Pages libres1904 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 7
... coups répétés du marteau , ce serait oublier la responsabilité qui revient à l'Europe dans l'exode des Juifs modernes ( 2 ) . << Le Juif n'est pas résigné comme le chrétien ... les abus , les vio- lences , qui trouvent le chrétien calme ...
... coups répétés du marteau , ce serait oublier la responsabilité qui revient à l'Europe dans l'exode des Juifs modernes ( 2 ) . << Le Juif n'est pas résigné comme le chrétien ... les abus , les vio- lences , qui trouvent le chrétien calme ...
Page 21
... coup à un tournant de la vallée , laissant sur le quai désert de la petite halte un curé debout à côté d'une vieille malle . Tandis que l'averse faisait rage , mitraillant les longues dalles du quai , cinglant les vitres de la station ...
... coup à un tournant de la vallée , laissant sur le quai désert de la petite halte un curé debout à côté d'une vieille malle . Tandis que l'averse faisait rage , mitraillant les longues dalles du quai , cinglant les vitres de la station ...
Page 22
... coup brusque , au trot saccadé d'un bidet de campagne , dont le poil boueux était hérissé et dont les fers ... coups qui roulait sur sa maigre échine . Enfin survint une accalmie . Une poussière d'eau se mit à tomber fine et pénétrante ...
... coup brusque , au trot saccadé d'un bidet de campagne , dont le poil boueux était hérissé et dont les fers ... coups qui roulait sur sa maigre échine . Enfin survint une accalmie . Une poussière d'eau se mit à tomber fine et pénétrante ...
Page 24
... coup . - - Bien tristement . C'que c'est que de nous ! Un soir qu'y s'chauffait au coin du feu , le v'là t'y pas qui s'affale le nez sur le carreau . La Nanette lui dit : << Eh , monsieur le curé , c'est - y qu'vous rigolez ? » Elle le ...
... coup . - - Bien tristement . C'que c'est que de nous ! Un soir qu'y s'chauffait au coin du feu , le v'là t'y pas qui s'affale le nez sur le carreau . La Nanette lui dit : << Eh , monsieur le curé , c'est - y qu'vous rigolez ? » Elle le ...
Page 25
... coup la grande horloge se mit à sonner les sons , vibrant étran- gement , secouaient d'un frisson d'épouvante le logis enténébré , qui sentait le moisi et la mort . Assailli de vagues terreurs , le cœur de l'abbé se mit à battre violem ...
... coup la grande horloge se mit à sonner les sons , vibrant étran- gement , secouaient d'un frisson d'épouvante le logis enténébré , qui sentait le moisi et la mort . Assailli de vagues terreurs , le cœur de l'abbé se mit à battre violem ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
actuelle Administration-rédaction aujourd'hui besoin bourgeois Bureautins C'était catalan Catalogne catholique Cécile Céline Chambre Charles Guieysse chose classe Colin Michelot commune congrès Delaisi démocratique dentelle dentellières députés dire donner économique électeurs électoral ÉMILE MOSELLY enfants enseignement Extrême-Orient femme fille général gens George Sand Georges Herwegh Georges Moreau gouvernement Grisel guerre Henri Beaulieu Herzl hommes idées Imprimerie de Suresnes industrielle j'ai Japon jeune jour journaux Juifs L'abbé Jacques l'abbé Loisy l'Assistance l'école l'Église l'enfant l'enseignement l'esprit l'État Lefrançais liberté Loisy lutte Madame Vernet maire Mandchourie Maurice Kahn Max Nordau médecin ment millions monde monopole municipal nationale Oudinot ouvriers PAGES LIBRES pape parler passer pauvre pays paysan pensée petite peuple Pie IX politique Port-Arthur primaire professeurs qu'un question raison représentation républicains République reste rien Rome Russie science scrutin sentiment sera service seulement simple sioniste sociale société soir sorte Suresnes syndicats système terre Théâtre du Peuple tion travail Tsar voix vote vrai
Popular passages
Page 504 - ... d'un aiguillon peu acéré. Les fiers animaux frémissaient sous la petite main de l'enfant, et faisaient grincer les jougs et les courroies liés à leur front, en imprimant au timon de violentes secousses. Lorsqu'une racine arrêtait le soc, le laboureur criait d'une voix puissante, appelant chaque bête par son nom, mais plutôt pour calmer que pour exciter; car les bœufs, irrités par cette brusque résistance, bondissaient, creusaient la terre de leurs larges pieds fourchus, et se seraient...
