Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 27Charpentier, 1867 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires aime amie amour assez aurait bataille de Sadowa Belton Benjamin Constant Bernin c'était capitaine Aylmer cause chambre château d'Aylmer Château-Belton chère chose Clara Amedroz cœur cousin crois demande devait dire disait dit-il donner doute êtes eût femme fille force François Ier Frédéric frère fût garde nationale général gouvernement Green Heine heures heureux homme idées j'ai jamais jour Jules Favre l'aime l'avait l'Espagne l'homme Lady Aylmer Lafayette laisser lettre liberté Louis XVI Machiavel main maison malheur mariage Mary ment mieux Mme Askerton Mme de Staël monde morale mort Murcie n'avait n'en n'était nation nationale papa parler parole passé passion pauvre pendant pensée père Perivale personne peuple peut-être Plaistow poète politique pourtant pouvait première Prusse qu'un question reste Révolution rien Rosalie s'était s'il Sainte-Beuve sais savait semble sentiment serait seul Sir Anthony sœur sorte sujet Taunton tion trouve venir veux voilà voudrais voulait vrai Winterfield
Popular passages
Page 487 - Défenseur (de cette liberté que j'idolâtre, libre moi-même plus que personne, en venant comme ami offrir mes services à cette république si intéressante, je n'y porte que ma franchise et ma bonne volonté, nulle ambition, nul intérêt particulier; en travaillant pour ma gloire, je travaille pour leur bonheur.
Page 75 - ... quoique ma tendresse pour mes peuples ne soit pas moins vive que celle que j'ai pour mes propres enfants, quoique je partage tous les maux que la guerre fait souffrir à des sujets aussi fidèles, et que j'aie fait voir à toute l'Europe que je...
Page 661 - ... révolution, tant de victoires et de sang, de douleurs et de prodiges, n'aient pour le monde et pour vous d'autre résultat qu'un régime arbitraire. Le peuple français a trop connu ses droits pour les avoir oubliés...
Page 514 - Nous jurons d'être à jamais fidèles à la nation, à la loi et au roi ; de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi...
Page 691 - , répondit le duc d'Orléans, « il est impossible d'avoir passé deux ans en Amérique et de n'être pas de cet avis ; mais croyez-vous, dans la situation de la France et d'après l'opinion générale, qu'il nous convienne de l'adopter...
Page 491 - Je premier transport d'une espérance trompée. Tous ceux qui raisonnent reconnaîtront les avantages que nous devons à la flotte française et au zèle de son commandant; mais dans un gouvernement libre et républicain, vous ne pouvez comprimer la voix de la multitude; chacun parle comme il pense, ou pour mieux dire sans penser, et par conséquent juge les résultats , sans remonter aux causes.
Page 513 - ... l'ordre ancien n'était que servitude, et dans ce cas l'insurrection est le plus saint des devoirs ; mais pour la constitution il faut que l'ordre nouveau s'affermisse, que...
Page 505 - M. le Marquis de la Fayette, acceptant cet honneur avec tous les signes de respect et de reconnaissance, a tiré son épée ; et il a fait serment de sacrifier sa vie à la conservation de cette liberté si précieuse, et dont on daignait lui confier la défense.
Page 513 - Cette affaire, obscure dans quelques détails, est, pour les gens instruits, fort claire sur les points principaux. Si Favras a vécu, ainsi qu'on l'assure, en aventurier, il est mort en héros de fidélité et de courage. Monsieur, depuis Louis XVIII, son auguste complice, a manqué de l'une et de l'autre. Le roi et la reine étaient étrangers au complot ou n'en connaissaient pas la principale intention; ils n'eurent jamais confiance dans leur frère; la reine le croyait avec raison son ennemi...
Page 690 - ... qu'avant de prendre un parti décisif, il faudrait commencer par stipuler, en assemblée générale, les conditions désirées par le peuple, et déférer la couronne en même temps qu'on proclamerait les garanties stipulées.