Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 1
... j'ai toujours souverai- nement méprisés . Ce n'est point ma justification que j'en- treprends ; je ne crois pas en avoir besoin devant la majo- rité de la convention ; mais il est bon d'éclaircir certains faits : vous devez vous ...
... j'ai toujours souverai- nement méprisés . Ce n'est point ma justification que j'en- treprends ; je ne crois pas en avoir besoin devant la majo- rité de la convention ; mais il est bon d'éclaircir certains faits : vous devez vous ...
Page 6
... j'ai commis une erreur , elle n'appartient pas à mon cœur ; je dois vous don- ner une explication de ma pensée . Député par mes conci- toyens je ne me suis jamais regardé que comme chargé de ré diger un projet de constitution que le ...
... j'ai commis une erreur , elle n'appartient pas à mon cœur ; je dois vous don- ner une explication de ma pensée . Député par mes conci- toyens je ne me suis jamais regardé que comme chargé de ré diger un projet de constitution que le ...
Page 11
... J'ai à dénoncer à la convention un fait assez important pour qu'elle daigne m'accorder un moment d'attention . La nouvelle commune provisoire de Paris s'est permis un acte de violation à la loi , en écartant de son sein , par la voie du ...
... J'ai à dénoncer à la convention un fait assez important pour qu'elle daigne m'accorder un moment d'attention . La nouvelle commune provisoire de Paris s'est permis un acte de violation à la loi , en écartant de son sein , par la voie du ...
Page 16
... spécialement chargé de l'examen de sa vie . » Desmoulins . « J'interpelle Pétion : j'allai le voir quel- ques jours après l'enterrement de Mirabeau , je lui deman- dai pourquoi il n'y avait pas été . J'ai vu 16 CONVENTION NATIONALE . 2 ...
... spécialement chargé de l'examen de sa vie . » Desmoulins . « J'interpelle Pétion : j'allai le voir quel- ques jours après l'enterrement de Mirabeau , je lui deman- dai pourquoi il n'y avait pas été . J'ai vu 16 CONVENTION NATIONALE . 2 ...
Page 17
... J'ai vu , me dit - il , un plan de conspiration écrit de sa main . » Pétion . « Il est vrai que j'ai toujours été convaincu que Mirabeau joignait à de grands talents une profonde immo- ralité ; je crois que lorsque Lafayette trompait le ...
... J'ai vu , me dit - il , un plan de conspiration écrit de sa main . » Pétion . « Il est vrai que j'ai toujours été convaincu que Mirabeau joignait à de grands talents une profonde immo- ralité ; je crois que lorsque Lafayette trompait le ...
Common terms and phrases
10 août accusé anglais applaudit armées assemblées primaires avez Barbaroux barre Bazire Boze Buzot calomnie Chabot ci-devant citoyens comité de surveillance conseil conspiration convention nationale coupable Couthon crime déclare décret défenseurs délibération demande la parole dénonciation départements députés despotisme discussion doit ennemis factieux faction Fermont Gensonné gouvernement Guadet guerre civile Haute-Loire hommes j'ai jugement de Louis justice l'accusé l'assemblée nationale l'inviolabilité l'ordre du jour Lanjuinais lettre liberté liste civile lois Louis Capet Louis XVI Louvet mande Marat membres ment mesure ministre motion municipalité murmures nation parceque patrie patriotes perfides Pétion Philippe Égalité pouvoir exécutif présente président principes procès de Louis procès-verbal projet prononcer proposition public publique Qu'avez-vous à répondre question rappelé renvoyer représentants du peuple république révolution Robespierre rois Roland royauté s'il SÉANCE section des Gardes-Françaises sections Septeuil sera seul souveraineté du peuple sûreté générale Tallien Thuriot tion toyens tribune trône tyran vention Viard voix
Popular passages
Page 408 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse.
Page 121 - Mais j'ai été appelé deux fois au conseil de celui qui fut mon maître, dans le temps que cette fonction était ambitionnée par tout le monde; je lui dois le même service, lorsque c'est une fonction que bien des gens trouvent dangereuse.
Page 247 - Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 76 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté. Serait-il donc nécessaire de vous rassurer sur des bruits aussi coupables, démentis d'avance par mon caractère connu?
Page 106 - Mirabeau qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon, que vous avez apostillé de votre main, et d'une lettre que Laporte vous écrivait le 19 avril, dans laquelle, vous rapportant une conversation qu'il avait eue avec Rivarol, il vous disait que les millions qu'on vous avait engagé...
Page 334 - Temple ; si le numéraire est rare, si vos armées sont mal approvisionnées, la cause en est au Temple ; si nous avons à souffrir chaque jour du spectacle de l'indigence, la cause en est au Temple ? Ceux qui tiennent ce langage n'ignorent pas cependant que la cherté du pain, le défaut de circulation dans les subsistances, la mauvaise administration dans les années, et l'indigence dont le spectacle nous afflige, tiennent à d'autres causes que celles du Temple.
Page 106 - ... et ce n'est qu'après la défaite de vos gardes, que vous avez changé de langage , et renouvelé des promesses perfides. Les preuves de ces faits sont dans vos observations du 18 septembre sur les décrets du...
Page 95 - Vous avez fait marcher une armée contre les citoyens de Paris ; vos satellites ont fait couler leur sang, et vous n'avez éloigné cette armée que lorsque la prise de la Bastille et l'insurrection générale vous ont appris que le peuple était victorieux. Les discours que vous avez tenus les 9, 12...
Page 100 - L'armée de ligne, qui devait être portée au pied de guerre, n'était forte que de cent mille hommes à la fin de décembre; vous aviez ainsi négligé de pourvoir à la sûreté de l'Etat.
Page 77 - Je ne m'explique point sur votre déclaration des droits de l'homme et du citoyen. Elle contient de très-bonnes maximes propres à guider vos travaux ; mais des principes susceptibles d'applications et même d'interprétations différentes^, ne peuvent être justement appréciés, et n'ont besoin de l'être qu'au moment où leur véritable sens est fixé par les lois auxquelles ils doivent servir de première base.