Page 504 - Le vieux laboureur travaillait lentement, en silence, sans efforts inutiles. Son docile attelage ne se pressait pas plus que lui ; mais grâce à la continuité d'un labeur sans distraction et d'une dépense de forces éprouvées et soutenues, son sillon était aussi vite creusé que celui de son fils, qui menait, à quelque distance, quatre bœufs moins robustes, dans une veine de terres plus fortes et plus pierreuses.
Page 328 - ... d'administrer les établissements qui appartiennent à la commune, qui sont entretenus de ses deniers, ou qui sont particulièrement destinés à l'usage des citoyens dont elle est composée ; de faire jouir les habitants des avantages d'une bonne police, notamment de la propreté, de la salubrité, de la sûreté et de la tranquillité dans les rues, lieux et édifices publics.
Page 358 - J'apprends avec peine que les intentions bienveillantes du Saint-Père, comme notre propre action, restent stériles en présence de passions et d'influences hostiles. On voudrait donner comme base à la rentrée du Pape la proscription et la tyrannie. Dites de ma part au général Rostolan...
Page 328 - Dans toutes les communes, les inspecteurs de police, les brigadiers et sous-brigadiers et les agents de police nommés par le maire doivent être agréés par le sous-préfet ou par le préfet. Ils peuvent être suspendus par le maire, mais le préfet seul peut les révoquer.
Page 504 - ... de violentes secousses. -Lorsqu'une racine arrêtait le soc, le laboureur criait d'une voix puissante, appelant chaque bête par son nom, mais plutôt pour calmer que pour exciter; car les bœufs, irrités par cette brusque résistance, bondissaient, creusaient la terre de leurs larges pieds fourchus, et se seraient jetés de côté emportant...
Page 504 - Mais ce qui attira ensuite mon attention était véritablement un beau spectacle, un noble sujet pour un peintre. A l'autre extrémité de la plaine labourable, un jeune homme de bonne mine conduisait un attelage magnifique : quatre paires de jeunes animaux à robe sombre mêlée de noir fauve à reflets de feu, avec ces têtes courtes et frisées qui sentent encore le taureau sauvage, ces gros yeux farouches, ces mouvements brusques, ce travail nerveux et saccadé qui s'irrite encore du joug et...
Page 353 - Il en a été autrement; nos soldats ont été reçus en ennemis : notre honneur militaire est engagé; je ne souffrirai pas qu'il reçoive aucune atteinte. Les renforts ne vous manqueront pas.
Page 500 - ... suis propre qu'à exécuter bravement et fidèlement un ordre. Je puis agir et non délibérer, car je ne sais rien et ne suis sûr de rien. Je ne puis obéir qu'en fermant les yeux et en me bouchant les oreilles, afin de ne rien voir et de ne rien entendre qui me dissuade; je puis marcher avec mes amis, comme le chien qui voit son maître partir avec le navire et qui se jette à la nage pour le suivre, jusqu'à ce qu'il meure de fatigue. La mer est grande, ô mes amis!
Page 471 - Je suis tremblant, hagard, brisé, tendu, nerveux ; Je suis plein de regrets, de désirs et de vœux, De souvenirs, d'espoirs, d'envies... Je ne sais plus ce que je veux ; Je trébuche aux tournants des chemins poursuivis. Je me sens incertain, épars, divers, nombreux... J'ignore si je suis heureux : Je vis. J'aime, et je ne sais comment j'aime : Je frissonne, j'ai peur comme un homme charmé.