Vorlesungen über die Freiheitskriege, Part 1 |
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Adel alten Amerika Aristokratie Autokratie begann Bewegung Bildung bloß Cabinet Colonien Convent deſſen deutschen dieſe dieß Droysen Freiheitskriege eben Eigenthum Einfluß endlich England englischen Entwickelung erhob erklärte erst Europa Europa's forderte Frankreich franzöſiſchen Freiheit freilich Frieden Frohnden Fürsten ganze geistlichen Geschichte Gewalt Girondisten gleich groß großen Grund Handel heißt hieß höchsten hohe Pforte Holland Irland Jahre Jahrhunderts jeht Kaiser Kampf Katholiken Kirche König Königthum konnte Kraft Krieg Krone Land Leben lehten lichen ließ Lord Lord North Ludwig XIV Maaße machen Macht mächtig Maſſe Menschen Minister Monarchie muß müſſen mußte Nation nationalen neue Niederlande Nothwendigkeit Oestreich Paris Parlament Pitt Polen Politik Preußen Princip Protestantismus Recht Regierung Reich Reichsstände Republik Revolution Rußland sagt Schelde schien Schuß ſei ſein ſeine ſeit ſelbſt ſich ſie Sieg sollte Staat Stadt Stände ständischen Thätigkeit Theil tief ungeheuren unsere Unterhaus Unterthanen Verfaſſung Verhältnisse Volk völlig ward Weise weiter Welt Wesen Whigs wieder Willkühr wohl
Popular passages
Page 79 - Sorbonne, qui décidait nettement que tous les biens de ses sujets étaient à lui en propre, et que, quand il les prenait, il ne prenait que ce qui lui appartenait ; qu'il avouait que cette décision l'avait mis fort au large, ôté tous ses scrupules, et lui avait rendu le calme et la tranquillité qu'il avait perdus.
Page 243 - The power of King, Lords, and Commons is not an arbitrary power. They are the trustees, not the owners, of the estate. The fee-simple is in US.
Page 30 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 28 - Le prince , en tant que prince, n'est pas regardé comme un homme particulier : c'est un personnage public , tout l'État est en lui ; la volonté de tout le peuple est renfermée dans la sienne.
Page 451 - Lien plus encore, quand la détresse de cet ennemi n'est occasionnée que par les moyens dont il s'est servi pour nous nuire; et il est incontestable que ce cas, d'un genre absolument nouveau, ne peut être jugé d'après des principes et des règles établies pour les cas des guerres poursuivies selon l'usage ordinaire des souverains de l'Europe. On doit aussi remarquer, qu'en admettant dans ses ports les armateurs français avec...
Page 380 - Si quelque puissance étrangère que ce soit voulait, a titre d'actes et stipulations précédentes quelconques, ou de leur interprétation, s'attribuer le droit de se mêler des affaires internes de la République de Pologne ou de ses dépendances, en tel temps ou de quelque manière que ce soit, SM le roi de Prusse s'emploiera d'abord, par ses bons offices les plus efficaces, pour prévenir les hostilités par rapport à une pareille prétention; mais, si ces bons offices...
Page 380 - L'a/*. 6 est le plus important. Il dit : « Si quelque puissance étrangère que ce soit vouloit, à titre d'actes et stipulations précédentes quelconques, ou de leur interprétation, s'attribuer le droit de se mêler des affaires internes de la république de Pologne ou de ses...
Page 396 - ... mécontents; si les puissances s'entendent pour parler un langage ferme et uni, il y aura un retour des esprits vers l'ordre. Si, au contraire, on essaie une restauration par la guerre civile, tout est perdu, on fera des massacres, et c'est l'espérance des révolutionnaires pour arriver à leur but. Une fois la guerre civile commencée , nulle puissance ne pourra la comprimer ; voilà pourquoi le roi n'a jamais voulu consentir à la rentrée des émigrés qui mettraient le feu de la guerre civile...