabeau avait des liaisons avec la cour ; il allait ...
... chose de plus certain , c'est ce dont vous a parlé Camille . Ce n'est pas moi , mais quelqu'un dont je suis sûr , qui a vu un plan de faire partir le roi à Rouen . Il est certain que Mirabeau avait des liaisons avec la cour ; il allait ...
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... chose est manquée . » Marat . « Je demand e la parole . » Mailhe . « Pour terminer ce débat , je demande que les lettres soient renvoyées au comité des douze . » Marat remonte à la tribune . ( Applaudissements de quelques membres des ...
... chose est manquée . » Marat . « Je demand e la parole . » Mailhe . « Pour terminer ce débat , je demande que les lettres soient renvoyées au comité des douze . » Marat remonte à la tribune . ( Applaudissements de quelques membres des ...
Common terms and phrases
10 août accusé anglais applaudit armées assemblées primaires avez Barbaroux barre Bazire Boze Buzot calomnie Chabot ci-devant citoyens comité de surveillance conseil conspiration convention nationale coupable Couthon crime déclare décret défenseurs délibération demande la parole dénonciation départements députés despotisme discussion doit ennemis factieux faction Fermont Gensonné gouvernement Guadet guerre civile Haute-Loire hommes j'ai jugement de Louis justice l'accusé l'assemblée nationale l'inviolabilité l'ordre du jour Lanjuinais lettre liberté liste civile lois Louis Capet Louis XVI Louvet mande Marat membres ment mesure ministre motion municipalité murmures nation parceque patrie patriotes perfides Pétion Philippe Égalité pouvoir exécutif présente président principes procès de Louis procès-verbal projet prononcer proposition public publique Qu'avez-vous à répondre question rappelé renvoyer représentants du peuple république révolution Robespierre rois Roland royauté s'il SÉANCE section des Gardes-Françaises sections Septeuil sera seul souveraineté du peuple sûreté générale Tallien Thuriot tion toyens tribune trône tyran vention Viard voix
Popular passages
Page 408 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Page 121 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 247 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 76 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu?
Page 106 - Mirabeau qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon, que vous avez apostillé de votre main, et d'une lettre que Laporte vous écrivait le 19 avril, dans laquelle, vous rapportant une conversation qu'il avait eue avec Rivarol, il vous disait que les millions qu'on vous avait engagé...
Page 334 - Temple ; si le numéraire est rare, si vos armées sont mal approvisionnées, la cause en est au Temple ; si nous avons à souffrir chaque jour du spectacle de l'indigence, la cause en est au Temple ? Ceux qui tiennent ce langage n'ignorent pas cependant que la cherté du pain, le défaut de circulation dans les subsistances, la mauvaise administration dans les années, et l'indigence dont le spectacle nous afflige, tiennent à d'autres causes que celles du Temple.
Page 106 - ... et ce n'est qu'après la défaite de vos gardes, que vous avez changé de langage , et renouvelé des promesses perfides. Les preuves de ces faits sont dans vos observations du 18 septembre sur les décrets du...
Page 95 - Vous avez fait marcher une armée contre les citoyens de Paris ; vos satellites ont fait couler leur sang, et vous n'avez éloigné cette armée que lorsque la prise de la Bastille et l'insurrection générale vous ont appris que le peuple était victorieux. Les discours que vous avez tenus les 9, 12...
Page 100 - L'armée de ligne, qui devait être portée au pied de guerre, n'était forte que de cent mille hommes à la fin de décembre; vous aviez ainsi négligé de pourvoir à la sûreté de l'Etat.
Page 77 - Je ne m'explique point sur votre déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Elle contient de très-bonnes maximes propres à guider vos travaux ; mais des principes susceptibles d'applications et même d'interprétations différentes^, ne peuvent être justement appréciés, et n'ont besoin de l'être qu'au moment où leur véritable sens est fixé par les lois auxquelles ils doivent servir de première base.