| M. de Pradt (Dominique Georges Frédéric) - Journal des débats - 1817 - 170 pages
...triompher, à l'aide de cette commode méthode, de sottises dont on est le propre père. Un grand minisire disait: Donnez-moi deux lignes de l'écriture d'un...dans l'examen d'affaires de la nature de celles qui nous occupent. On peut adresser à ces rieurs de mauvais ton, la leçou que le grave Sully, transporté... | |
| Encyclopedias and dictionaries - 1853 - 428 pages
...n'est toutefois pas dans ce sens qu'un magistrat d'une de nos anciennes cours de justice a dit : « Donnez-moi deux lignes de l'écriture d'un homme, et je le ferai pendre. » Notre juriste, usant, il est vrai , un peu largement de l'hyperbole , faisait allusion aux ressources... | |
| sœur Jeanne des Anges - Demoniac possession - 1886 - 360 pages
...ministre. C'est de lui qu'est cette parole cynique et célèbre qui devait le conduire à la fortune : « Donnez-moi deux lignes de l'écriture d'un homme, et je le ferai pendre ». Son génie infatigable pour le mal allait trouvera Loudun l'occasion de se déployer à l'aise.... | |
| Société des antiquaires de l'Ouest (Poitiers, France) - France - 1915 - 596 pages
...inexorable. Entre les mains de cet homme qui, le premier, dit-on, prononça ce mot cynique et célèbre :« Donnez-moi deux lignes de l'écriture d'un homme et je le ferai pendre, » le moindre aveu, le moindre indice suffisaient à faire brasiller des bûchers ou dresser des potences,... | |
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