Histoire du second empire, Volume 1Plon et Nourrit, 1894 - France |
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Page vi
... qu'à soutenir le maître commun . Ceux qui , au dehors , lui furent le plus néfastes se présentèrent à lui sous la traîtreuse apparence d'alliés , presque d'associés ; ces ennemis , déguisés en com- plices , s'appelaient Cavour ou ...
... qu'à soutenir le maître commun . Ceux qui , au dehors , lui furent le plus néfastes se présentèrent à lui sous la traîtreuse apparence d'alliés , presque d'associés ; ces ennemis , déguisés en com- plices , s'appelaient Cavour ou ...
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... qu'à ses heures et , au lieu d'user son prestige , le ménageait soigneusement . Les députés , divers d'origine et de sentiments , étaient obligés à des concessions mutuelles qui retardaient ou affaiblissaient leurs résolutions : appuyé ...
... qu'à ses heures et , au lieu d'user son prestige , le ménageait soigneusement . Les députés , divers d'origine et de sentiments , étaient obligés à des concessions mutuelles qui retardaient ou affaiblissaient leurs résolutions : appuyé ...
Page 4
... qu'à une époque récente encore , il y avait vu une garantie de salut ; l'opinion s'accrédita donc dans les masses que le suffrage universel avait dans l'hôte de l'Élysée un défen- seur et dans le Parlement un ennemi . Un moment , le ...
... qu'à une époque récente encore , il y avait vu une garantie de salut ; l'opinion s'accrédita donc dans les masses que le suffrage universel avait dans l'hôte de l'Élysée un défen- seur et dans le Parlement un ennemi . Un moment , le ...
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... qu'à l'heure où il devrait marcher . Le 2 décembre était l'anniversaire du couronnement de Napoléon et celui de la bataille d'Austerlitz . Cette date fatidique fut choisie . Ce jour - là les Parisiens , en se rendant à leur travail ou à ...
... qu'à l'heure où il devrait marcher . Le 2 décembre était l'anniversaire du couronnement de Napoléon et celui de la bataille d'Austerlitz . Cette date fatidique fut choisie . Ce jour - là les Parisiens , en se rendant à leur travail ou à ...
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... triomphait dans la capi- tale , le télégraphe annonçait qu'à la nouvelle du coup d'État , plusieurs départements s'étaient soulevés . Nous avons décrit dans un précédent ouvrage ( 1 ) ces émeutes provinciales LA DICTATURE .
... triomphait dans la capi- tale , le télégraphe annonçait qu'à la nouvelle du coup d'État , plusieurs départements s'étaient soulevés . Nous avons décrit dans un précédent ouvrage ( 1 ) ces émeutes provinciales LA DICTATURE .
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Common terms and phrases
alliés Anglais arriva assez avaient Balaklava batterie budget Buol c'était cabinet Canrobert chef de l'État Conseil d'État conseillers d'État Constantinople Constitution Corps législatif coup d'État Crimée Czar décembre décret départements Dépêche députés desseins diplomatique disait-il Drouyn de l'Huys Eastern Papers ennemis étre eût février flotte fortune fût Gallipoli général Gortchakof gouvernement guerre guerre de Crimée Hamilton Seymour hommes hostiles impériale janvier journaux jours jugeait Karabelnaïa l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Empereur l'Empire laissé langage liberté Lieux saints Londres lord Clarendon lord John Russell Louis-Napoléon lutte Malakof maréchal méme ment mer Noire mesure militaires ministre Moniteur Montalembert moscovite n'avait n'était Napoléon Napoléon III Nesselrode Nicolas nouvelle officielle ottoman paix parlementaires pensée politique Porte pouvoir préfets premier président presque prince Menschikof proclamation publique puissances redoutable régime République Russie s'était Saint-Arnaud Saint-Pétersbourg Sébastopol Sénat sénatus-consulte serait seulement sion sir Hamilton Seymour sorte souverain Stratford Sultan surtout tard Tchernaïa tion TODLEBEN troupes Tuileries Turcs Turquie vote
Popular passages
Page 463 - Sa Majesté Impériale le Sultan, dans sa constante sollicitude pour le bien-être de ses sujets, ayant octroyé un Firman qui, en améliorant leur sort, sans distinction de religion ni de race, consacre ses généreuses intentions envers les populations chrétiennes de son Empire, et voulant donner un nouveau témoignage de ses sentiments à cet égard, a résolu de communiquer aux Puissances...
Page 123 - Europe, poursuivait l'Empereur, on est porté par la force d'un nouveau principe à la hauteur des anciennes dynasties, ce n'est pas en vieillissant son blason et en cherchant à s'introduire à tout prix dans la famille des rois qu'on se fait accepter; c'est bien plutôt en se souvenant toujours de son origine, en conservant son caractère propre, et en prenant franchement vis-à-vis de l'Europe la position de parvenu, titre glorieux lorsqu'on parvient par le libre suffrage d'un grand peuple Celle...
Page 36 - L'empereur disait au conseil d'État : « Une constitution est l'œuvre du temps; on ne saurait laisser une trop large voie aux améliorations. » Aussi, la constitution présente n'at-elle fixé que ce qu'il était impossible de laisser incertain. Elle n'a pas enfermé dans un cercle infranchissable les destinées d'un grand peuple; elle a laissé aux changements une assez large voie pour qu'il y ait, dans les grandes crises, d'autres moyens de salut que l'expédient désastreux des révolutions.
Page 62 - ... attaques mettre en question l'avenir du pays, alors, mais seulement alors, il pourrait être raisonnable de demander au peuple, au nom du repos de la France, un nouveau titre qui fixât irrévocablement sur ma tête le pouvoir dont il m'a revêtu. Mais ne nous préoccupons pas d'avance de difficultés qui n'ont sans doute rien de probable.
Page 464 - Les puissances contractantes constatent la haute valeur de cette communication. Il est bien entendu qu'elle ne saurait, en aucun cas, donner le droit auxdites puissances de s'immiscer, soit collectivement, soit séparément, dans les rapports de Sa Majesté le sultan avec ses sujets, ni dans l'administration intérieure de son empire.
Page 33 - Puisque la France ne marche depuis cinquante ans qu'en vertu de l'organisation administrative, militaire, judiciaire, religieuse, financière du Consulat et de l'Empire, pourquoi n'adopterions-nous pas aussi les institutions politiques de cette époque ? Créées par la même pensée, elles doivent porter en elles le même caractère de nationalité et d'utilité pratique.
Page 123 - Napoléon, est d'une naissance élevée. Française par le cœur, par l'éducation, par le souvenir du sang que versa son père pour la cause de l'Empire, elle a, comme Espagnole, l'avantage de ne pas avoir en France de famille à laquelle il faille donner honneurs et dignités.
Page 101 - La manifestation éclatante qui vient de se produire dans toute la France, en faveur du rétablissement de l'Empire, impose au Prince Président de la République le devoir de convoquer le Sénat.
Page 54 - ... un noble usage de son bien, il est préférable à ce qu'on est convenu d'appeler un homme politique...