Bièvre, au milieu de grands jardins de couvents, autres sépulcres. Je menais une vie que le monde aurait pu dire enterrée, n'ayant de société que celle du passé, et pour amis les peuples ensevelis. Refaisant leur légende, je réveillais en eux... Mignet, Michelet, Henri Martin - Page 205by Jules Simon - 1890 - 367 pagesFull view - About this book
| J. MICHELET - 1871 - 1028 pages
...promenade. Puis j'habitai vers la Bièvre, au milieu de grands jardins de couvents, autres sépulcres. Je menais une vie que le monde aurait pu dire enterrée, n'ayant de sociélé que celle du passé, et pour amis les peuples ensevelis. Refaisant leur légende, je réveillais... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1887 - 982 pages
...calomnie très terrible, dont il avait besoin de se laver visà-vis des siens. Il le fit surabondamment. histoire, et il le raconte à sa façon, qui est une...certains chants de nourrice, dont j'avais le secret, étaient d'un effet sûr. A l'accent, ils croyaient que j'étais un des leurs. Le don que saint Louis... | |
| Gustave Adolphe Henri Frédérix - French literature - 1900 - 438 pages
...promenade. Puis j'habitai vers la Bièvre, au milieu de grands jardins de couvents, autres sépulcres. Je menais une vie que le monde aurait pu dire enterrée,...Certains chants de nourrice dont j'avais le secret étaient d'un effet sûr, A l'accent, ils croyaient que j'étais un des leurs. Le don que Saint-Louis... | |
| Fortunat Strowski - Authors, French - 1912 - 582 pages
...lui-même? Il s'en expliqua d'une façon bien poétique et se défendit en beau style. Écoutons-le : « J'avais une belle maladie qui assombrissait ma jeunesse....certains chants de nourrice, dont j'avais le secret, étaient d'un effet sûr. A l'accent, ils croyaient que j'étais un des leurs. Le don que saint .Louis... | |
| Fortunat Strowski - Authors, French - 1912 - 564 pages
...lui-même? Il s'en expliqua d'une façon bien poétique et se défendit en beau style. Écoutons-le : « J'avais une belle maladie qui assombrissait ma jeunesse....certains chants de nourrice, dont j'avais le secret, étaient d'un effet sûr. A l'accent, ils croyaient que j'étais un des leurs. Le don que saint Louis... | |
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