 ... il me prodigua gratuitement les soins littéraires les plus assidus. Quoique je ne fusse qu'un écolier de sixième, -il me faisait lire beaucoup et apprendre par cœur, d'un bout à l'autre, des tragédies de Racine et de Voltaire qu'il avait la...  Vie du R. P. Lacordaire - Page 22by Joseph-Théophile Foisset - 1870 - 27 pagesFull view - About this book
 | Bernard Chocarne (O. P.) - 1868 - 720 pages
...tragédies de Racine et de Voltaire, qu'il avait la patience de me faire réciter. Ami des lettres, il cherchait à m'en inspirer le goût; homme de droiture...jamais, et je gardais le même silence à son égard. Si ce don précieux ne lui eût pas fait défaut, il eût été pour moi le conservateur de mon âme... | |
 | Bernard Chocarne - 1866 - 866 pages
...tragédies de Racine et de Voltaire, qu'il avait la patience de me faire réciter. Ami des lettres, il cherchait à m'en inspirer le goût; homme de droiture...jamais, et je gardais le même silence à son égard. Si ce don précieux ne lui eût pas fait défaut, il eût été pour moi le conservateur de mon âme,... | |
 | Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 176 pages
...tragédies de Racine et de Voltaire qu'il avait la patience de me faire réciter^ Ami des lettres, il cherchait à m'en inspirer le goût ; homme de droiture...jamais et je gardais le même silence à son égard. Si ce don précieux ne lui eût pas fait défaut, il eût été pour moi le conservateur de mon âme,... | |
 | Henri-Dominique Lacordaire - 1870 - 170 pages
...la patience de me faire réciter. Ami des lettres, il cherchait à m'en inspirer le goût ; homme do droiture et d'honneur, il travaillait à me rendre...jamais et je gardais le même silence à son égard. Si ce don précieux ne lui eût pas fait défaut, il eût été pour moi le conservateur de mon âme,... | |
 | Marie Joseph Ollivier - 1888 - 334 pages
...tragédies de de Racine et de Voltaire, qu'il avait la patience de me faire réciter. Ami des lettres, il cherchait à m'en inspirer le goût ; homme de droiture...d'honneur, il travaillait à me rendre doux, chaste, sin(i) Pierre Leroux était le rival le plus sérieux de M. Huchet dans les concours de fin d'année.... | |
 | 1906 - 598 pages
...dont il alluma en lui l'enthousiasme sacré. "Ami des lettres, dit de lui l'illustre dominicain, il cherchait à m'en inspirer le goût, homme de droiture...peu docile. La religion lui était étrangère ; il n'en parlait jamais, et je gardais le même silence à son égard. Si ce don précieux ne lui eût... | |
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