Histoire de Napoléon Bonaparte: à l'usage de la jeunesseFenwick de Porquet, 1840 - 408 pages |
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... jusqu'à l'excès : il dévorait tous les livres . Ses pro- fesseurs le vantaient comme un des meilleurs sujets de l'école . Pichegru , si célèbre depuis , était alors son maître de quartier et son répétiteur sur l'arithmétique ; il ...
... jusqu'à l'excès : il dévorait tous les livres . Ses pro- fesseurs le vantaient comme un des meilleurs sujets de l'école . Pichegru , si célèbre depuis , était alors son maître de quartier et son répétiteur sur l'arithmétique ; il ...
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... jusqu'à la tête , qui lui demanda ce qu'il y avait pour son service . Napoléon présenta la lettre qui le chargeait de venir , sous ses ordres , diriger les opérations de l'artillerie . " C'est bien inutile , " lui dit le général , 66 en ...
... jusqu'à la tête , qui lui demanda ce qu'il y avait pour son service . Napoléon présenta la lettre qui le chargeait de venir , sous ses ordres , diriger les opérations de l'artillerie . " C'est bien inutile , " lui dit le général , 66 en ...
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... car la garde nationale de cette époque était un objet de la plus haute importance , puisqu'elle comptait jusqu'à cent quatre bataillons . Napoléon forma aussi une garde du Directoire , et recomposa 40 HISTOIRE DE NAPOLÉON BONAPARTE .
... car la garde nationale de cette époque était un objet de la plus haute importance , puisqu'elle comptait jusqu'à cent quatre bataillons . Napoléon forma aussi une garde du Directoire , et recomposa 40 HISTOIRE DE NAPOLÉON BONAPARTE .
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... présence : tout demeura tranquille jusqu'à son départ pour l'armée d'Italie . Une Dame Créole ; Joséphine Tascher de la Pagerie , veuve du général de Beauharnais dont la tête était tombée E 2 RÉPUBLIQUE . — de 1795 à 1796 . 41.
... présence : tout demeura tranquille jusqu'à son départ pour l'armée d'Italie . Une Dame Créole ; Joséphine Tascher de la Pagerie , veuve du général de Beauharnais dont la tête était tombée E 2 RÉPUBLIQUE . — de 1795 à 1796 . 41.
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... jusqu'à deux lieues de Turin . Dans cet état de choses la cour de Sardaigne ne sachant plus quel parti prendre , abandonnée des Autri- chiens qui semblaient ne s'occuper que de couvrir Milan , demanda un armistice , Napoléon l'accorda ...
... jusqu'à deux lieues de Turin . Dans cet état de choses la cour de Sardaigne ne sachant plus quel parti prendre , abandonnée des Autri- chiens qui semblaient ne s'occuper que de couvrir Milan , demanda un armistice , Napoléon l'accorda ...
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Common terms and phrases
Aboukir Alexandre alliés Alvinzi Anglais apprit armée armes arriva attaquer Augereau Autrichiens avaient bataillon Bernadotte Bonaparte Bourienne Bourmont braves camp campagne Carra-Saint-Cyr cavalerie cent mille hommes champ de bataille CHAPITRE cinq cents cinquante mille combat commandant conseil conseil des Cinq-Cents corps Corps-Législatif d'artillerie Decrès devant Directoire division drapeaux ennemis eût fesait forces Gantheaume garde gauche général en chef gloire gouvernement Grande-Armée grenadiers guerre héros heures Joséphine jours l'Adige l'Angleterre l'armée d'Italie l'armée française l'Autriche l'Egypte l'Empereur l'ennemi l'Europe l'île laissa Lannes Louis XVIII malheureux Mantoue marche maréchal Masséna ment militaire ministre Moreau mort Moscou Murat n'avait Napo Napoléon Bonaparte Napoléon fit nation officiers paix passer patrie pendant peuple pièces de canon poléon pont porta Premier Consul prisonniers prit proclamation Prusse quartier-général repoussa République Cisalpine reste retraite Rhin Russes s'était seul soldats Talleyrand tête tion Toulon traité d'Amiens trône troupes trouva vaisseaux victoire vingt mille voulait Wurmser
Popular passages
Page 366 - Français me conserveront les sentiments d'amour dont ils me donnent tant de preuves, cette rage de nos ennemis sera impuissante. Français, ma volonté est celle du peuple, mes droits sont les siens: mon honneur, ma gloire, mon bonheur, ne peuvent être autres que l'honneur, la gloire et le bonheur de la France!
Page 387 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 384 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 343 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 204 - Tout ce qui peut contribuer au bien de la Patrie est essentiellement lié à mon bonheur. J'accepte le titre que vous croyez utile à la gloire de la nation. « Je soumets à la sanction du peuple la loi de l'hérédité. » J'espère que la France ne se repentira jamais des honneurs dont elle environnera ma famille. Dans tous les cas, mon esprit ne sera plus avec ma postérité, le jour où elle cesserait de mériter l'amour et la confiance de la grande nation.
Page 367 - S'ils entrent en France , ils y trouveront leur tombeau. Soldats, nous avons des marches forcées à faire, des batailles à livrer, des périls à courir ; mais , avec de la constance , la victoire sera à nous ; les droits de l'homme et le bonheur de la patrie seront reconquis.
Page 140 - ... fidélité inviolable à la souveraineté du peuple, à la République française une et indivisible, à la liberté, à l'égalité et au système représentatif, i L'Assemblée se sépara et les consuls se rendirent à Paris, au palais du Luxembourg.
Page 162 - Un soldat tel que moi peut justement prétendre A gouverner l'État, quand il l'a su défendre. Le premier qui fut roi fut un soldat heureux : Qui sert bien son pays n'a pas besoin d'aïeux.
Page 367 - L'oppression et l'humiliation du peuple français sont hors de leur pouvoir ! S'ils entrent en France, ils y trouveront leur tombeau. " Soldats ! nous avons des marches forcées à faire, des batailles à livrer, des périls à courir ; mais avec de la constance, la victoire sera à nous; les droits, l'honneur et le bonheur de la patrie seront reconquis ! " Pour tout Français qui a du cœur, le moment est arrivé de vaincre ou de périr.
Page 367 - Anglais, vous fassent le récit de leurs pontons et des maux affreux qu'ils ont soufferts! » Les Saxons, les Belges, les Hanovriens, les soldats de la Confédération du Rhin gémissent d'être obligés de prêter leurs bras à la cause des princes ennemis de la justice et des droits de tous les peuples. Ils savent que cette coalition est insatiable ! Après avoir dévoré douze millions de Polonais, douze millions d'Italiens, un million de Saxons, six millions de Belges, elle devra dévorer les...