États, Volume 1Chez Devaux, libraire, au Palais royale, 1789 - France |
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Common terms and phrases
adreffe affemblée affez affurer ainfi arrêté ASSEMBLÉE NATIONALE auffi auroit avoient avoit bafe bailliage Bailly Biozat bureau c'eft c'eſt ceffe chambre Chapelier chofe citoyens clergé comité commettans commiffaires comte conciliation confeil conféquence conférences confidération conftitution curé déclaration demandé députés des communes devoit difcours difcuffion duc d'Orléans efprits enfuite eſt états généraux étoient étoit expofa falle nationale falloit fans doute fe font féance feconde femblée fentimens fentiment féparément feroient feroit feul figné foient foir foit fommes foulager fuivant fur le champ garde des fceaux jufqu'à l'abbé Syeyes l'affem l'affemblée nationale l'archevêque de Vienne l'aſſemblée laiffer lecture loix lorfque majefté majorité Malouet mandats mandats impératifs meffieurs membres miniftres Mirabeau motion n'eft n'étoit nation néceffaire Necker nobleffe nobleſſe nommé obfervé ordres paffé penfer perfonnes peuple plufieurs préfenté préfident premiere principes procès-verbal propofé propofition proteftations queftion Rabaud raifon refpect réponſe repréfentans s'eft Saint-Domingue Target tiers-état tion vérification des pouvoirs voix
Popular passages
Page 166 - L'Assemblée nationale, considérant qu'appelée à fixer la constitution du royaume, opérer la régénération de l'ordre public, et maintenir les vrais principes de la monarchie, rien ne peut empêcher qu'elle ne continue ses délibérations dans quelque lieu qu'elle soit forcée de s'établir, et qu'enfin partout où ses membres sont réunis, là est l'Assemblée nationale...
Page 54 - Dans cet état de choses , qui replace les députés des communes dans leur première position, l'assemblée juge qu'elle ne peut plus attendre dans l'inaction les classes privilégiées , sans se rendre coupable envers la nation , qui a droit , sans doute, d'exiger d'elle un meilleur emploi de son temps.
Page 74 - Nous venons, Messieurs, précédés du flambeau de la raison, conduits par l'amour du bien public, nous placer à côté de nos concitoyens, de nos frères. Nous accourons à la voix de la patrie...
Page 55 - Messieurs, nous sommes chargés, par les députés des communes de France, de vous prévenir qu'ils ne peuvent différer davantage de satisfaire à l'obligation imposée à tous les représentants de la nation. Il est temps assurément que ceux qui annoncent cette qualité se reconnaissent par une vérification commune de leurs pouvoirs, et commencent enfin à s'occuper de l'intérêt national, qui...
Page 228 - C'est la raison et la justice , c'est l'intérêt » de la patrie qui les appellent et qui nous » en répondent. » Travaillons de concert à la régénération » du royaume , au soulagement du peuple. » Nous porterons la vérité au pied du trône, » et sa voix sera entendue par un roi dont » la religion peut être surprise, mais dont » les intentions sont justes et la bonté inalt é
Page 405 - États-généraux, qui s'était attribué un nom et des pouvoirs qui ne peuvent appartenir qu'à la réunion des trois ordres ; voulant donner au Roi des preuves de leur déférence...
Page 56 - ... pour assister, concourir et vous soumettre comme eux à la vérification commune des pouvoirs. Nous sommes en même temps chargés de vous avertir que l'appel général de tous les bailliages convoqués se fera dans une heure;.
Page 67 - Je n'ai pu voir sans peine et même sans inquiétude l'Assemblée nationale que j'ai convoquée pour s'occuper avec moi de la régénération du royaume, livrée à une inaction qui, si elle se prolongeait, ferait évanouir les espérances que j'ai conçues pour le bonheur de mes peuples et la prospérité de l'État.
Page 90 - A quelque moment que les députés absents se présentent dans le cours de la session qui va s'ouvrir, elle déclare d'avance qu'elle les recevra avec joie et qu'elle s'empressera , après la vérification de leurs pouvoirs , de partager avec eux les grands travaux qui doivent procurer la régénération de la France.
Page 173 - L'esprit d'innovation menaçait la constitution ; l'ordre de la noblesse a réclamé les principes , il a suivi les luis et les usages. » Les ministres de Votre Majesté ont porté, de sa part, aux conférences un plan de conciliation : Votre Majesté a demandé que ce plan fût accepté, ou tout autre ; elle a permis d'y joindre les précautions convenables. L'ordre de la noblesse les a prises, Sire, conformément aux vrais principes; il a...