J. C. F. Manso's Geschichte des preussischen Staates vom Frieden zu Hubertsburg bis zur zweiten Pariser Abkunft: Bd. 1763-1797

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Page 57 - Prusse pensait que le règlement de 1473, étant un simple arrangement de famille, pouvait être changé par la famille sans que personne y pût trouver à redire. La maison d'Autriche soutenait au contraire : 1) que ce règlement était une vraie pragmatique sanction, qui, ayant été formellement confirmée par l'empereur et l'Empire, ne pouvait être altérée que de leur consentement; 2) que les mêmes raisons d'équilibre...
Page 282 - I7(j4i et on ^ arriver à Berlin trois ambassadeurs extraordinaires , le comte de Lehrbach , de la part de l'Autriche , lord Malmesbury, de la part de la Grande-Bretagne, et le prince de Nassau, envoyé par l'impératrice Catherine avec une lettre autographe de cette souveraine pour le monarque prussien. Au milieu de ce dédale de difficultés, le baron de Thugut s'imagina qu'il serait possible de parler de paix , en proposant l'ouverture...
Page 235 - Brunswick , que ces événemens entraînèrent hors de sa circonspection accoutumée, oubliant sa manière de voir exprimée récemment à Bischoffswerder, tint à peu près le même langage. Après la revue , rassemblant les principaux officiers et parlant avec eux de la campagne qu'on allait ouvrir, il leur dit : « Messieurs , pas tant d'embarras , pas » trop de dépense , tout ceci ne sera qu'une promenade mili
Page 235 - pas trop de chevaux, dit Bischoffswerder à plusieurs officiers > de marque ; la comédie ne durera pas long-temps. Les fumées » de la liberté se dissipent déjà à Paris. L'armée des avocats sera » bientôt anéantie en Belgique , et nous serons de retour dans
Page 154 - An introduction to the history of the Dutch Republic for the last ten years, reckoning from the year 1777, (by SIR J.
Page 57 - Ce pacte de famille chan gait les dispositions d'un règlement de succession arrêté en 1473, dans la maison de Brandebourg, qui portait que, s'il n'y avait qu'un seul margrave dans la maison, il lui serait libre de réunir les états de toutes les branches, mais que s'il y en avait deux, l'atné aurait l'électorat, et le cadet les terres de Franconie.
Page 315 - Infante, ni dans le cas d'une nouvelle élection et n'employèrent point leur influence pour déterminer le choix de la République dans l'un ou l'autre cas en faveur d'un Prince hors d'un concert mutuel entre elles.
Page 236 - Checoglione, s'écria-t-il assez haut, comment at-on pu laisser entrer cette canaille? il fallait en balayer quatre ou cinq cents avec du canon, et le reste courrait encore.
Page 298 - ... mais d'arbitre de l'Europe, en balançant ainsi le despotisme maritime et le despotisme continental? Quelle haute et sublime mission ! Mais la paix , conclue dans des vues rétrécies, et au mépris de l'intérêt commun, fit perdre à Frédéric-Guillaume de sa propre considération, et à la. monarchie prussienne de son prestige de gloire. Ajoutons que si, dix ans plus tard , la Prusse fut tout à coup précipitée dans l'abîme , on doit l'imputer à sa persévérance obstinée dans un système...
Page 37 - Dantzig avec son territoire exceptés2), de même que du district de la grande Pologne en deçà de la Netze, en longeant cette rivière depuis la frontière de la nouvelle Marche jusqu'à la Vistule près de Fordon ef Solitz; de sorte que la Netze fasse la frontière des états de Sa Majesté le Roi de Prusse, et que cette rivière lui appartienne en entier...

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