Histoire du règne de Louis-Philippe 1er, 1830 à 1848, Volume 1V. Lecou, 1855 - France |
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accusés adoptée allait Amis du Peuple août armes assurément avaient Belgique Benjamin Constant Berryer Bourbons c'était Casimir Perrier Chambre des députés Chambre des pairs Charles Charles X Charte citoyens commission Conseil constitutionnel Cormenin cour cris Croix-Rousse débat déclara demander devait discours discussion dit-il drapeau duc d'Orléans duchesse de Berry Dupin Dupont de l'Eure électoral fabricants faisait famille force garde nationale général Lafayette gouvernement Guernon de Ranville Guizot hommes jour Juillet l'hérédité l'Hôtel-de-Ville l'opposition l'ordre Laffitte légitimistes liberté liste civile Louis Louis XVIII Louis-Philippe Lyon madame maréchal Mauguin membres ment Messieurs millions ministres Montalivet n'avait n'était Odilon Barrot ordonnances ouvriers Palais-Royal parole patriotes Peyronnet Polignac politique Pologne populaire portant position pouvait préfet président prince principe prit procès proclamation proposition question Ranville républicain réunion révolution de 1830 royale s'était séance Sébastiani serait serment seul société des Amis tion tribune trône troupes trouvait Vendée vive vote voulait
Popular passages
Page 110 - En présence de Dieu , je jure d'observer fidèlement la » Charte constitutionnelle, avec les modifications exprimées » dans la déclaration ; de ne gouverner que par les lois et » selon les lois; de faire rendre bonne et exacte justice a » chacun selon son droit , et d'agir en toutes choses dans la » seule vue de l'intérêt, du bonheur et de la gloire du peuple
Page 45 - Les députés de la France en ce moment réunis à Paris ont exprimé le désir que je me rendisse dans cette capitale pour y exercer les fonctions de lieutenant général du royaume.
Page 23 - La république nous exposerait à d'affreuses di« visions : elle nous brouillerait avec l'Europe. « Le duc d'Orléans est un prince dévoué à la « cause de la révolution. « Le duc d'Orléans ne s'est jamais. battu contre « nous. « Le duc d'Orléans était à Jemmapes. « Le duc d'Orléans est un roi citoyen.
Page 34 - Il faut donc empêcher qu'aucune proclamation ne soit faite qui, déjà, désigne un chef lorsque la forme même du gouvernement ne peut être déterminée. « 11 existe une représentation provisoire de la nation. Qu'elle reste en permanence jusqu'à ce que le vœu de la majorité des Français ait pu être connu. « Dans toutes les circonstances, ce vœu a pu être consulté. Ne faisons point aujourd'hui un pas rétrograde dans...
Page 89 - ... millions d'hommes, j'aurais regardé comme un crime toute parole en contradiction avec le besoin des temps : je n'ai pas cette conviction. Si j'avais le droit de disposer d'une couronne, je la mettrais volontiers aux pieds de M. le duc d'Orléans. Mais je ne vois de vacant qu'un tombeau à Saint-Denis, et non un trône.
Page 85 - L'article 23 de la Charte sera soumis à un nouvel examen dans la session de 1831. 69. Il sera pourvu successivement par des lois séparées, et dans le plus court délai possible, aux objets qui suivent : 1° L'application du jury aux délits de la presse et aux délits politiques; 2°...
Page 86 - Je reçois avec une profonde émotion la déclaration que vous me présentez ; je la regarde comme l'expression de la volonté nationale, et elle me paraît conforme aux principes politiques que j'ai professés toute ma vie. Rempli de souvenirs qui...
Page 32 - La réunion des députés , actuellement à Paris, a pensé qu'il était urgent de prier SAR monseigneur le duc d'Orléans de se rendre dans la capitale pour y exercer les fonctions de lieutenant général du royaume , et de lui exprimer le vœu de conserver les couleurs nationales; elle a , de plus , senti la nécessité de s'occuper , sans relâche, d'assurer à la France, dans la prochaine session...
Page 89 - Pieux libellistes, le renégat vous appelle ! Venez donc balbutier un mot, un seul mot avec lui pour l'infortuné maître qui vous combla de ses dons et que vous avez perdu.
Page 89 - Je reconnais au malheur toutes les sortes de puissance, excepté celle de me délier de mes serments de fidélité. Je dois aussi rendre ma vie uniforme : après tout ce que j'ai fait, dit et écrit pour les Bourbons, je serais le dernier des misérables si je les reniais au moment où, pour la troisième et dernière fois, ils s'acheminent vers l'exil.