La cité du mal; ou, Les corrupteurs du siècle |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 20
... lui - même dans ses facultés et dans ses œuvres . L'Ange de la terre avait entendu les suggestions de Satan et le cri d'orgueil de l'homme . S'approchant , et , de son sceptre lumineux , repoussant l'Esprit d'erreur dans ses ténèbres ...
... lui - même dans ses facultés et dans ses œuvres . L'Ange de la terre avait entendu les suggestions de Satan et le cri d'orgueil de l'homme . S'approchant , et , de son sceptre lumineux , repoussant l'Esprit d'erreur dans ses ténèbres ...
Page 21
... lui oppose , telle est donc la vocation de l'humanité , tel est son droit ; ce droit , elle le tient de Dieu même qui l'en in- vestit au jour où il la mit en possession de son vaste empire par cette parole de bénédiction : « Croissez et ...
... lui oppose , telle est donc la vocation de l'humanité , tel est son droit ; ce droit , elle le tient de Dieu même qui l'en in- vestit au jour où il la mit en possession de son vaste empire par cette parole de bénédiction : « Croissez et ...
Page 36
... lui - même , où voulez - vous que la science s'en aille sinon aux ténèbres , à l'erreur , au mal ? Où voulez - vous qu'elle mène les peuples , sinon au pen- chant des abîmes ? Aussi , à toutes les époques de déca- dence , l'accouplement ...
... lui - même , où voulez - vous que la science s'en aille sinon aux ténèbres , à l'erreur , au mal ? Où voulez - vous qu'elle mène les peuples , sinon au pen- chant des abîmes ? Aussi , à toutes les époques de déca- dence , l'accouplement ...
Page 40
... soi - même , le dévouement pour les autres , tel est le génie de la littérature chrétienne , parce que c'est le génie du christianisme , dont cette littérature doit re- produire uniquement les sentiments , les pensées et les éternelles ...
... soi - même , le dévouement pour les autres , tel est le génie de la littérature chrétienne , parce que c'est le génie du christianisme , dont cette littérature doit re- produire uniquement les sentiments , les pensées et les éternelles ...
Page 43
... même la plus avilie . Cette impulsion , c'est le mouvement même de la vie cherchant son idéal et s'efforçant de l'imiter , et cet idéal c'est la beauté de Dieu s'épanchant dans l'âme humaine et lui communiquant comme un reflet de ses ...
... même la plus avilie . Cette impulsion , c'est le mouvement même de la vie cherchant son idéal et s'efforçant de l'imiter , et cet idéal c'est la beauté de Dieu s'épanchant dans l'âme humaine et lui communiquant comme un reflet de ses ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
abîmes adorer âme avez beau Béranger blasphème Bossuet Bouddha catholicisme céleste chair chants Chateaubriand choses chrétienne Christ christianisme ciel cieux civilisation cœur conscience croix croyances culte dégradation déisme Descartes désert désespoir devant Dieu divin doctrine dogmes EDGAR QUINET enfants esprit éternelle flétri fleurs fond génie génie du mal genre humain gloire hommes idées intel intelligences j'ai jamais Jésus Jésus-Christ joie jour l'abîme l'âme l'Église l'enfer l'esprit humain l'histoire l'homme l'humanité l'univers Lamartine Lamennais libre examen livre lui-même lumière main ment misère mœurs monde morale mort nations nature nuit ombres panthéiste parole partout passé passions pauvre pensée peuples philosophie Platon poëte pouille prêtre principes progrès protestantisme Proudhon puissance qu'un raison religieux religion révélation rien ruines s'est sagesse saint SAND sang Satan science sent sera seul siècle social société soleil sophisme sortir souf souffle splendeurs sublime systèmes tempête ténèbres terre théisme tion triomphe universelle vérité vice voilà voix
Popular passages
Page 383 - Je repose avec plaisir mes yeux sur cette figure plébéienne, après avoir regardé tant de faces royales; je compare ces types si différents : sur les fronts monarchiques on voit quelque chose d'une nature élevée, mais flétrie, impuissante, effacée; sur les fronts démocratiques paraît une nature physique commune, mais on reconnaît une nature intellectuelle, haute : le front monarchique a perdu la couronne ; le front populaire l'attend.
Page 273 - ET LE VERBE S'EST FAIT CHAIR, et il a habité parmi nous...
Page 357 - J'écoute, j'applaudis et poursuis mon chemin. Sous les rois absolus je trouve un Dieu despote ; On nous parle aujourd'hui d'un Dieu républicain. Pythagore et Leibnitz transfigurent mon être. Descartes m'abandonne au sein des tourbillons.
Page 357 - Enfin sort des brouillards un rhéteur allemand Qui, du philosophisme achevant la ruine, Déclare le ciel vide, et conclut au néant.
Page 104 - Peut-être ce soleil vers qui l'homme est penché, Ce soleil qu'on appelle à l'horizon qu'il dore, Ce soleil qu'on espère est un soleil couché! » — Seigneur! est-ce vraiment l'aube qu'on voit éclore? Oh ! l'anxiété croît de moment en moment. N'y voit-on déjà plus? n'y voit-on pas encore?
Page 35 - Vous vouliez pétrir l'homme à votre fantaisie; Vous vouliez faire un monde. — Eh bien, vous l'avez fait. Votre monde est superbe, et votre homme est parfait ! Les monts sont nivelés, la plaine est éclaircie; Vous avez sagement taillé l'arbre de vie; Tout est bien balayé sur vos chemins de fer; Tout est grand...
Page 217 - Lisez ce petit livre qui est le catéchisme ; vous y trouverez une solution de toutes les questions que j'ai posées, de toutes sans exception. Demandez au chrétien d'où vient l'espèce humaine, il le sait ; où elle va, il le sait ; comment elle va, il le sait.
Page 405 - un prêtre, n'est-ce pas? » M.Lamennais répondit: « Non. » La nièce reprit: «Je t'en supplie.» Mais il dit d'une voix plus forte : « Non, non, non; qu'on me laisse en paix. » Un peu après, la nièce s'étant approchée du lit, et ayant dit :
Page 301 - Moïse ; de là jusqu'aux patriarches , et jusqu'à l'origine du monde! Quelle suite, quelle tradition, quel enchaînement merveilleux ! Si notre esprit naturellement incertain , et devenu par ses incertitudes le jouet de ses propres raisonnements , a besoin , dans les questions où il y va du salut...
Page 329 - Vous trouverez en moi de ces immenses abîmes, de ces vastes sentiments concentrés que les niais appellent des vices; mais vous ne me trouverez jamais ni lâche ni ingrat.