Bulletin de la Société d'études historiques, scientifiques, artistiques, et littéraires des Haute-Alpes

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Popular passages

Page 184 - Dusse-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.
Page xix - Bulletin de la Société de statistique, des sciences naturelles et des arts industriels de l'Isère, 3' série, ti Annales de la Société littéraire, scientifique et artistique d'Apt, 4 e année.
Page 116 - Lecousse, et ont, le père et les témoins, signé avec nous le présent acte, après que lecture leur en a été faite.
Page 184 - O nuit ! Nuit du néant, prends-moi ! — La chose est sûre : Quelqu'un m'a dévoré le cœur. Je me souviens.
Page 11 - Provençaux s'en dédommageaient-ils par des mots, lui donnant même la place d'honneur dans cet adage bien connu: « le parlement, le mistral et la Durance sont les trois fléaux de la Provence...
Page 18 - ... et que, entraînées par leur poids, elles ont tout naturellement glissé vers ce fond et s'y sont entassées. Mais, suivant Posidonius, cette plaine n'est autre chose qu'un ancien lac, dont la surface, par suite d'une agitation ou fluctuation...
Page 27 - Dauphiné : les roches vertes: euphotides, « serpentines, variolites, etc., viennent du Briançonnais, « surtout des alentours du Mont-Genèvre. Or, en étudiant « de près le musée minéralogique de la Crau, on a reconnu « que les roches particulières à la vallée de la Durance n'y « figuraient que dans une proportion fort restreinte ; de
Page 145 - La base de ces alluvions est à 12o-13o mètres au-dessus du Buëch, soit voisine de 920 mètres : elles correspondent à la plus haute terrasse de la région, celle des Egaux. Mongil, etc., avec laquelle elles se raccordaient certainement; elles sont donc pliocènes.
Page 59 - Durance, issu du défilé d'Orgon, s'ouvrit un chemin à l'ouest, et creusa d'avance le lit dans lequel passe mainte^ nant le canal des Alpines.
Page 25 - Crau, de certains cailloux que cette rivière est supposée y avoir déposés, parce que seule elle a pu les arracher à leurs gisements primitifs. Or, nous avons déjà vu que ces cailloux n'avaient guère plus de chemin à faire si le Rhône s'était chargé de leur transport.

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