Histoire de mon temps: 1814-1815. 2. ptie. Restauration: t.4 1815-1820E. Plon, Nourrit, 1894 - France |
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Page 10
... ce que j'avance est , au reste , acquise par le projet de loi sur la presse dont j'aurai bientôt à parler et qu'il rédigea LE CHANCELIER DAMBRAY . 11 conjointement avec M. Guizot , 10 MÉMOIRES DU CHANCELIER PASQUIER .
... ce que j'avance est , au reste , acquise par le projet de loi sur la presse dont j'aurai bientôt à parler et qu'il rédigea LE CHANCELIER DAMBRAY . 11 conjointement avec M. Guizot , 10 MÉMOIRES DU CHANCELIER PASQUIER .
Page 30
... parler de deux projets , l'un sur la restitution des biens d'émigrés non vendus , et l'autre sur la réduction du nombre des membres de la Cour de cassation . J'ai dit les tentatives faites , les idées jetées dans le public , dès les pre ...
... parler de deux projets , l'un sur la restitution des biens d'émigrés non vendus , et l'autre sur la réduction du nombre des membres de la Cour de cassation . J'ai dit les tentatives faites , les idées jetées dans le public , dès les pre ...
Page 46
... parler « de ses droits ; toutes les faveurs qui tombent sur des << hommes n'en ayant pas fait partie semblent lui être « dérobées . On s'associe à sa gloire qui devient une pro- priété nationale : chaque jour on s'y attache davantage ...
... parler « de ses droits ; toutes les faveurs qui tombent sur des << hommes n'en ayant pas fait partie semblent lui être « dérobées . On s'associe à sa gloire qui devient une pro- priété nationale : chaque jour on s'y attache davantage ...
Page 54
... parler comme de l'un des hommes dont les Bourbons pouvaient tirer le meilleur parti . Sous le rapport de la modération dans les idées , d'une complète absence de prévention relativement aux personnes , cela était vrai ; mais il n'avait ...
... parler comme de l'un des hommes dont les Bourbons pouvaient tirer le meilleur parti . Sous le rapport de la modération dans les idées , d'une complète absence de prévention relativement aux personnes , cela était vrai ; mais il n'avait ...
Page 63
... parler du travail de l'abbé de Montesquiou sur l'Université . Peut - être eût - il été plus sage de lui con- server encore pendant quelque temps l'organisation qu'elle tenait de la puissance impériale ; du moment où on jugeait à propos ...
... parler du travail de l'abbé de Montesquiou sur l'Université . Peut - être eût - il été plus sage de lui con- server encore pendant quelque temps l'organisation qu'elle tenait de la puissance impériale ; du moment où on jugeait à propos ...
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Common terms and phrases
affaires allait alliés arriva assez aurait avaient bataille de Waterloo Blacas Bonaparte C'était cabinet Carnot cause Cent-jours Chambre des députés Chambre des pairs Chambre des représentants commandement commission confiance congrès Conseil d'État conséquences décidé déclaration demander départ devait dispositions donner doute duc d'Angoulême duc de Berry duc de Vicence duc de Wellington envoyé esprit fallait Fayette Fouché fût Gand garde nationale général gouvernement royal Grouchy guerre hommes j'ai jours l'abbé de Montesquiou l'Angleterre l'armée l'Autriche l'avait l'empereur Alexandre l'Europe laisser leyrand lord Castlereagh Louis XVIII maison de Bourbon Majesté maréchal Ney maréchal Soult ment Metternich ministre Molé Monsieur moyen Murat n'avait n'était Napoléon négociations Pasquier passer penser personne plénipotentiaires police politique porter pouvait préfet premier prendre prince proclamation projet proposition Prusse Prussiens puissances refus résolution reste rien royaume Russie s'était Saxe sentiments serait seul sion situation souverains succès Talleyrand tion traité troupes trouvait venait Vienne Vitrolles voulait
Popular passages
Page 242 - ... j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils, sous le titre de Wapoléon II, empereur des Français.
Page 299 - Français que j'aimerai à choisir ceux qui doivent approcher de ma personne et de ma famille. . . Je ne veux exclure de ma présence que ces hommes dont la renommée est un sujet de douleur pour la France , et d'effroi pour l'Europe.
Page 242 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 76 - Je garderai ce que j'occupe. — Votre Majesté ne voudra garder que ce qui sera légitimement à elle. — Je suis d'accord avec les grandes puissances. — J'ignore si Votre Majesté compte la France au rang de ces puissances.
Page 225 - La lutte dans laquelle nous sommes engagés est sérieuse. L'entraînement de la prospérité n'est pas le danger qui nous menace aujourd'hui. C'est sous les fourches Caudines que les étrangers veulent nous faire passer. La...
Page 140 - J'ai revu ma patrie; je l'ai réconciliée avec les puissances étrangères, qui seront, n'en doutez pas, fidèles aux traités qui nous ont rendus à la paix; j'ai travaillé au bonheur de mon peuple; j'ai recueilli, je recueille tous les jours les marques les plus touchantes de son amour; pourrais-je à soixante ans mieux terminer ma carrière qu'en mourant pour sa défense...
Page 224 - Il est possible que le premier devoir du prince m'appelle bientôt à la tête des enfans de la nation pour combattre pour la patrie. L'armée et moi nous ferons notre devoir. Vous, pairs et...
Page 161 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois et a manifesté à la face de l'univers qu'il ne saurait y avoir ni paix ni trêve avec lui.
Page 333 - Nos plénipotentiaires nous ont donné les mêmes assurances à leur retour. « Cependant, les ministres et les généraux des puissances alliées ont déclaré hier, dans les conférences qu'ils ont eues avec le président de la commission, que tous les souverains s'étaient engagés à replacer Louis XVIll sur le trône et qu'il doit faire ce soir ou demain son entrée dans la capitale.