Œuvres, précédées d'une notice par Mérilhou, Volume 8 |
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accusés applaudit assemblée assignats aurait avez Barnave besoin Bournissac château d'If chose citoyens comité des monnaies commerce commissaire de l'hôtel concours conseil constitution convention nationale corps législatif coupable créan créanciers crets crime crime de lèse-nation cuivre d'or déclaration délibération demande deniers députés despotisme directeur division doit donner doute espèces essayeurs évêque fabrication finances force publique fort Saint-Jean gardes nationales grains graveur guerre hommes hôtels des monnaies j'ai juges justice karats l'abbé Maury l'assem l'assemblée nationale l'état l'or et l'argent lesdits liberté lois magistrats marc Marseille matière membres ment messieurs mesure métaux milice ministres Mirabeau monétaire moyen municipalité naies nation numéraire officiers pables paix parle peuple pièces poids politique pourra pouvoir exécutif pré préopinant présente prévôt principes procédure projet de décret propose public qu'un question rentes rentiers royaume s'il SÉANCE seigneuriage sénéchaussée de Marseille sera seront seul sieur Chompré système tion titre toyens tribunal troupes valeur véritable VIII Voilà
Popular passages
Page 180 - On dirait qu'on ne peut sans crime avoir deux avis dans une des questions les plus délicates et les plus difficiles de l'organisation sociale. C'est une étrange manie, c'est un déplorable aveuglement que celui qui anime ainsi les uns contre les autres des hommes qu'un même but, un sentiment unique, devraient, au milieu des...
Page 205 - Ne serait-il pas digne denous, messieurs, de nous unir à cet acte religieux , de participer à cet hommage rendu , à la face de l'univers , et aux droits de l'homme et au philosophe qui a le plus contribué à en propager la conquête sur toute la terre...
Page 204 - Le sage que deux mondes réclament, l'homme que se disputent l'histoire des sciences et l'histoire des empires, tenait sans doute un rang élevé dans l'espèce humaine. Assez longtemps les cabinets politiques ont notifié la mort de ceux qui ne furent grands que dans leur éloge funèbre. Assez longtemps l'étiquette des cours a proclamé des deuils hypocrites.
Page 200 - Le droit de la paix et de la guerre appartient à la nation. La guerre ne pourra être décidée que par un décret du Corps Législatif, qui sera rendu sur la proposition formelle et nécessaire du Roi, et ensuite sanctionné par Sa Majesté.
Page 193 - ... de la lumière que nous empruntons de lui. Tout peut se soutenir, excepté l'inconséquence : dites-nous qu'il ne faut pas de roi, ne dites pas qu'il ne faut qu'un roi impuissant, inutile.
Page 201 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 181 - ... de l'opinion populaire, cet homme porte avec lui la récompense de ses services, le charme de ses peines et le prix de ses dangers; il ne doit attendre sa moisso'n, sa destinée, la seule qui l'intéresse, la destinée de son nom, que du temps, ce juge incorruptible qui fait justice à tous. Que ceux qui prophétisaient depuis huit jours mon opinion sans la connaître, qui calomnient en ce moment mon discours sans l'avoir compris, m'accusent d'encenser des idoles impuissantes au moment où elles...
Page 169 - ... concours de moyens ? Lorsqu'il s'agit de l'exécution, ce qui doit être fait par plusieurs personnes n'est jamais bien fait par aucune. Où serait d'ailleurs, dans un...
Page 182 - ... la guerre. Vous avez dit : Il faut distinguer l'action et la volonté; l'action appartiendra au roi, la volonté au corps législatif. Ainsi, lorsqu'il s'agira de déclarer la guerre, cette déclaration étant un acte de volonté, ce sera au corps législatif à la faire. Après avoir exposé ce principe, vous l'avez appliqué à chaque article de mon décret. Je suivrai la même marche...
Page 174 - États voisins, distribuer les forces de terre et de mer ainsi qu'il le jugera convenable, et en régler la direction en cas de guerre.