Histoire des Montagnards, Volume 2 |
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10 août accusé armées armes avaient Barbaroux Barère barre bras Brissot c'était Camille Desmoulins canon Capet cesse citoyens cœur comité conscience constitution Convention nationale coup couvrir crime cris Danton décret demande députés devant dictature Dieu dit-il Dumouriez ennemis événements faction femmes feuille force front Gironde Girondins glaive gouvernement guerre hébertistes heures hommes idées j'ai Jacobins jeter jour justice l'abbé l'Ami du peuple l'Assemblée nationale l'échafaud l'ennemi l'homme laissé Législative liberté Louis Capet Louis XVI Lucile madame Roland mademoiselle Fleury main maison Marat massacres Maximilien membres ment misère monarchie Montagnards Montagne mort mouvement multitude n'avait nation parole passer patrie patriotisme politique porte président prêtres principes prison République Révolution Révolution française révolutionnaire Robespierre rois royalistes royauté s'était Saint-Just salle salut public sang sauver séance sentiment seul silence sort terreur terrible tête Théroigne tion tocsin tomber tribune trône Tuileries tyrans victimes Vieux Cordelier voilà voix vote voulait yeux
Popular passages
Page 127 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée 1 1.
Page 102 - La ville de Paris et tous ses habitants sans distinction seront tenus de se soumettre sur-le-champ et sans délai au roi, de mettre ce prince en pleine et entière liberté et de lui assurer, ainsi qu'à toutes les personnes royales, l'inviolabilité et le respect auxquels le droit de la nature et des gens oblige les sujets envers les souverains; Leurs...
Page 159 - Eh! qu'est-il besoin de discuter quand tout le monde est d'accord ! Les rois sont dans l'ordre moral ce que les monstres sont dans l'ordre physique. Les cours sont l'atelier des crimes et la tanière des tyrans. L'histoire des rois est le martyrologe des nations. Dès que nous sommes tous également pénétrés de cette vérité, qu'est-il besoin de discuter?
Page 285 - Dans mon opinion la justice veut que Louis meure, et la politique le veut également. Jamais , je l'avoue, devoir ne pesa davantage sur mon cœur que celui qui m'est imposé ; mais je pense que pour prouver votre attachement aux lois de l'égalité , pour prouver que les ambitieux ne vous effraient point , vous devez frapper de mort le tyran. Je vote pour la mort.
Page 102 - Tuileries est forcé ou insulté , que s'il est fait la moindre violence, le moindre outrage à leurs majestés le roi, la reine et à la famille royale, s'il n'est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté...
Page 59 - Je continue et je dénonce à M. Robespierre un homme qui, par amour pour la liberté de sa patrie, devrait peut-être s'imposer à lui-même la peine de l'ostracisme, car c'est servir le peuple que de se dérober à son idolâtrie. Je lui dénonce...
Page 168 - On prétend qu'il est parmi nous des hommes qui ont l'opinion de vouloir morceler la France ; faisons disparaître ces idées absurdes, en prononçant la peine de mort contre leurs auteurs. La France doit être un tout indivisible. Elle doit avoir unité de représentation. Les citoyens de Marseille veulent donner la main aux citoyens de Dunkerque.
Page 372 - D'ailleurs, je suis persécutée pour la cause de la liberté; je suis malheureuse; il suffit que je le sois pour avoir droit à votre protection , » Il était sept heures du soir.
Page 234 - Quand vous aurez eu pendant quelque temps des officiers de morale qui auront fait pénétrer la lumière auprès des chaumières, alors il sera bon de parler au peuple morale et philosophie. Mais jusque-là il est barbare, c'est un crime de lèse-nation que d'ôter au peuple des hommes dans lesquels il peut trouver encore quelques consolations.
Page 450 - Tuileries : l'espérance et la gaieté rayonnaient sur tous les visages ; les femmes ajoutaient à l'embellissement par les parures les plus élégantes. On sentait qu'on célébrait la fête de l'auteur de la Nature. Robespierre mangeait peu.