La poésie lyrique en France des origines à 1914, avec un essai de bibliographie |
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... Voir plus haut la Bibliographie du chapitre IV , page 49 . 2 Cf. Le Cap de Bonne Espérance , de Jean Cocteau . Edition de la Sirène - Cette déviation s'accentue dans les Sept livres de la poétique 96 CLASSIQUE PREMIERE FORMULE.
... Voir plus haut la Bibliographie du chapitre IV , page 49 . 2 Cf. Le Cap de Bonne Espérance , de Jean Cocteau . Edition de la Sirène - Cette déviation s'accentue dans les Sept livres de la poétique 96 CLASSIQUE PREMIERE FORMULE.
Page 106
... Edition des Euvres de 1560 ) ; et enfin les quatre premiers livres de la Franciade , 1572 . Ronsard est alors le poète officiel de la cour de Charles IX . Il est le favori du roi , et peut encore se flatter de la protection de deux ...
... Edition des Euvres de 1560 ) ; et enfin les quatre premiers livres de la Franciade , 1572 . Ronsard est alors le poète officiel de la cour de Charles IX . Il est le favori du roi , et peut encore se flatter de la protection de deux ...
Page 239
... Edition de la Muse française , 1907-1909 ; La Bataille romantique , 1912 , Paris , Hachette . Ch . M. Des Granges . La Presse littéraire sous la Restaura- tion , 1907 , Paris , Soc . du Mercure de France . Ed . Estève . Byron et le ...
... Edition de la Muse française , 1907-1909 ; La Bataille romantique , 1912 , Paris , Hachette . Ch . M. Des Granges . La Presse littéraire sous la Restaura- tion , 1907 , Paris , Soc . du Mercure de France . Ed . Estève . Byron et le ...
Page 309
... Edition définitive chez Hetzel - Quantin , et éd . Fasquelle , Hachette , Lemerre et Ollendorff . Sainte - Beuve . Premiers Lundis , I , II ; Portraits contempo- rains , I , 11 , ouv . cit . Gustave Planche . Portraits littéraires , I ...
... Edition définitive chez Hetzel - Quantin , et éd . Fasquelle , Hachette , Lemerre et Ollendorff . Sainte - Beuve . Premiers Lundis , I , II ; Portraits contempo- rains , I , 11 , ouv . cit . Gustave Planche . Portraits littéraires , I ...
Page 347
... Edition Lemerre , 1873. Sur Em . Deschamps , voir : E. Bazin , Em . Deschamps , 1874 , Paris , Sauton , et Henri Girard , Un bourgeois dilettante à l'époque romantique , Emile Deschamps , 1922 , Paris , Champion . 2 La Divine Comédie ...
... Edition Lemerre , 1873. Sur Em . Deschamps , voir : E. Bazin , Em . Deschamps , 1874 , Paris , Sauton , et Henri Girard , Un bourgeois dilettante à l'époque romantique , Emile Deschamps , 1922 , Paris , Champion . 2 La Divine Comédie ...
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 450 - Le vierge, le vivace et le bel aujourd'hui Va-t-il nous déchirer avec un coup d'aile ivre Ce lac dur oublié que hante sous le givre Le transparent glacier des vols qui n'ont pas fui! Un cygne d'autrefois se souvient que c'est lui Magnifique, mais qui, sans espoir, se délivre Pour n'avoir pas chanté la région où vivre Quand du stérile hiver a resplendi l'ennui. Tout son col secouera cette blanche agonie Par l'espace infligée à l'oiseau qui le nie, Mais non l'horreur du sol où le plumage...
Page 333 - Quel que soit le souci que ta jeunesse endure, Laisse-la s'élargir, cette sainte blessure Que les noirs séraphins t'ont faite au fond du cœur; Rien ne nous rend si grands' qu'une grande douleur. Mais, pour en être atteint, ne crois pas, ô poète, Que ta voix ici-bas doive rester muette. Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 284 - Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : « O temps! suspends ton vol; et vous, heures propices! Suspendez votre cours : Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 232 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 93 - Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestui-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge ! Quand reverrai-je, hélas!
Page 191 - Selon que notre idée est plus ou moins obscure, L'expression la suit, ou moins nette, ou plus pure. Ce que l'on conçoit bien s'énonce clairement , Et les mots pour le dire arrivent aisément.
Page 448 - Lances des glaciers fiers, rois blancs, frissons d'ombelles; I, pourpres, sang craché, rire des lèvres belles Dans la colère ou les ivresses pénitentes; U, cycles, vibrements divins des mers virides, Paix des pâtis semés d'animaux, paix des rides Que l'alchimie imprime aux grands fronts studieux; O, suprême Clairon plein des strideurs étranges, Silences traversés des Mondes et des Anges : — O l'Oméga, rayon violet de Ses Yeux!
Page 350 - Mou âme a son secret, ma vie a son mystère : Un amour éternel en un moment conçu. Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, Et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su.
Page 196 - II n'est point de serpent ni de monstre odieux, Qui, par l'art imité, ne puisse plaire aux yeux : D'un pinceau délicat l'artifice agréable Du plus affreux objet fait un objet aimable.
Page 146 - Apollon à portes ouvertes Laisse indifféremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les noms de vieillir. Mais l'art d'en faire des couronnes N'est pas su de toutes personnes; Et trois ou quatre seulement, Au nombre desquels on me range, Peuvent donner une louange Qui demeure éternellement.