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II

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1,75 5,0c à midi. 7,25 à 6m. + 0,50 + 6,9cà 6 m. 8,50 à 10s.+ 4 25+ 7,90 à midi.. +8,75 à 6m. + 4.20 + 875 à 10 m. +8,icà 6 m. +3,25 +7,90 à midi.. 11,75 à 9 s. 5.35 +11,00 à 9 m. + 7,00 à 3m. + gà 9%m.+ 5,2 là 9s. +

11 à 3 s. 12 à 3 s. 13jà midi.

3,50+ 9,10 à 9 S 1,50 +7.00 à 3 m. 2,75 + 475 à 9 s. +375 à 10s+ 0,25 + 3.60 à lo s

S

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850 a 6.- 0,75 +7,75 a 10 in. +12,90 à 6m. +7,50 +11,90 à 10 +14.1 à 10 s. + 8,25 +14,10 à 10 s. là 3 5. +15,1ca6m. +7,10+12,60 a 6 m.. 14 15 à midi. +12,85 à 10 s. + 6,00 +12 85 à 10 s. 16 à midi. +11,5cà 6m. + 3.00+11,50 à 6 m. +7,5c16 m. +3,15+ 7,25 à 6 s. 9,10 6 m. + 4,25 +7,90 à 9m. à +7.75 à 4s.+3,25 +7,75 à 9s. 7,00 à 6 m. + 4,00 + 7,00 à 9 S +8,50 a 10s.+ 3,40+ 7,60 à 9 s 10,00 à 5m. +0,75 + 9,00

17

2 S.

18 à 3 s. 19 à midi. 20 à midi. 21 à 3 s. 22 à 3 s. 23 à 3 s. 24 là 3s. 25 à 3 s. 26 à 3 s. 27 à 3s.

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69c à 6 m. + 60+ 5,60 à 10s.
+7,75 a 5m.+2.75 + 6,75 à 8 m.
+11,00
à 6 m.
+4.00 + 9.75 à 6 m....
11,50a 5 in.+ 2,25 + 9,75 à 11
+9,60 à 5m.+ 1,00+ 9.00 à 9 m.
+5,50 à 5 m. — 0,854,40 à 10 s..
3,50 à 54 m.
+ 6,25 à 5 m. —
5m.-

28 à 3 s. 29 à 3 s.

Jo à 3 s.

31 à 3 s.7.60

Moyennes.+ 8,69;

2,cof+ 3,40 à 9 m.
1,755,00 à II m.
3,00+7,25 à 1cm.

2518,071

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.745,20 à 6s..
743,7 à 5 s
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.763,1×à 9 s.

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m.

.757,98 a 9 s.
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à 10 S

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757,52 à 6 m
.758,58 a 9.s..
755.3c6 m..
753.42 à 3s.

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761,22 à 4 s... 564,00 à 6 m -764,74 10 s.

759.00 à 3 s.

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.761,40 à minuit.

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756,211

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6,8

6,0

760,70 762-88 6,8 .726,72 757,88 7,7 756/21 759,189,8

753,26 759.14

9,4

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752,14 755,208,0

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.759,22 760 68 9,2

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7.7

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..759,96 761,187,0

...

..

NOTA. Nous continuerons cette année à exprimer la température au degré du thermomètre cen centièmes de millimètre. Comme les observations faites à midi sont ordinairement celle qu'on le thermomètre de correction. A la plus grande et à la plus petite élévation du baromètre conclus de l'ensemble des observations, d'où il sera aisé de déterminer la température moyenne conséquent, son élévation au-dessus du niveau de la mer. La température des caves est également

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tigrade, et la hauteur du baromètre suivant l'échelle métrique, c'est-à-dire en millimètres et emploie généralement dans les déterminations des hauteurs par le baromètre, on a mis à côté et du thermomètre, observés dans le mois, on a substitué le maximum et le minimum moyens, du mois et de l'année, ainsi que la hauteur moyenne du baromètre de l'Observatoire de Paris, et par exprimée en degrés centésimaux, afin de rendre ce Tableau uniforu.e.

DES MÉTHODES

CLASSIQUES ET NATURELLES APPLIQUÉES A LA GÉOGRAPHIE PHYSIQUE.

PREMIER MÉMOIRE.

PAR M. TOULOUZAN DE SAINT-MARTIN

LES rapides progrès des connoissances humaines ne datent que de cette époque récente, où quelques génies supérieurs les soumirent à des règles et à des méthodes qui, en classant ce qui étoit acquis, préparèrent encore les moyens d'acquérir davantage.

Au premier rang se placent les sciences exactes. Depuis longtemps on en avoit défini les principes, déterminé les bases et tracé les opérations; mais ce n'est qu'entre les mains de Newton qu'elles sont devenues un instrument aussi puissant qu'universel. Après l'impulsion qu'il leur a donnée, le travail progressif des siècles doit suffire pour les conduire à ce terme de perfection que l'homme peut espérer d'atteindre.

