mettre dans la société, ibid. Le commanditaire sera-t-il
tenu de rapporter tous les bénéfices qu'il avait prélevés anté-
rieurement à la faillite de la société ? p. 103. Sera-t-il re-
gardé comme associé en nom collectif si l'extrait affiché ne
contient pas le montant des valeurs versées par lui dans la
commandite? p. 110. S'il ne fait que des transactions com-
merciales réciproques avec les maisons commanditées, il ne
sera pas sous le coup de l'article 27, ibid. L'associé
commanditaire ne peut faire aucun acte de gestion, p. 114.
Il est permis de prouver par témoins qu'il s'est mêlé de
la gestion, p. 115. Le commanditaire a le droit d'entendre
les rapports sur les administrations, etc., ibid. Pour qu'il y ait
lieu à l'application de l'article 27, il faut que les gérans re-
présentent, comme gérans, la maison commanditée, p. 117.
En cas de contravention à la prohibition de l'article 27,
l'associé commanditaire devient associé pur et simple, p, 118.
Le commanditaire, devenu associé pur et simple, a-t-il
la qualité de commerçant? p. 119, Si, poursuivi par les
créanciers, il a payé toutes les dettes, a-t-il un recours con-
tre ses co-associés solidaires? p. 121. Devra-t-il satisfaire à
toutes les dettes depuis le commencement de la société?
P. 123.
Complimentaires ou commandités, p. 94. Eux seuls peu-
vent administrer la commandite. Eux seuls peuvent former
le nom social, p. 95. Si un acte de société représente le com-
mandité comme commanditaire, les créanciers de cette so-
ciété pourront-ils prétendre qu'elle n'a de commandite que
le nom, et qu'elle doit être considérée comme pure et simple?
ibid.
Courtiers de commerce. Ils ne peuvent faire aucune opéra- tion de commerce, p. 69. Ceux qui font des négociations, par l'intermédiaire des commis, sont punissables d'amende et de destitution, p. 76.
Engagemens des associés entre eux. La société commence à l'instant même du contrat, s'il ne désigne une autre époque, p. 51. Alors chaque associé devient débiteur de la société de tout ce qu'il a promis d'y apporter, ibid. L'associé est tenu comme le vendeur, ibid. Il ne répond pas des accidens de force majeure, p. 52. Secus, s'il avait été mis en demeure de livrer, p. 53. Les mêmes règles ne s'appliquent pas lors- qu'il s'agit de la livraison de corps indéterminés, ibid. - Pour apprécier la responsabilité de la société, il faut exami- ner si les biens mis dans la société y sont apportés pour la propriété, ou pour la jouissance, p. 54. L'associé devient, de plein droit, débiteur des intérêts de la somme qu'il devait mettre dans la société, ibid. Les associés qui devaient ар- porter leur industrie dans la société, lui doivent compte de tous les gains qu'ils ont faits par l'espèce d'industrie qui est l'objet de cette societé, ibid. Associés créanciers de la so-
ciété, p. 56. Quid si des associés abandonnent, pour désin- téresser leurs créanciers, non seulement leur mise sociale, inais tout ce qui leur appartient en propre ? ibid.
Un asso- cié a action contre ses co-associés à raison des obligations contractées de bonne foi pour le compte de la société, et des risques inséparables de sa gestion, p. 57. et suiv.
Engagemens des associés à l'égard des tiers. Quid si un
associé s'engage vis-à-vis d'un tiers? p. 41 et suiv. Quand
l'associé a reçu, de la société, mission de contracter pour
elle, comment se fait entre les associés la répartition des det-
tes? p. 43. Doit-on préférer les créanciers de la société aux
créanciers particuliers des associés? p. 45.
Enregistrement des sociétés. Définition de l'enregistre¬
ment, p. 62. Droit d'enregistrement, p. 63. Droit fixe,
droit proportionnel, ibid. Droit proportionnel simple, droit
de mutation, p. 64.
