Mémoires sur la Restauration: ou souvenirs historiques sur cette époque, la révolution de juillet et les premières années du règne de Louis-Phillippe Ier, Volume 3L. Hauman, 1836 - France |
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Page 11
... Pendant toute l'année de 1814 , l'armée , toute ré- duite qu'elle était , n'avait RIEN reçu pour son habillement , excepté pour quelques régimens prévi- légiés . L'armée était entièrement nue ! ... les manu- factures de draps , pour les ...
... Pendant toute l'année de 1814 , l'armée , toute ré- duite qu'elle était , n'avait RIEN reçu pour son habillement , excepté pour quelques régimens prévi- légiés . L'armée était entièrement nue ! ... les manu- factures de draps , pour les ...
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... pendant ce temps que se forma le corps des fédérés , fort de quinze mille hommes . La Res- tauration , dans le Moniteur de Gand , parle avec une entière ignorance de ce corps de fédérés : elle disait qu'il était formé de tout le rebut ...
... pendant ce temps que se forma le corps des fédérés , fort de quinze mille hommes . La Res- tauration , dans le Moniteur de Gand , parle avec une entière ignorance de ce corps de fédérés : elle disait qu'il était formé de tout le rebut ...
Page 18
... pendant une demi - journée entière . Le général Dejean en ap- porta au maréchal Ney ; quels étaient - ils ? proba- blement d'attaquer . Pendant ce temps les Anglais remuaient de la terre et se fortifiaient . C'est incompréhensible ! Il ...
... pendant une demi - journée entière . Le général Dejean en ap- porta au maréchal Ney ; quels étaient - ils ? proba- blement d'attaquer . Pendant ce temps les Anglais remuaient de la terre et se fortifiaient . C'est incompréhensible ! Il ...
Page 23
... - fayette ! ... Un conseil de régence ! ... Et pourquoi faire ? » Mais si l'empereur était frappé , il faudrait que pendant la minorité ... » -Oh ! s'empressa d'interrompre M. de La- fayette , DE LA DUCHESSE D'ABRANTES . 23.
... - fayette ! ... Un conseil de régence ! ... Et pourquoi faire ? » Mais si l'empereur était frappé , il faudrait que pendant la minorité ... » -Oh ! s'empressa d'interrompre M. de La- fayette , DE LA DUCHESSE D'ABRANTES . 23.
Page 30
... pendant que le canon prussien et la cavalerie anglaise abattaient les mu- railles d'hommes qui lui fermaient l'entrée de la France , il négociait à Gand , avec les puissances alliées , afin d'obtenir leurs secours pour lui - même . Dans ...
... pendant que le canon prussien et la cavalerie anglaise abattaient les mu- railles d'hommes qui lui fermaient l'entrée de la France , il négociait à Gand , avec les puissances alliées , afin d'obtenir leurs secours pour lui - même . Dans ...
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Common terms and phrases
armée arriva assez avaient Barrère bataille bataille de Waterloo belle Berthier Blacas Blücher Bonnay Bory de Saint-Vincent Bourbons brave c'était Carnot cent-jours chambre Châteaubriand chef cheval chose cocarde cœur commandant comte conduite conseil crois Davoust demanda députés devait dire dit-il duc d'Aumont duc d'Otrante duc de Piennes duchesse duchesse d'Aumont Dupin enfans enfin époque faisait femme Fouché frère Gand garde nationale général Lamotte guerre heures homme j'ai jour juger l'abdication l'ame l'armée l'em l'empereur Lavalette long-temps Louis XVIII Lucien madame de Staël madame Récamier main major Lambot malheureux maréchal Brune maréchal Ney mari Marseille Masséna ment Michel Ney ministre monsieur Montagnat mort n'avait n'était Napoléon non-seulement officiers parler paroles patrie pensée pereur peuple police porte pouvait prince princesse prit raison Réal Restauration révolution royale sang sauver serait seulement soldats surtout Talleyrand terrible tête tion tricolore troupes trouva Tuileries voix voulait vrai Waterloo Wellington
Popular passages
Page 97 - Je connais tous les corps, et aucun d'eux ne remportera un avantage signalé sur l'ennemi, que je ne rende justice au courage qu'il aura déployé. Vous et moi nous avons été calomniés. Des hommes indignes d'apprécier vos travaux ont vu, dans les marques d'attachement que vous m'avez données, un zèle dont j'étais le seul objet. Que vos succès futurs leur apprennent que c'était la patrie par-dessus tout que vous serviez en m'obéissant, et que, si j'ai quelque part à votre affection, je...
Page 58 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 9 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 81 - Mon gouvernement devait faire des fautes ; peut-être en at-il fait. Il est des temps où les intentions les plus pures ne suffisent pas pour diriger, où quelquefois même elles égarent : l'expérience seule pouvait avertir ; elle ne sera pas perdue.
Page 58 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 58 - ... j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me -paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée, et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II.
Page 201 - ... à tout droit de souveraineté et de domination, tant sur l'empire français et le royaume d'Italie, que sur tout autre pays.
Page 81 - ... mon Gouvernement devait faire des fautes ; peut-être en at-il fait. Il est des temps où les intentions les plus pures ne suffisent pas pour* diriger , où quelquefois même elles égarent.
Page 97 - ... obéissant, et que si j'ai quelque part à votre affection je la dois à mon ardent amour pour la France , notre mère commune. Soldats! encore quelques efforts, et la coalition est dissoute. Napoléon vous reconnaîtra aux coups que vous allez porter. Sauvez l'honneur, l'indépendance des Français ; soyez jusqu'à la fin tels que je vous ai connus depuis vingt ans, et vous serez invincibles.
Page 147 - Mais aujourd'hui que les puissans efforts de nos alliés ont dissipé les satellites du tyran , nous nous hâtons de rentrer dans nos états, pour y rétablir la constitution que nous avions donnée à la France; réparer, par tous les moyens qui sont en notre pouvoir, les maux de la révolte et de la guerre qui en a été la suite nécessaire ; récompenser les bons, mettre à exécution les lois existantes contre les coupables ; enfin...