Mémoires de Louvet de Couvrai sur la révolution française, Volume 1 |
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Common terms and phrases
10 août 10 mars amis armée assassins assez auroit avoient avoit Barbaroux Barère bientôt brave Brissot Buzot c'étoient c'étoit calomnies cher citoyens Comité conjurés Conseil général conspiration Convention Convention nationale Cordeliers courage crimes d'Orléans Danton décret demande dénoncer départemens députés despotisme devenoit devoient devoit digne dire disoit Dumouriez enfin ennemis étoient étoit eût faction faisoit falloit Fayette femme Finistère foible forfaits fût Gironde Guadet heures hommes j'ai j'avois j'étois Jacobins jamais jour journée l'Assemblée laisser législative lendemain liberté Lodoïska Marat massacres MAXIMILIEN ROBESPIERRE Mémoires de Louvet ment mille ministre Mme Roland Montagne motion n'avoit nationale nuit passer patrie patriotes péril Pétion pourtant pouvoient pouvoir proscrits qu'à qu'un Quimper représentans du peuple républicains République reste Révolution rien Robespierre Roland Rostrenen s'il sauver séance section section des Lombards septembre seroit seul soir tion traîtres tribune trouver tyrans Valady venoient venoit Vergniaud vint vouloit voyoit Wimpffen
Popular passages
Page 189 - ... qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les Français s'écrieront comme les Parisiens : « Nous marchons à l'ennemi, mais nous ne...
Page 189 - ... trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les français s'écrieront comme les parisiens : nous marchons à l'ennemi -, mais nous ne laisserons pas derrière nous ces brigands, pour égorger nos enfants et nos femmes.
Page 188 - Frères et amis, un affreux complot tramé par la Cour, pour égorger tous les patriotes de l'empire français, complot dans lequel un grand nombre de membres de l'Assemblée nationale...
Page 103 - Robespierre , je t'accuse d'avoir depuis long-temps calomnié les plus purs, les meilleurs patriotes; je t'en accuse, car je pense que l'honneur des bons citoyens et des...
Page 104 - Je t'accuse de t'être continuellement produit comme un objet d'idolâtrie; d'avoir 'souffert que devant toi l'on dît que tu étais le seul homme vertueux de la France, le seul qui pût sauver la patrie , et de l'avoir vingt fois donné à entendre toi-même ! » Je t'accuse d'avoir tyrannisé l'assemblée électorale de Paris par tous les moyens d'intrigue et d'effroi !
Page xxv - La liberté! — Elle est pour les âmes fières qui méprisent la mort, et savent à propos la donner. Elle n'est pas pour ces hommes faibles qui temporisent avec le crime, en couvrant du nom de prudence leur égoïsme et leur lâcheté.
Page 112 - ... conspirateurs audacieux. Mais des hommes d'un jour, de petits entrepreneurs de révolution, des politiques qui n'entreront jamais dans le domaine de l'histoire, ne sont pas faits pour occuper le temps précieux que vous devez aux grands travaux dont le peuple) vous a chargés.
Page 162 - Commune ; je me rends de là à l'hôtel de la Force avec plusieurs de mes collègues. Des citoyens assez paisibles obstruaient la rue qui conduit à cette prison ; une très-faible garde était à la porte ; j'entre...
Page 95 - Messieurs, nous voici donc à l'époque fatale : pourrai-je contenir mon indignation? Les prétendus amis du peuple ont voulu rejeter sur le peuple de Paris les horreurs dont la première semaine de septembre fut souillée; ils lui ont fait le plus mortel outrage , ils l'ont indignement calomnié. Je le connais, le peuple de Paris, car...
Page 163 - Et les hommes qui jugeaient , et les hommes qui exécutaient avaient la même sécurité que si la loi les eût appelés à remplir ces fonctions ; ils me vantaient leur justice , leur attention à distinguer les...