Lucien Bonaparte et ses mémoires, 1775-1840: d'après les papiers déposés aux archives étrangères et d'autres documents inédits ...Charpentier, 1882 |
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Lucien Bonaparte et ses mémoires, 1775-1840: d'après les papiers déposés aux ... Théodore Jung,Théodore Iung No preview available - 1882 |
Common terms and phrases
ambassadeur arrivé assez avez Badajoz beau Beauharnais belle Bernadotte brave brumaire c'était Cambacérès Cevallos cher Lucien chose citoyen Consul citoyen Lucien citoyen sénateur citoyenne Minette cœur consulaire Corse Corvisart crois d'Espagne devait diplomatie dire disait donner doute duchesse Égypte Élisa Espagne eût famille femme général général Saint-Cyr gouvernement guerre homme Hortense j'ai j'avais j'en j'étais jamais Joseph et moi Joséphine jours l'honneur Leclerc Légion Légion d'honneur lettre Louis LOUIS BONAPARTE Louisiane Lucien Bonaparte m'avait m'en madame de Staël mademoiselle mademoiselle Georges Madrid mari mariage ment mère mier Consul ministre moi-même Murat n'avait n'en n'était Napoléon négociation Note de Lucien paix parler passer pense personne plaisir politique Portugal pouvait premier Consul présent prince princesse de Canino projet raison reine répondit républicain République reste rien s'était Saint-Cyr Saint-Domingue savez second Consul sentiments serait seul sœur sujet surtout Talleyrand tion traité tribunat trouvait vérité voulait vrai
Popular passages
Page 426 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître. Chrétien, je remplirai ces obligations jusqu'à mon dernier soupir...
Page 426 - Loin de là ; il 1ns établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. « J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur...
Page 421 - J'ai reçu, monsieur, votre lettre; je vous remercie des choses honnêtes que vous m'y dites. Vous ne devez pas souhaiter votre retour en France; il vous faudrait marcher sur cent mille cadavres.
Page 420 - Depuis long-temps , général , vous devez savoir que mon estime vous est acquise. Si vous doutiez que je fusse susceptible de reconnaissance , marquez votre place , fixez le sort de vos amis. Quant à mes principes , je suis Français : clément par caractère , je le serai encore par raison.
Page 202 - Légion , jurera, sur son honneur, de se dévouer au service de la république , à la conservation de son territoire dans son intégrité , à la défense de son gouvernement , de ses lois , et des propriétés qu'elles ont consacrées ; de combattre par tous les moyens que la justice , la raison et les lois autorisent , toute entreprise tendant à rétablir le régime féodal , à reproduire les titres et qualités...
Page 420 - Vous avez accepté une place éminente, et je vous en sais gré. Mieux que personne, vous savez ce qu'il faut de force et de puissance pour faire le bonheur d'une grande nation. Sauvez la France de ses propres fureurs, vous aurez rempli le premier vœu de mon cœur; rendez-lui son roi et les générations futures béniront votre mémoire. Vous serez toujours trop...
Page 421 - Nous pouvons assurer la gloire de la France. Je dis nous , parce que j'ai besoin de Bonaparte pour cela, et qu'il ne le pourrait sans moi. Général, l'Europe vous observe, la gloire vous attend, et je suis impatient de rendre la paix à mon peuple. Louis.
Page 421 - Non, le vainqueur de Lodi, de Castiglione, d'Arcole, le conquérant de l'Italie et de l'Egypte ne peut pas préférer à la gloire une vaine célébrité.
Page 415 - Quelques grands seigneurs d'Italie qui prêtent leurs maisons, et qui font, pour bien vivre avec les Français, des bassesses souvent inutiles, sont des gens ou mécontents des gouvernements que nous avons détruits, ou forcés par les circonstances à paraître aimer le chaos qui les remplace, ou assez ennemis de leur propre pays pour nous aider à le déchirer, et se jeter sur les lambeaux que nous leur abandonnons.
Page 75 - Talleyrand , le général chargé de cette mission parmi ceux dont le nom ne rappelle que des victoires , dont le génie sait unir à la sagesse qui conçoit des plans hardis, la vigueur et la fermeté qui les exécutent. » Aucune suite ne fut donnée à ce projet. Lucien Bonaparte, alors ambassadeur en Espagne, signa avec le Portugal un traité, qui fut sans doute déterminé par les négociations déjà ouvertes avec l'Angleterre.