Ce serait à ne pas s'entendre , si la petite y était. Ma foi , madame, reprit M. Duclos, vous n'y entendez rien : je lui donnerais tout d'un coup une idée juste des choses, moi; vous n'avez qu'à me laisser faire. Oh! je n'en doute pas , reprit-elle... La Minerve française - Page 296edited by - 1818Full view - About this book
| Louise Tardieu d'Esclavelles Épinay - 1818 - 414 pages
...qu'on appelle ainsi; j'en ignore la raison ). Ce seroit à ne pas s'entendre, si la petite yétoit. Ma foi, madame, reprit M. Duclos , vous n'y entendez rien : je lui don nerois (ont d'un coup une idée juste des choses, moi; vous n'avez q<i'à me laisser faire. Oh... | |
| I︠U︡riĭ Chernichenko - Agriculture - 1818 - 546 pages
...qu'on appelle ainsi; j'en ignore la raison ). Ce seroit à ne pas s'entendre, si la petite y étoit. Ma foi, madame, reprit M. Duclos, vous n'y entendez rien : je lui donnerois tout d'uç coup une idée juste des choses, ruoi; vous n'avez qu'à me laisser faire. Oh... | |
| France - 1846 - 460 pages
...pour notre compte, le tendre Arbassan (c'est M. Duclos qu'on appelle ainsi ; j'en ignore la raison ). Ce serait à ne pas s'entendre , si la petite y était....des choses, moi; vous n'avez qu'à me laisser faire. Oh! je n'en doute pas , reprit-elle ; mais nous ne sommes plus nu temps où l'on nppelait un chat un... | |
| François Barrière, Mathurin Lescure - France - 1857 - 462 pages
...compte, le tendre Arbàssan ( c'est M. Duclos qu'on appelle ainsi ; j'en ignore la raison). Ce serait ù ne pas s'entendre, si la petite y était. Ma foi ,...des choses, moi; vous n'avez qu'à me laisser faire. Oh! je n'en doute pas , reprit-elle ; mais nous ne sommes plus au temps ou l'on appelait un chat un... | |
| Louise Florence Pétronille Tardieu d'Esclavelles Epinay (marquise d') - France - 1863 - 484 pages
...qu'on appelle ainsi: j'en ignore la raison). Ce seroit à ne pas s'entendre, si la petite y étoit. — Ma foi, madame, reprit M. Duclos, vous n'y entendez...des choses, moi; vous n'avez qu'à me laisser faire. — Oh! je n'en doute pas, reprit-elle; mais nous ne sommes plus au temps où l'on appeloit un chat... | |
| Emile Colombey - French literature - 1892 - 438 pages
...laissez, laissez, nous aurons assez de peine à faire taire pour notre compte le tendre Arbassan (1). Ce serait à ne pas s'entendre si la petite y était. — Ma foi, madame, dit Duclos, vous n'y entendez rien : je lui donnerais tout d'un coup une idée juste des choses, moi... | |
| Emile Colombey - French literature - 1892 - 654 pages
...laissez, laissez, nous aurons assez de peine à faire taire pour notre compte le tendre Arbassan (1)^ Ce serait à ne pas s'entendre si la petite y était. — Ma foi, madame, dit Duclos, vous n'y entendez rien : je lui donnerais tout d'un coup une idée juste des choses, moi... | |
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