Histoire de mon temps: Mémoires du chancelier Pasquier, Volume 3Plon, Nourrit, 1894 - France |
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... arriver à se rendre un compte exact et consciencieux de ses propres opi- nions . Les choses étaient plus accentuées encore au ministère de la justice . Le chancelier , M. Dambray , y avait apporté , de la meilleure foi du monde , et ...
... arriver à se rendre un compte exact et consciencieux de ses propres opi- nions . Les choses étaient plus accentuées encore au ministère de la justice . Le chancelier , M. Dambray , y avait apporté , de la meilleure foi du monde , et ...
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... arriver à un meilleur système ; que néanmoins , reconnaissant aussi qu'il y avait , sous quelques rapports , de l'avantage à simplifier ce sys- tème , on ne pouvait se dispenser de le mettre en harmonie avec les changements survenus ...
... arriver à un meilleur système ; que néanmoins , reconnaissant aussi qu'il y avait , sous quelques rapports , de l'avantage à simplifier ce sys- tème , on ne pouvait se dispenser de le mettre en harmonie avec les changements survenus ...
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... arriver à ce résultat , on chargea le rapporteur d'exprimer , au nom de la commission , la plus formelle désapprobation . M. Bédoch le fit en termes sévères , et il ne manqua pas de dire qu'en s'exprimant ainsi qu'il le faisait , il ...
... arriver à ce résultat , on chargea le rapporteur d'exprimer , au nom de la commission , la plus formelle désapprobation . M. Bédoch le fit en termes sévères , et il ne manqua pas de dire qu'en s'exprimant ainsi qu'il le faisait , il ...
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... arriver une époque qui permettra de diminuer les exceptions contenues dans le projet qui est en discus- asion . Pourquoi donc donner aux uns des espérances « qu'on ne pourra jamais réaliser ? Pourquoi inspirer aux autres des craintes ...
... arriver une époque qui permettra de diminuer les exceptions contenues dans le projet qui est en discus- asion . Pourquoi donc donner aux uns des espérances « qu'on ne pourra jamais réaliser ? Pourquoi inspirer aux autres des craintes ...
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... arriver à ce résultat , on chargea le rapporteur d'exprimer , au nom de la commission , la plus formelle désapprobation . M. Bédoch le fit en termes sévères , et il ne manqua pas de dire qu'en s'exprimant ainsi qu'il le faisait , il ...
... arriver à ce résultat , on chargea le rapporteur d'exprimer , au nom de la commission , la plus formelle désapprobation . M. Bédoch le fit en termes sévères , et il ne manqua pas de dire qu'en s'exprimant ainsi qu'il le faisait , il ...
Common terms and phrases
affaires allait alliés armée armistice arriva assez aurait avaient bataille de Waterloo Blacas Blucher Bonaparte C'était cabinet capitale cause Cent-jours Chambre des pairs Chambre des représentants commandement commissaires commission confiance conseil de guerre d'État décidé déclaration départ députés dernier devait dispositions donner doute duc d'Angoulême duc de Berry duc de Feltre duc de Wellington envoyés esprit étrangers fallait Fayette Fouché fût Gand garanties garde nationale Grouchy hommes j'ai jours l'abbé de Montesquiou l'armée l'Autriche l'empereur Alexandre l'Europe laisser lendemain lettre leyrand lord Louis XVIII maison de Bourbon Majesté maréchal Davout ment Metternich ministre mission Monsieur Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation nécessité négociations Pasquier passé pensée personne plénipotentiaires police politique porter pouvait préfet premier prendre prince proclamation projet propos proposition provisoire Prusse Prussiens puissances rapport résolution reste rien Russie s'était Saxe sentiments serait seul sion situation Soult souverains succès Talleyrand tion traité troupes trouvait venait Vitrolles voulait
Popular passages
Page 132 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Wapoléon II, empereur des Français.
Page 185 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 185 - Mais le sang de mes enfans a coulé par une trahison dont les annales du monde n'offrent pas d'exemple : cette trahison a appelé l'étranger dans le cœur de la France; chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 105 - Le peuple français déclare que, dans la délégation qu'il a faite et qu'il fait de ses pouvoirs, il n'a pas entendu et n'entend pas donner le droit de proposer le rétablissement des Bourbons ou d'aucun prince de cette famille sur le trône, même en cas d'extinction de la dynastie impériale...
Page 132 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 60 - J'ai revu ma patrie; je l'ai réconciliée avec les puissances étrangères, qui seront, n'en doutez pas, fidèles aux traités qui nous ont rendus à la paix; j'ai travaillé au bonheur de mon peuple; j'ai recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour; pourrais-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense...
Page 115 - La lutte dans laquelle nous sommes engagés est sérieuse. L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer.
Page 114 - Il est possible que le premier devoir du prince m'appelle bientôt à la tête des enfans de la nation pour combattre pour la patrie. L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, pairs et...
Page 188 - Seront pareillement respectées les personnes et les propriétés particulières ; les habitants, et en général tous les individus qui se trouvent dans la capitale , continueront à jouir de leurs droits et libertés, sans pouvoir être inquiétés ni recherchés en rien , relativement aux fonctions qu'ils occupent ou auraient occupées, à leur conduite et à leurs opinions politiques.
Page 185 - ... l'expérience seule pouvait avertir; elle ne sera pas perdue. Je veux tout ce qui sauvera la France; mes sujets ont appris par de cruelles épreuves que le principe de la légitimité des Souverains est une des bases fondamentales de l'ordre social, la seule sur laquelle puisse s'établir, au milieu d'un grand peuple, une liberté sage et bien ordonnée.