Faillite. Une cause de dissolution des sociétés commercia-
les, p. 348. Longue dissertation à cet égard, ibid. et suiv.
Il y a faillite, quand il 'y a cessation de paiemens, p. 356.
Comment se constate la cessation de paiemens, p. 357. Il
n'y a pas faillite, par cela seul que le passif surpasse l'ac-
tif, ibid. Comment se déclare la faillite, p. 358. Consé-
quences de la déclaration de faillite, p. 359 et suiv. L'associé
qui meurt avant la déclaration de faillite de la société, meurt
integri status, p. 360.
Hypothèque légale. La femme d'un associé a-t-elle une hypothèque légale sur les immeubles de la société pour ses reprises matrimoniales? p. 86.
Liquidation d'une société, Définition de la liquidation, p. 361. On peut nommer un'ou plusieurs liquidateurs, p. 362., Fonctions de l'administrateur, ibid. Caractère de la procura- tion générale donnée au liquidateur, discussion à ce sujet, p. 363 et suiv.
Liquidateur, Il faut qu'il soit nommé expressément, p. 379.
Mineurs. Si des mineurs sont intéressés dans une contes- tation pour raison d'une société commerciale, le tuteur ne pourra renoncer à la faculté d'appeler du jugement, p. 339.
Monopole. Il est sévèrement puni par l'art. 419 du code pénal, p. 25. Grave question à ce sujet, p. 26. Il ne suffit pas qu'il y ait eu intention de monopole; il faut encore qu'il se soit réalisé pour qu'il y ait lieu à l'application de l'art. 419, p. 34.
Partage. Définition du partage, p. 6o. Quid, lorsque l'acte de société ne détermine point la part de chaque associé dans les bénéfices ou pertes? p. 61. Quid, si les associés sont convenus de s'en rapporter à l'un d'eux ou à un tiers pour le réglement des parts? ibid. Forme du partage, p. 62. (Un tiers, cessionnaire des droits d'un sociétaire, peut-il être écarté du partage, soit par tous les co-associés, soit par un seul, en lui remboursant le prix de la cession? p. 48 et suiv.
Quand une société commerciale est dissoute, doit-on suivre les règles prescrites pour le partage des sociétés civiles? p. 65. Voir aussi pour le Partage des sociétés commerciales la page 374.
Pret. Celui qui fournit des fonds à une maison de commerce sous le titre de prêt et avec les conditions applicables au seul contrat de prêt, sera néanmoins réputé associé comman ditaire, s'il s'est réservé le droit de prendre communication des registres, etc., p. 101.
Société. De la société en général, p. 5. Définition de
la société, p. 6. Distinction à faire entre la société et
la communauté, ibid. Choses essentielles au contrat de
société, p. 9 et suiv. La société doit être contractée pour
l'intérêt commun des parties, p. 9. Chaque associé doit
apporter de l'argent, ou d'autres biens, ou son industrie,
p. 10. Quid. quand une obligation est contractée par l'un des
associés? ibid. But licite de toute société, p. 13. Société
universelle, p. 15. Nature de cette société, ibid. et suiv.
Cette société ne comprend pas les gains illicites, p. 17. - Ne
comprend pas non plus les biens qui arrivent par legs, succes-
sion ou donation, p. 18.-Société universelle de gains, p. 19.
Elle renferme tout ce que les parties acquièrent par leur
industrie, ibid. Aussi les choses acquises par un sociétaire
dans l'exercice de sa profession, p. 20. Il faut que tous
les gains soient licites, ibid. Toute société universelle ne peut
avoir lieu qu'entre personnes respectivement capables de se
donner, p. 22.
Société particulière. Elle existe pour certaines choses dé-
terminées, pour leur usage, pour les fruits à en percevoir,
p. 23. Diverses questions, p. 24 et 25. La société particu-
lière existe encore, lorsque plusieurs personnes s'associent,
soit pour une entreprise désignée, soit pour l'exercice de
quelque métier ou profession', p. 25.
Société particulière entre un associé et un tiers. Un
« PreviousContinue » |