Histoire de mon temps: 1814-1815. 2. ptie. Restauration: t.4 1815-1820E. Plon, Nourrit, 1894 - France |
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... choses faisaient que ces souvenirs , si chers à la grande majorité des Français , étaient pénibles pour le Roi , la famille royale et presque tous ceux qui revenaient avec eux . La situation était délicate , car presque personne ne ...
... choses faisaient que ces souvenirs , si chers à la grande majorité des Français , étaient pénibles pour le Roi , la famille royale et presque tous ceux qui revenaient avec eux . La situation était délicate , car presque personne ne ...
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... choses indispensables aux besoins de la vie et de la santé , elles étaient énumérées avec une minutieuse sollicitude . Certainement M. Beugnot , en adoptant cette mesure , en se chargeant de la faire exécuter , n'avait point obéi à sa ...
... choses indispensables aux besoins de la vie et de la santé , elles étaient énumérées avec une minutieuse sollicitude . Certainement M. Beugnot , en adoptant cette mesure , en se chargeant de la faire exécuter , n'avait point obéi à sa ...
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... choses étaient plus accentuées encore au ministère de la justice . Le chancelier , M. Dambray , y avait apporté , de ... chose de très magistral , et , quand j'entrai dans la carrière , on ne faisait aucun doute qu'il ne fût destiné aux ...
... choses étaient plus accentuées encore au ministère de la justice . Le chancelier , M. Dambray , y avait apporté , de ... chose de très magistral , et , quand j'entrai dans la carrière , on ne faisait aucun doute qu'il ne fût destiné aux ...
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... choses . Aussi eut - il soin de qualifier le Conseil d'État de « Conseil privé » ou « des parties » . Il hasarda un peu plus tard une tentative qui ne laissa aucun doute sur ses intentions . Il n'avait pas mieux com- pris l'institution ...
... choses . Aussi eut - il soin de qualifier le Conseil d'État de « Conseil privé » ou « des parties » . Il hasarda un peu plus tard une tentative qui ne laissa aucun doute sur ses intentions . Il n'avait pas mieux com- pris l'institution ...
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... chose près , les mêmes que celles attribuées au Conseil d'État impérial . La réunion générale du Conseil devint dès lors si parfaitement inutile que , hors la séance d'installation , qui fut présidée par le Roi dans la salle accoutumée ...
... chose près , les mêmes que celles attribuées au Conseil d'État impérial . La réunion générale du Conseil devint dès lors si parfaitement inutile que , hors la séance d'installation , qui fut présidée par le Roi dans la salle accoutumée ...
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Common terms and phrases
affaires allait alliés arriva assez aurait avaient bataille de Waterloo Blacas Bonaparte C'était cabinet Carnot cause Cent-jours Chambre des députés Chambre des pairs Chambre des représentants commandement commission confiance congrès Conseil d'État conséquences décidé déclaration demander départ devait dispositions donner doute duc d'Angoulême duc de Berry duc de Vicence duc de Wellington envoyé esprit fallait Fayette Fouché fût Gand garde nationale général gouvernement royal Grouchy guerre hommes j'ai jours l'abbé de Montesquiou l'Angleterre l'armée l'Autriche l'avait l'empereur Alexandre l'Europe laisser leyrand lord Castlereagh Louis XVIII maison de Bourbon Majesté maréchal Ney maréchal Soult ment Metternich ministre Molé Monsieur moyen Murat n'avait n'était Napoléon négociations Pasquier passer penser personne plénipotentiaires police politique porter pouvait préfet premier prendre prince proclamation projet proposition Prusse Prussiens puissances refus résolution reste rien royaume Russie s'était Saxe sentiments serait seul sion situation souverains succès Talleyrand tion traité troupes trouvait venait Vienne Vitrolles voulait
Popular passages
Page 242 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Wapoléon II, empereur des Français.
Page 299 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 242 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 76 - Je garderai ce que j'occupe. — Votre Majesté ne voudra garder que ce qui sera légitimement à elle. — Je suis d'accord avec les grandes puissances. — J'ignore si Votre Majesté compte la France au rang de ces puissances.
Page 225 - La lutte dans laquelle nous sommes engagés est sérieuse. L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer. La...
Page 140 - J'ai revu ma patrie; je l'ai réconciliée avec les puissances étrangères, qui seront, n'en doutez pas, fidèles aux traités qui nous ont rendus à la paix; j'ai travaillé au bonheur de mon peuple; j'ai recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour; pourrais-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense...
Page 224 - Il est possible que le premier devoir du prince m'appelle bientôt à la tête des enfans de la nation pour combattre pour la patrie. L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, pairs et...
Page 161 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois et a manifesté à la face de l'univers qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui.
Page 333 - Nos plénipotentiaires nous ont donné les mêmes assurances à leur retour. « Cependant, les ministres et les généraux des puissances alliées ont déclaré hier, dans les conférences qu'ils ont eues avec le président de la commission, que tous les souverains s'étaient engagés à replacer Louis XVIll sur le trône et qu'il doit faire ce soir ou demain son entrée dans la capitale.