| Denis Diderot - 1875 - 512 pages
...per ludum elabitur œtas. Qu'aperçois-je? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois ; pour celui qui regarde sous un autre angle,... | |
| Denis Diderot - 1875 - 504 pages
...ludum elabitur setas. Qu'aperçois-je? Des formes. Et quoi encore ? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois; pour celui qui regarde sous un autre angle,... | |
| Denis Diderot - 1875 - 504 pages
...per ludutn elabitur aetas. Qu'apercois-je? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois ; pour celui qui regarde sous un autre angle,... | |
| 1879 - 1002 pages
...conclusion est triste : « Qu'aperçois-je? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. — Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois; pour celui qui regarde sous un autre... | |
| Elme-Marie Caro - France - 1880 - 376 pages
...conclusion est triste : « Qu'aperçois-je ? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. — Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois ; pour celui qui regarde sous un autre... | |
| Elme Marie Caro - France - 1880 - 372 pages
...conclusion est triste : « Qu'aperçois-je ? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. — Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois ; pour celui qui regarde sous un autre... | |
| Elme Marie Caro - 1881 - 378 pages
...conclusion est triste : « Qu'aperçois-je ? Des formes. Et quoi encore? Des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. — Si je regarde l'arc-en-ciel tracé sur la nue, je le vois ; pour celui qui regarde sous un autre... | |
| Denis Diderot - Cience - 1992 - 264 pages
...permiso previo por escrito de la editorial. ESTUDIO INTRODUCTORIO DIDEROT, LA NATURALEZA Y MÁS ALLÁ Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous. DIDEROT, Éléments de Physiologie I. La actividad en Diderot La imagen de Diderot es inseparable de... | |
| Société d'émulation et d'agriculture (lettres, sciences et arts) de l'Ain - Science - 1880 - 466 pages
...moi-même. Quelle lumière et quelle force cela me donnerait-il pour la lutte ; quel remède contre ma blessure ? Laissons-là les rêves. Voyons les...vous, vous l'êtes pour l'éphémère qui ne vit qu'un « jour... Cependant nous passerons tous. L'espèce hu» maine n'est qu'un amas d'individus plus ou... | |
| Eighteenth century - 1916 - 612 pages
...Éléments de physiologie : ft Qu'aperçois-je? des formes. Et quoi encore? des formes. J'ignore la chose. Nous nous promenons entre des ombres, ombres nous-mêmes pour les autres et pour nous » (Ed. Tourneux, IX, ^28). Il n'en croit pas moins avec force à la réalité des phénomènes perceptibles... | |
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