Miscellanées poétiques; ou, Poésies diverses, suivies de Jugurtha a Rome: tragédiePotier-Nozeran, 1842 - 255 pages |
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Miscellanees Poetiques, Ou Poesies Diverses Suivies de Jugurtha a Rome: Tragedie Potier No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
Adherbal affreux aïeux arts audace BATAILLE DE NAVARIN BÉBIUS BOMILCAR bourreaux bras braver bruit Carthage ciel ciel radieux cieux Cirtha citoyens cœur COLOMBE combats consul CORNÉLIE courage couronne courroux crime cris débris devant dieux doux enfants ennemis FAUSTUS feux flétrir flots forfaits Forum foudre Frioul front fureur gloire Gracchus Gracques Grèce gronde guerre Gulussa haine héros Hiempsal honneur honte HYPERMNESTRE j'ai jour justice L'AIGLE l'onde l'or l'orgueil l'univers lâche lauriers LICTEURS lieux lois long-temps LYNCÉE main malheureux MASSIVA Mastanabal MEMMIUS MÉTELLUS Micipsa monde montrer mort mourir murs neuf sœurs noble Numance Numidie OPIMIUS oppresseur orgueil paix palais pâle patrie père peuple pleurs prince puissance punir rage réveil rivaux rois Romains s'élance Salluste sang de Masinisse sanglants SCAURUS SCÈNE sceptre Scipion sénat sénateurs seul siècle soldats sort soutien terre Tibre tombeaux tomber tonnerre tremblant trépas tribuns triomphant trône tyrans vainqueur vengeance venger vengeur victoire vœux voix yeux zéphyre
Popular passages
Page 75 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Page 239 - Louis était monté sur le trône à vingt ans ; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs ; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice ; il y fut économe, juste, sévère ; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui, il le détruisit. Le peuple demandait l'abolition de la servitude ; il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines. Le peuple sollicitait des réformes...
Page 239 - Le peuple voulut la liberté, il la lui donna ' : // vint même au-devant de lui par ses sacrifices; et cependant, c'est au nom de ce même peuple qu'on demande aujourd'hui... Citoyens, je n'achève pas... Je m'arrête devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre jugement, et que le sien sera celui des siècles.
Page 239 - ... il commença par l'abolir lui-même dans ses domaines ;le peuple sollicitait des réformes dans la législation criminelle pour l'adoucissement du sort des accusés, il fit ces réformes ; le peuple voulait que des milliers de Français que la rigueur de nos usages avait privés jusqu'alors des droits qui appartiennent aux citoyens, acquissent ces droits ou les recouvrassent, il les en fit jouir par ses lois ; le peuple voulut la liberté, et il la lui donna ! Il vint même au-devant de lui par...
Page 239 - Entendez d'avance l'histoire qui redira à la Renommée : Louis était monté sur le trône à vingt ans; et à vingt ans, il donna sur le trône l'exemple des mœurs; il n'y porta aucune faiblesse coupable, ni aucune passion corruptrice; il y fut économe, juste, sévère; il s'y montra toujours l'ami constant du peuple. Le peuple désirait la destruction d'un impôt désastreux qui pesait sur lui : il...
Page 89 - Embellira la vie au sein de nos remparts. Ah ! de cet heureux jour, qui ne luit pas encore, Du Tibre à la Tamise on entrevoit l'aurore. L'art de multiplier, d'éterniser l'esprit, D'offrir à tous les yeux tout ce qui fut écrit, Renouvelle le monde, et dans l'Europe entière Déjà de tous côtés disperse la lumière. L'audace enfin succède à la timidité, Le désir de connaître à la crédulité ; Ce qui fut décidé maintenant s'examine, Et vers nous pas à pas la raison s'achemine. La voix...
Page 235 - Poésie célébrant les grands événemens et s'associant aux fêtes publiques , dans les temps anciens et dans les temps modernes , et qui obtint une demi-couronne 2.
Page 240 - Citoyens, je n'achève pas; je m'arrête » devant l'histoire ; songez qu'elle jugera votre ju» gement, et que le sien sera celui des siècles. » Desèze cessa de parler. Ni son éloquence sage et mesurée , ni la force et la vérité de ses raisons ne changèrent point les dispositions de ces hommes déterminés dans leur cœur à condamner Louis à la mort. Ils l'avaient écouté en silence; mais c'était ce froid silence du cœur qui ferme...
Page vi - Nous n'avons point désigné chaque pièce par uns appellation de genre , parce que nous avons remarqué que ces appellations , souvent arbitraires , nuisent presque toujours à la pièce désignée, en la faisant juger, non d'après ce qu'elle est , mais d'après ce qu'on suppose qu'elle doit être.
Page 253 - Nam illa quidem piget dicere , bis annis » quindecim quàm ludibrio fuerilis superbiœ paucorum; » quàm fœdè , quàmque inulti perierint vestri defensores ; ut