Histoire de mon temps: Mémoires du chancelier Pasquier, Volume 3Plon, Nourrit, 1894 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 39
Page 21
... propos tenu devant lui par Monsieur . Discrédit dans lequel tombe la Légion d'honneur . Voyage des princes dans les dépar- Le duc de Berry remporte un médiocre succès . M. Pasquier va en inspection dans les provinces . - Organisation du ...
... propos tenu devant lui par Monsieur . Discrédit dans lequel tombe la Légion d'honneur . Voyage des princes dans les dépar- Le duc de Berry remporte un médiocre succès . M. Pasquier va en inspection dans les provinces . - Organisation du ...
Page 27
... propos tenu devant lui par Monsieur . Discrédit dans lequel tombe la Légion d'honneur . Voyage des princes dans les dépar- Le duc de Berry remporte un médiocre succès . M. Pasquier va en inspection dans les provinces . Organisation du ...
... propos tenu devant lui par Monsieur . Discrédit dans lequel tombe la Légion d'honneur . Voyage des princes dans les dépar- Le duc de Berry remporte un médiocre succès . M. Pasquier va en inspection dans les provinces . Organisation du ...
Page 30
... propos des ventes de domaines nationaux . Les espérances de ceux qui se flat- taient de voir les biens d'émigrés rendus à leurs anciens propriétaires furent déconcertées par la déclaration de Saint - Ouen et par la promulgation de la ...
... propos des ventes de domaines nationaux . Les espérances de ceux qui se flat- taient de voir les biens d'émigrés rendus à leurs anciens propriétaires furent déconcertées par la déclaration de Saint - Ouen et par la promulgation de la ...
Page 31
... la pétition avaient jugé à propos de se cacher . Cette circonstance motiva la proposition qui fut faite peu après dans le but de trouver un moyen pour constater l'origine des pétitions . Ce fut peu après que fut porté le projet de.
... la pétition avaient jugé à propos de se cacher . Cette circonstance motiva la proposition qui fut faite peu après dans le but de trouver un moyen pour constater l'origine des pétitions . Ce fut peu après que fut porté le projet de.
Page 48
... diocèse de Lyon ; on ne pouvait douter que leur influence dût être fort contraire à tous les intérêts nés de la Révo- lution . DISPOSITIONS DE LA NOBLESSE . 40 a des propos imprudents 48 MÉMOIRES DU CHANCELIER PASQUIER .
... diocèse de Lyon ; on ne pouvait douter que leur influence dût être fort contraire à tous les intérêts nés de la Révo- lution . DISPOSITIONS DE LA NOBLESSE . 40 a des propos imprudents 48 MÉMOIRES DU CHANCELIER PASQUIER .
Common terms and phrases
affaires allait alliés armée armistice arriva assez aurait avaient bataille de Waterloo Blacas Blucher Bonaparte C'était cabinet capitale cause Cent-jours Chambre des pairs Chambre des représentants commandement commissaires commission confiance conseil de guerre d'État décidé déclaration départ députés dernier devait dispositions donner doute duc d'Angoulême duc de Berry duc de Feltre duc de Wellington envoyés esprit étrangers fallait Fayette Fouché fût Gand garanties garde nationale Grouchy hommes j'ai jours l'abbé de Montesquiou l'armée l'Autriche l'empereur Alexandre l'Europe laisser lendemain lettre leyrand lord Louis XVIII maison de Bourbon Majesté maréchal Davout ment Metternich ministre mission Monsieur Murat n'avait n'était Napo Napoléon nation nécessité négociations Pasquier passé pensée personne plénipotentiaires police politique porter pouvait préfet premier prendre prince proclamation projet propos proposition provisoire Prusse Prussiens puissances rapport résolution reste rien Russie s'était Saxe sentiments serait seul sion situation Soult souverains succès Talleyrand tion traité troupes trouvait venait Vitrolles voulait
Popular passages
Page 132 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Wapoléon II, empereur des Français.
Page 185 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 185 - Mais le sang de mes enfans a coulé par une trahison dont les annales du monde n'offrent pas d'exemple : cette trahison a appelé l'étranger dans le cœur de la France; chaque jour me révèle un désastre nouveau. Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible. Ils seront désignés à la vengeance des lois par les deux Chambres, que je me propose d'assembler incessamment.
Page 105 - Le peuple français déclare que, dans la délégation qu'il a faite et qu'il fait de ses pouvoirs, il n'a pas entendu et n'entend pas donner le droit de proposer le rétablissement des Bourbons ou d'aucun prince de cette famille sur le trône, même en cas d'extinction de la dynastie impériale...
Page 132 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 60 - J'ai revu ma patrie; je l'ai réconciliée avec les puissances étrangères, qui seront, n'en doutez pas, fidèles aux traités qui nous ont rendus à la paix; j'ai travaillé au bonheur de mon peuple; j'ai recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour; pourrais-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense...
Page 115 - La lutte dans laquelle nous sommes engagés est sérieuse. L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer.
Page 114 - Il est possible que le premier devoir du prince m'appelle bientôt à la tête des enfans de la nation pour combattre pour la patrie. L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, pairs et...
Page 188 - Seront pareillement respectées les personnes et les propriétés particulières ; les habitants, et en général tous les individus qui se trouvent dans la capitale , continueront à jouir de leurs droits et libertés, sans pouvoir être inquiétés ni recherchés en rien , relativement aux fonctions qu'ils occupent ou auraient occupées, à leur conduite et à leurs opinions politiques.
Page 185 - ... l'expérience seule pouvait avertir; elle ne sera pas perdue. Je veux tout ce qui sauvera la France; mes sujets ont appris par de cruelles épreuves que le principe de la légitimité des Souverains est une des bases fondamentales de l'ordre social, la seule sur laquelle puisse s'établir, au milieu d'un grand peuple, une liberté sage et bien ordonnée.