Droit public de l'église et des nations crétiennes, Volume 2

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Popular passages

Page 311 - Que quoique le pape ait la principale part dans les questions de foi, et que ses décrets regardent toutes les Églises et chaque Église en particulier, son jugement n'est pourtant pas irréformable, à moins que le consentement de l'Église n'intervienne.
Page 49 - Paul ne peut en rien être altéré ou ébranlé: que toute personne soit soumise aux puissances supérieures; car il n'ya point de puissance qui ne vienne de dieu, et c'est lui qui ordonne celles qui sont sur la terre; celui donc qui s'oppose aux puissances résiste à l'ordre de dieu.
Page 320 - Puissent nos résolutions être telles, qu'elles soient dignes de nos pères , et dignes d'être adoptées par nos descendants ; dignes enfin d'être comptées parmi les actes authentiques de l'Église , et insérées avec honneur dans ces registres Immortels où sont compris les décrets qui regardent non-seulement la vie présente, mais encore la vie future et l'éternité tout entière!
Page 248 - Perchè men paja il mal futuro e 1 fatto, Veggio in Alagna entrar lo fiordaliso, E nel vicario suo Cristo esser catto '. Veggiolo un' altra volta esser deriso : Veggio rinnovellar l' aceto e 'l fele, E tra vivi ladroni essere anciso 3.
Page 306 - ... de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.
Page 149 - L'expérience a fait voir la vérité «de ce sentiment, et notre âge seul a montré , »parmi ceux qui ont abandonné les souverains aux: «cruelles bizarreries de la multitude, plus d'exem...
Page 278 - où il n'y avait point d'ordre social , la papauté sauva peut-être l'Europe « d'une entière barbarie. Elle créa des rapports entre les nations les plus « éloignées ; elle fut un centre commun, un point de ralliement pour les
Page 312 - Nous avons arrêté d'envoyer à toutes les Églises de France et aux évêques qui y président par l'autorité du Saint-Esprit, ces maximes que nous avons reçues de nos pères, afin que nous disions tous la même chose, que nous soyons tous dans les mêmes sentiments, et que nous suivions tous la même doctrine.
Page 148 - Pontife est consulté, comme dans une question douteuse et importante, s'il est permis de donner le titre de roi à celui qui a déjà la puissance royale. Il répond que cela est permis. Cette réponse, partie de l'autorité la plus grande qui soit au monde, est regardée comme une décision juste et légitime. En vertu de cette autorité, la nation même ôte le royaume à Childéric, et le transporte à Pépin.
Page 324 - Il a l'incroyable prétention d'être de l'Eglise catholique, malgré l'Eglise catholique, il lui prouve qu'elle ne connaît pas ses enfants, qu'elle ignore ses propres dogmes, qu'elle ne comprend pas ses propres décrets, qu'elle ne sait pas lire enfin; il se moque de ses décisions; il en appelle; il les foule aux pieds, tout...

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