Histoire physique, civile et morale des environs de Paris,: depuis les premiers temps historiques jusqu'a nos jours; contenant l'histoire et la description du pays et de tous les lieux remarquables compris dans un rayon de vingt-cinq à trente lieues autour de la capitale; ...Guillaume, ... Ponthieu, ... P. Corneille, 1825 - Paris (France) |
Common terms and phrases
appartemens assez aujourd'hui avaient bâti bâtimens bientôt bois Bois-d'Arcy bourg calcaire canton canton de Sèvres cardinal Carnutes célèbre cent châ chapelle chapitre Charles château château de Saint-Cloud Châteaufort Chaville Chenay Chevreuse choeur Clamart Cloud colline comtes de Chartres construction Couche file cour cure d'Orléans dame députés destiné Dourdan Dreux eaux église élèves enfin environs Épernon époque évêque femme Gallardon guerre Guyencourt habitans hameau Henri jardins jour Jouy jusqu'à l'abbaye l'abbé Lebeuf l'an l'église l'évêque lieu long-temps Louis XIV Louvois madame de Maintenon maison Mansard ment Meudon monarque Montlhery Montreuil monumens nommé parc de Versailles Parc-aux-Cerfs paroisse passa pavillon peuple pieds pierre plaine population porte première prieuré prince Rambouillet religieux remarquable rent reste réuni rivière Rocquencourt royale saint Saint-Cloud Saint-Cyr salle sculp seigneurs seule Sèvres siècle sieurs situé teau terre tion Trianon troupes trouve vaste Vaucresson village Ville-d'Avray Villepreux voit Voyez la gravure
Popular passages
Page 124 - Crouiwell ; on répand que je veux établir un gouvernement militaire. Reprcsentans du peuple ! si j'avais voulu opprimer la liberté de mon pays, si j'avais voulu usurper l'autorité suprême , je ne me serais point rendu aux ordres que vous m'avez donnés ; je n'aurais pas eu besoin de recevoir cette autorité du Sénat. Plus d'une fois, et dans des circonstances extrêmement favorables, j'ai été appelé à la prendre.
Page 124 - J'étais tranquille à Paris lorsque je reçus le décret du conseil des anciens, qui me parla de ses dangers, de ceux de la République. A l'instant j'appelai , je retrouvai mes frères d'armes , et nous vînmes vous donner notre appui ; nous vînmes vous offrir les bras de la nation, parce que vous en étiez la tête.
Page 257 - Nous ne pouvons tourner nos baïonnettes contre des femmes qui nous demandent du pain. Le comité des subsistances malverse ou est incapable d'administrer son département : dans les deux cas il faut le changer. Le peuple est malheureux, la source du mal est à Versailles : il faut aller chercher le...
Page 253 - Je vous ordonne, Messieurs, de vous séparer tout de suite, et de vous rendre demain matin chacun dans les Chambres affectées à votre ordre, pour y reprendre vos séances. J'ordonne, en conséquence, au grand-maître des cérémonies de faire préparer les salles.
Page 127 - S'il faut s'expliquer tout à fait, s'il faut nommer les hommes, je les nommerai, Je dirai que les directeurs Barras et Moulins m'ont proposé de me mettre à la tête d'un parti tendant à renverser tous les hommes qui ont des idées libérales.
Page 253 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 224 - plus fortement est de n'oublier jamais les obliga« tions que vous avez à Dieu... Souvenez-vous que « vous lui devez tout ce que vous êtes « Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. « J'ai trop aimé la guerre : ne m'imitez pas en cela, « non plus que dans les trop grandes dépenses que
Page 255 - ... j'ai donné ordre aux troupes de s'éloigner de Paris et de Versailles. Je vous autorise et vous invite même à faire connaître mes dispositions à la capitale.
Page 123 - Qu'avez-vous fait de cette France que je vous ai laissée si « brillante? Je vous ai laissé la paix, j'ai retrouvé la guerre; « je vous ai laissé des victoires , j'ai retrouvé des revers; je vous « ai laissé les millions de l'Italie, et j'ai trouvé partout des lois « spoliatrices et de la misère.
Page 195 - ... quatorzième, outre une infinité de gens nécessaires à la danse et à la comédie, et d'artisans de toutes sortes venus de Paris ; si bien que cela paraissait une petite armée.