1814-1815. 2. ptie. Restauration: t.4. 1815-1820Plon, 1894 - France |
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... jours après , M. le directeur général hasarda une publication bien autre- ment grave . Il fit paraître une ordonnance sur l'observa- tion des dimanches et fêtes . Elle avait sans doute un but louable , mais elle était au moins ...
... jours après , M. le directeur général hasarda une publication bien autre- ment grave . Il fit paraître une ordonnance sur l'observa- tion des dimanches et fêtes . Elle avait sans doute un but louable , mais elle était au moins ...
Page 18
... jour , devint implacable contre le gou- vernement royal ; nos relations en furent très gênées . Dans les discussions qui s ... jours sans avoir pu nous entendre . Pour le calmer sur le présent , j'avais essayé de lui rappeler toutes les ...
... jour , devint implacable contre le gou- vernement royal ; nos relations en furent très gênées . Dans les discussions qui s ... jours sans avoir pu nous entendre . Pour le calmer sur le présent , j'avais essayé de lui rappeler toutes les ...
Page 30
... jours parut au moins douteux . Il fut dû principalement à l'adresse et à l'habileté que développa dans la discussion M. Béren- ger , directeur général des impôts indirects . M. Louis lui eut en cette occasion les plus grandes ...
... jours parut au moins douteux . Il fut dû principalement à l'adresse et à l'habileté que développa dans la discussion M. Béren- ger , directeur général des impôts indirects . M. Louis lui eut en cette occasion les plus grandes ...
Page 53
... jours plus convaincu de son peu d'apti- tude pour les fonctions qui lui étaient dévolues ; je ne puis à cet égard conserver le moindre doute , souvent il venait déjeuner chez moi , il trouvait un soulagement à me conter ses inquiétudes ...
... jours plus convaincu de son peu d'apti- tude pour les fonctions qui lui étaient dévolues ; je ne puis à cet égard conserver le moindre doute , souvent il venait déjeuner chez moi , il trouvait un soulagement à me conter ses inquiétudes ...
Page 60
... jour fut pris , si je ne me trompe , dans la première quinzaine de janvier . En voyant arriver l'abbé , nous fûmes ... jours menacé dans sa position ministérielle . Il avait mal dissimulé sa désapprobation de l'entrée du maréchal Soult ...
... jour fut pris , si je ne me trompe , dans la première quinzaine de janvier . En voyant arriver l'abbé , nous fûmes ... jours menacé dans sa position ministérielle . Il avait mal dissimulé sa désapprobation de l'entrée du maréchal Soult ...
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Common terms and phrases
affaires allait alliés arriva assez aurait avaient bataille de Waterloo Blacas Bonaparte C'était cabinet Carnot cause Cent-jours Chambre des députés Chambre des pairs Chambre des représentants commandement commission confiance congrès Conseil d'État conséquences décidé déclaration demander départ devait dispositions donner doute duc d'Angoulême duc de Berry duc de Vicence duc de Wellington envoyé esprit fallait Fayette Fouché fût Gand garde nationale général gouvernement royal Grouchy guerre hommes j'ai jours l'abbé de Montesquiou l'Angleterre l'armée l'Autriche l'avait l'empereur Alexandre l'Europe laisser leyrand lord Castlereagh Louis XVIII maison de Bourbon Majesté maréchal Ney maréchal Soult ment Metternich ministre Molé Monsieur moyen Murat n'avait n'était Napoléon négociations Pasquier passer penser personne plénipotentiaires police politique porter pouvait préfet premier prendre prince proclamation projet proposition Prusse Prussiens puissances refus résolution reste rien royaume Russie s'était Saxe sentiments serait seul sion situation souverains succès Talleyrand tion traité troupes trouvait venait Vienne Vitrolles voulait
Popular passages
Page 242 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Wapoléon II, empereur des Français.
Page 299 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 242 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 76 - Je garderai ce que j'occupe. — Votre Majesté ne voudra garder que ce qui sera légitimement à elle. — Je suis d'accord avec les grandes puissances. — J'ignore si Votre Majesté compte la France au rang de ces puissances.
Page 225 - La lutte dans laquelle nous sommes engagés est sérieuse. L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer. La...
Page 140 - J'ai revu ma patrie; je l'ai réconciliée avec les puissances étrangères, qui seront, n'en doutez pas, fidèles aux traités qui nous ont rendus à la paix; j'ai travaillé au bonheur de mon peuple; j'ai recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour; pourrais-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense...
Page 224 - Il est possible que le premier devoir du prince m'appelle bientôt à la tête des enfans de la nation pour combattre pour la patrie. L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, pairs et...
Page 161 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois et a manifesté à la face de l'univers qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui.
Page 333 - Nos plénipotentiaires nous ont donné les mêmes assurances à leur retour. « Cependant, les ministres et les généraux des puissances alliées ont déclaré hier, dans les conférences qu'ils ont eues avec le président de la commission, que tous les souverains s'étaient engagés à replacer Louis XVIll sur le trône et qu'il doit faire ce soir ou demain son entrée dans la capitale.