La liberté, Volume 1 |
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Page 22
... juges , par les créations de juridictions , par les détentions arbitraires , par l'évocation des causes , par la cassa- tion des jugements , par le droit de faire grâce ; les productions de l'esprit étaient soumises à la censure ; le ...
... juges , par les créations de juridictions , par les détentions arbitraires , par l'évocation des causes , par la cassa- tion des jugements , par le droit de faire grâce ; les productions de l'esprit étaient soumises à la censure ; le ...
Page 41
... juges de Louis XVI . Ce représentant du peuple français ne savait pas la langue de sa patrie adoptive . La cour et le parti de la cour ne comprennent pas ce grand caractère de la Révolution , parce qu'ils n'ont songé qu'à des intérêts ...
... juges de Louis XVI . Ce représentant du peuple français ne savait pas la langue de sa patrie adoptive . La cour et le parti de la cour ne comprennent pas ce grand caractère de la Révolution , parce qu'ils n'ont songé qu'à des intérêts ...
Page 65
... juges de leurs propres droits ; et l'autorité royale , qui garantissait leurs pri- viléges , les maintenait en même temps dans les li- mites consacrées par la coutume ou par les titres de propriété . On peut dire d'une façon générale ...
... juges de leurs propres droits ; et l'autorité royale , qui garantissait leurs pri- viléges , les maintenait en même temps dans les li- mites consacrées par la coutume ou par les titres de propriété . On peut dire d'une façon générale ...
Page 85
... juges seigneuriaux furent soumis de plus en plus à la sur- veillance et à l'autorité des magistrats royaux . Enfin , la plupart des dignités ecclésiastiques , toutes les charges de la cour , les grades dans les corps privi- légiés , le ...
... juges seigneuriaux furent soumis de plus en plus à la sur- veillance et à l'autorité des magistrats royaux . Enfin , la plupart des dignités ecclésiastiques , toutes les charges de la cour , les grades dans les corps privi- légiés , le ...
Page 90
... juges différentes au criminel selon ceux qui payaient cent livres de capitation , exemptaient leurs en- fants et un apprenti ; ceux qui payaient cinquante livres , exemp- taient l'aîné de leurs enfants ; il n'y avait plus d'exemptions ...
... juges différentes au criminel selon ceux qui payaient cent livres de capitation , exemptaient leurs en- fants et un apprenti ; ceux qui payaient cinquante livres , exemp- taient l'aîné de leurs enfants ; il n'y avait plus d'exemptions ...
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Common terms and phrases
absolu août besoin c'est-à-dire cause chap chose citoyen clergé Code civil cœur commun conseil conseil des Cinq-Cents consentement conséquent constitution contrat créer Déclaration décret despotisme devoir Dieu dire divorce doctrine doit donner enfants enfants adultérins époux esprit Esprit des lois états généraux famille femme féodalité fond force gouvernement hommes humaine impôts intérêts juges justice l'absolutisme l'amour l'Assemblée l'autorité l'égalité l'État l'homme l'impôt l'intérêt législation légitime lettres de cachet liberté libre lit de justice loi naturelle lois Louis XIV Louis XVI maître mari mariage Mémoires de Saint-Simon ment mœurs monarchie monde nation nature nécessaire nobles noblesse parlement passions paternelle pensée père personne peuple philosophie politique pouvait pouvoir premier priété principe privée privilége propriétaire propriété publique qu'un raison règle religion reste Révolution rien royale royaume s'il seigneurs sentiment séparation de corps sera seul siècle social société sorte souverain tiers tiers état tion travail Voilà volonté vrai δὲ καὶ τὸ
Popular passages
Page 451 - Toutes les propriétés sont inviolables , sans aucune exception de celles qu'on appelle nationales, la loi ne mettant aucune différence entre elles.
Page 378 - LE premier qui, ayant enclos un terrain, s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire , fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 365 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 365 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 366 - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page 380 - Dans tout pays où les droits du peuple ne sont pas de vains titres consignés fastueusement dans une simple déclaration, le pillage de quelques magasins, à la porte desquels on...
Page 377 - Vous imaginez-vous aussi que ce soit par quelque voie naturelle que ces biens ont passé de vos ancêtres à vous ? Cela n'est pas véritable. Cet ordre n'est fondé que sur la seule volonté des législateurs, qui ont pu avoir de bonnes raisons, mais dont aucune n'est prise d'un droit naturel que vous ayez sur ces choses. S'il leur avait plu d'ordonner que ces biens, après avoir été possédés par les pères durant leur...
Page 38 - Mais une constitution qui est faite pour toutes les nations, n'est faite pour aucune : c'est une pure abstraction, une œuvre scolastique faite pour exercer l'esprit d'après une hypothèse idéale, et qu'il faut adresser à l'homme dans les espaces imaginaires où il habite.
Page 441 - Elle (la vente) est parfaite entre les parties, et la propriété est acquise de droit à l'acheteur à l'égard du vendeur dès qu'on est convenu de la chose et du prix, quoique la chose n'ait pas encore été livrée ni le prix payé.
Page 364 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou les règlements.