Histoire du second empire, Volume 1Plon et Nourrit, 1894 - France |
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Page iv
... s'était fait conspirateur ; puis dans les longs loisirs de sa captivité , il s'était engourdi dans le rève . Cette double tendance le pénétra si bien qu'elle absorba tout le reste . Rêveur et conspirateur , il le fut sur le trône et tou ...
... s'était fait conspirateur ; puis dans les longs loisirs de sa captivité , il s'était engourdi dans le rève . Cette double tendance le pénétra si bien qu'elle absorba tout le reste . Rêveur et conspirateur , il le fut sur le trône et tou ...
Page 3
... s'était préparé à loisir , dans la hiérarchie militaire et civile , quelques créatures prêtes à tout , pourvu que la récompense fût grande ; et à cet égard on savait que le maître ne serait ni parcimonieux ni ingrat . Aux termes de la ...
... s'était préparé à loisir , dans la hiérarchie militaire et civile , quelques créatures prêtes à tout , pourvu que la récompense fût grande ; et à cet égard on savait que le maître ne serait ni parcimonieux ni ingrat . Aux termes de la ...
Page 5
... s'était donné à une cause où le gain se mesurerait à l'enjeu . M. Moc- quard , secrétaire de Louis - Napoléon , et M. de Persigny , ami des mauvais jours , complétèrent la liste des confidents intimes de l'Élysée . Le général Magnan ...
... s'était donné à une cause où le gain se mesurerait à l'enjeu . M. Moc- quard , secrétaire de Louis - Napoléon , et M. de Persigny , ami des mauvais jours , complétèrent la liste des confidents intimes de l'Élysée . Le général Magnan ...
Page 15
... s'était pas assez prolongé , refusèrent un élargissement qui ressemblait à une grâce , et firent si bien que la force publique , employée une première fois pour les faire entrer en prison , dut ètre requise de nouveau pour les en faire ...
... s'était pas assez prolongé , refusèrent un élargissement qui ressemblait à une grâce , et firent si bien que la force publique , employée une première fois pour les faire entrer en prison , dut ètre requise de nouveau pour les en faire ...
Page 16
... s'était laissé toucher par des circonstances pri- vées qui auraient rendu pour le général l'exil plus amer . Peut- étre aussi répugnait - il à Louis - Napoléon de frapper d'ostra- cisme l'illustre personnage qui l'avait précédé au ...
... s'était laissé toucher par des circonstances pri- vées qui auraient rendu pour le général l'exil plus amer . Peut- étre aussi répugnait - il à Louis - Napoléon de frapper d'ostra- cisme l'illustre personnage qui l'avait précédé au ...
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Common terms and phrases
alliés ambassadeur Anglais arriva assez avaient Balaklava batterie britannique Buol c'était cabinet camp Canrobert chef Conseil d'État Constantinople Constitution Corps législatif coup d'État Crimée Czar Danube décembre décret Dépêche députés desseins diplomatique disait-il division Drouyn de l'Huys Eastern Papers ennemis étre eût février flotte fortune fût Gallipoli gouvernement Grecs guerre Guerre de Crimée Hamilton Seymour hommes hostilité janvier jours jugeait Karabelnaïa l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Empereur l'Empire laissé langage Lieux saints Londres lord Aberdeen lord Clarendon lord John Russell lord Raglan Louis-Napoléon lutte Malakof maréchal Saint-Arnaud méme ment mer Noire militaires ministre Moniteur Montalembert moscovite n'avait n'était Napoléon Napoléon III négociations Nesselrode Nicolas nouvelle officielle ottoman paix Palmerston pensée politique Porte préfets premier président presque prince Gortchakof prince Menschikof publique puissances respecting Russie s'était Saint-Arnaud Saint-Pétersbourg Sébastopol Sénat serait seulement Sinope sir Hamilton Seymour soldats sorte souverain Stratford Sultan surtout tard tion TODLEBEN troupes Tuileries Turcs Turquie Varna Vienne vote
Popular passages
Page 463 - Sa Majesté Impériale le Sultan, dans sa constante sollicitude pour le bien-être de ses sujets, ayant octroyé un Firman qui, en améliorant leur sort, sans distinction de religion ni de race, consacre ses généreuses intentions envers les populations chrétiennes de son Empire, et voulant donner un nouveau témoignage de ses sentiments à cet égard, a résolu de communiquer aux Puissances...
Page 123 - Europe, poursuivait l'Empereur, on est porté par la force d'un nouveau principe à la hauteur des anciennes dynasties, ce n'est pas en vieillissant son blason et en cherchant à s'introduire à tout prix dans la famille des rois qu'on se fait accepter; c'est bien plutôt en se souvenant toujours de son origine, en conservant son caractère propre, et en prenant franchement vis-à-vis de l'Europe la position de parvenu, titre glorieux lorsqu'on parvient par le libre suffrage d'un grand peuple Celle...
Page 36 - L'empereur disait au conseil d'État : « Une constitution est l'œuvre du temps; on ne saurait laisser une trop large voie aux améliorations. » Aussi, la constitution présente n'at-elle fixé que ce qu'il était impossible de laisser incertain. Elle n'a pas enfermé dans un cercle infranchissable les destinées d'un grand peuple; elle a laissé aux changements une assez large voie pour qu'il y ait, dans les grandes crises, d'autres moyens de salut que l'expédient désastreux des révolutions.
Page 62 - ... attaques mettre en question l'avenir du pays, alors, mais seulement alors, il pourrait être raisonnable de demander au peuple, au nom du repos de la France, un nouveau titre qui fixât irrévocablement sur ma tête le pouvoir dont il m'a revêtu. Mais ne nous préoccupons pas d'avance de difficultés qui n'ont sans doute rien de probable.
Page 464 - Les puissances contractantes constatent la haute valeur de cette communication. Il est bien entendu qu'elle ne saurait, en aucun cas, donner le droit auxdites puissances de s'immiscer, soit collectivement, soit séparément, dans les rapports de Sa Majesté le sultan avec ses sujets, ni dans l'administration intérieure de son empire.
Page 33 - Puisque la France ne marche depuis cinquante ans qu'en vertu de l'organisation administrative, militaire, judiciaire, religieuse, financière du Consulat et de l'Empire, pourquoi n'adopterions-nous pas aussi les institutions politiques de cette époque ? Créées par la même pensée, elles doivent porter en elles le même caractère de nationalité et d'utilité pratique.
Page 123 - Napoléon, est d'une naissance élevée. Française par le cœur, par l'éducation, par le souvenir du sang que versa son père pour la cause de l'Empire, elle a, comme Espagnole, l'avantage de ne pas avoir en France de famille à laquelle il faille donner honneurs et dignités.
Page 101 - La manifestation éclatante qui vient de se produire dans toute la France, en faveur du rétablissement de l'Empire, impose au Prince Président de la République le devoir de convoquer le Sénat.
Page 54 - ... un noble usage de son bien, il est préférable à ce qu'on est convenu d'appeler un homme politique...