Mémoires, Volume 11 |
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affaires aurait avaient Barbé-Marbois baron Pasquier Bausset bles Bourbon Buonaparte C'était cabinet cause certes chagrin chambre des députés chambre des pairs chambre élective charte château chelieu chose comte de Vaublanc comte Decazes concordat Condé conseil consentir conséquence coupables couronne d'état départemens dire dis-je discours donner duc d'Angoulême duc d'Orléans duc de Berri duc de Blaccas duc de Feltre duc de Ri duc de Richelieu duchesse de Berri eût famille François Ier frère gouvernement homme intrigues j'ai j'aurais j'avais j'en j'étais jour l'empereur Laîné laisser libéraux loi des élections LOUIS XVIII m'en m'était madame la duchesse maison Majesté majorité maréchal ment messieurs mesure ministre monarchie Monsieur n'avait n'était neveu nistère note secrète parler passer pavillon Marsan police politique porte portefeuille pouvait premier président prétendait prince de Talleyrand rentrée reste révolution rien royale royaume serait session seul sire tion trône ultra vait Villèle voulait
Popular passages
Page 397 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
Page 27 - Vous connaîtrez, messieurs, et la France entière connaîtra la profonde peine que j'ai dû ressentir; mais le salut même de mon royaume rendait cette grande détermination nécessaire; et quand je l'ai prise, j'ai senti les devoirs qu'elle m'imposait. J'ai ordonné que cette année il fût versé du trésor de ma liste civile, dans celui de l'état, une portion considérable de mon revenu.
Page 383 - Mai, 1819, sur la répression des crimes et délits commis par la voie de la presse ou par tout autre moyen de publication.
Page 174 - Attachés par notre conduite, comme nous le sommes de cœur, aux divins préceptes de la religion, soyons-le aussi à cette Charte, qui, sans toucher au dogme, assure à la foi de nos pères la prééminence qui lui est due , et qui, dans l'ordre civil garantit à tous une sage liberté, et à chacun la...
Page 240 - J'ai fait rédiger, conformément à la Charte, une loi de recrutement. Je veux qu'aucun privilége ne puisse être invoqué ; que l'esprit et les dispositions de cette Charte, notre véritable boussole, qui appelle indistinctement tous les Français aux grades et aux emplois, ne soient pas illusoires, et que le soldat n'ait d'autres bornes à son honorable carrière que celles de ses talents et de ses services.
Page 369 - ... et qu'en dernière analyse ils déclarèrent que ce système nouveau était un essai que l'on voulait faire, et que la loi d'élection étant une loi d'organisation...
Page 237 - II, p. 263. montrés aussi jaloux que du bonheur même de leurs sujets. La récolte de 1816 a, par sa mauvaise qualité, trahi en grande partie mes espérances. Les souffrances de mon peuple ont pesé sur mon cœur; j'ai cependant vu avec attendrissement que presque partout il les a supportées avec une résignation touchante, et si, dans quelques endroits, elles l'ont porté à des actes séditieux, l'ordre a partout été promptement rétabli.
Page 314 - Tous les comptes entre la France et les Puissances Alliées ayant été réglés et arrêtés, la somme à payer par la France pour compléter l'exécution de l'article 4 du Traité du 20 novembre 1815, est définitivement fixée à 265 millions de francs.
Page 329 - La déclaration qui annonce au monde les principes sur lesquels se fonde l'union des cinq puissances , fait assez connaître l'amitié qui règne entre les souverains. Cette union salutaire, dictée par la justice , et consolidée par la morale et la religion , a pour but de prévenir le...
Page 58 - ... Permettez, Messieurs, que je refuse pour mon fils des remercîmens acquis à ce titre. Quant à la retraite des troupes d'Espagne, ce n'est pas à mon fils, c'est au Midi tout entier que nous en avons l'obligation ; c'est à l'excellent esprit dont ces provinces sont animées ; c'est au dévouement, à la fidélité de la France pour son roi , et à l'hommage que le noble caractère espagnol a rendu à cette fidélité...