Au second rang apparoissent les sciences naturelles. Nées de l'observation, éclairées plus tard par l'expérience, elles s'agrandirent tout d'un coup par les secours qu'elles empruntèrent des sciences exactes; mais cet emprunt, qui conduisit avec une incroyable rapidité à la connoissance des grands phénomènes en faisant remarquer des rapports, jusque-là inconnus, entre le ciel et la terre, ne suffisoit point encore pour l'étude des faits particuliers dont le nombre toujours croissant encombroit toutes les voies et laissoit perdre le fil des affinités. Pressé de jouir et de contempler l'ensemble de ses travaux, le naturaliste ne pouvoit s'élever à des idées générales qu'à l'aide d'un système que renversoient aussitôt tous les faits qui n'y trouvoient point leur

place; et cet édifice, si souvent reconstruit, s'écrouloit chaque fois qu'on tentoit de l'élever jusqu'au comble.

Enfin Linné parut. Il fut dans les sciences naturelles ce que Newton avoit été dans les sciences exactes. A l'instinct observateur dont la nature l'avoit doué, il sut joindre cet esprit classique qui met de l'ordre dans ses acquisitions et de l'exactitude dans ses procédés. Si les systèmes brillans d'imagination séduisirent encore les gens du monde, le vrai naturaliste n'en suivit pas moins avec persévérance la route que Linné venoit de lui ouvrir. Ses travaux obscurs et arides dans le commencement atteignirent à la fin des résultats heureux. Parvenu à savoir, il lui fut permis de communiquer sa science, et maître de son sujet, il put l'orner à son tour des charmes du style et des richesses de l'éloquence.

Alors seulement les sciences naturelles prirent une marche ferme et assurée. Le catalogue des faits fut dressé avec méthode; désormais aucun ne pouvoit se perdre ni s'égarer. Tandis que l'observateur grossissoit de ses découvertes ce recueil précieux, le méthodiste s'efforçoit de le ramener à un ordre naturel, et le philosophe, trouvant sous sa main les matériaux tout disposés, les rassembloit avec plus de certitude, et arrivoit à des théories de plus en plus approchantes de la vérité.

Quant aux sciences morales et politiques que je place au troisième rang, la nature même de leurs recherches s'opposoit à cette précision qui seule autorise l'homme à dire qu'il sait tout ce qu'il possède et qu'il possède tout ce qu'il sait. La logique malgré ses règles sévères, la métaphysique malgré ses subtiles distinc tions, l'Histoire même malgré ses importantes leçons, n'ont pu conduire à la définition des principes, condition nécessaire pour arriver à des résultats positifs. Si elles ont voulu fournir leur contingent d'utilité dans la masse des connoissances humaines,, il a fallu qu'elles aient emprunté des sciences exactes et naturelles, des formules et des méthodes qui en effet. les ont affermies et consolidées.

Je conclus donc que ces formules et ces méthodes sont des moyens d'une nécessité absolue et d'un usage indispensable dans toutes les opérations de l'homme.

Ne doit-on pas s'étonner alors que, jusqu'à ce jour, elles n'aient point été introduites dans la Géographie physique, elle qui forme le noeud des sciences positives et qui est en quelque sorte le réservoir commun des faits sur lesquels elles opèrent.

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Deux motifs paroissent s'être opposés à cette innovation dent la nécessité se fait de plus en plus sentir.

Le premier se fonde sur la liaison malentendue de la Géographie physique ou naturelle, et de la Géographie politique ou humaine. Ce sont deux arbres fort différens qui, ayant poussé à la même époque et crû sur le même terrain, se sont, pour ainsi dire, greffés par le tronc de manière à ne pouvoir plus discerner leurs branches et leurs rameaux. Aussi a-t-on crié au scandale chaque fois qu'on a voulu tenter une séparation qui auroit également perfectionné la culture de ces deux arbres, mais en contrariant trop fortement les pratiques d'une routine de plus de soixante siècles tellement il est dans la nature de l'homme de répéter ses habitudes d'enfance et d'opposer une stupide vénération aux progrès des lumières et aux volontés du temps.

J'avoue que ce respect est un frein nécessaire aux passions humaines, et que dans les choses morales il est presque la seule garantie de l'ordre social. Mais dans les choses naturelles la raison et l'expérience ordonneront toujours impérieusement de suivre la nature. N'est-il pas de toute évidence que le domaine de l'homme changeant toujours, tandis que celui de la nature ne change jamais, le géographe ne pourra diriger à-la-fois deux patrimoines dont les divisions et les limites n'ont point été tracées par la même main, ni posées d'après les mêmes principes? La séparation est donc indispensable; le premier motif est donc réfuté.

Le second se fonde sur des objections multipliées qui ont été faites contre les méthodes des naturalistes en général, et auxquelles le succès de ce genre de travail, qui ne réforme que pour rectifier et régulariser, a depuis long-temps victorieusement répondu. Mais il s'agit de savoir si ces méthodes, devenues habituelles malgré tant d'oppositions, peuvent être applicables à la description de la terre considérée dans son état naturel. On peut bien classer méthodiquement, dira-t-on, les minéraux, les végétaux, les animaux, en tout ce qu'on appelle espèces et individus; mais ranger dans un ordre régulier des montagnes, des fleuves, des régions entières d'après des principes naturels, invariables, certains dans leur application," c'est ce qui paroît impossible, d'autant que la condition néces saire de toute méthode classique est de laisser subsister les rapports et de faire connoître les objets avec tout ce qui en dépend,

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