Vertu et tempérament: histoire du temps de la Restauration, 1818-1820-1832, Volume 1E. Renduel, 1832 - France |
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Page 64
... mari , l'affaire s'était com- pliquée au point que les plus habiles juriscon- sultes hésitaient à fixer une solution , lorsque la mort du comte vint ajouter des embarras inextricables à ce dédale de chicanes : on con- tinua cependant à ...
... mari , l'affaire s'était com- pliquée au point que les plus habiles juriscon- sultes hésitaient à fixer une solution , lorsque la mort du comte vint ajouter des embarras inextricables à ce dédale de chicanes : on con- tinua cependant à ...
Page 84
... mari comme elle avait subjugué sa mère par la magie de l'admiration on la citait pour modèle aux jeunes filles ; on pré- senterait aux jeunes femmes son exemple à imiter ; elle aurait peu de rivales de vertu . : Henriette , qui à vingt ...
... mari comme elle avait subjugué sa mère par la magie de l'admiration on la citait pour modèle aux jeunes filles ; on pré- senterait aux jeunes femmes son exemple à imiter ; elle aurait peu de rivales de vertu . : Henriette , qui à vingt ...
Page 86
... mari et de tes enfans ? Mon Henriette , que tu es charmante ce matin ! -Est - ce là ce qui vous causait de l'hu- meur ? Quand vous êtes entrée , je croyais ap- prendre une vilaine nouvelle . Vous étiez sor- tie de bonne heure ? Avez ...
... mari et de tes enfans ? Mon Henriette , que tu es charmante ce matin ! -Est - ce là ce qui vous causait de l'hu- meur ? Quand vous êtes entrée , je croyais ap- prendre une vilaine nouvelle . Vous étiez sor- tie de bonne heure ? Avez ...
Page 90
... mari : le beau remède qu'un divorce après un scandale public ! voilà une tache à ma réputation ! L'opinion du monde me séparait de toute connivence avec Bias , et on plaignit mon infortune au lieu de l'accabler de mé- pris ; je me ...
... mari : le beau remède qu'un divorce après un scandale public ! voilà une tache à ma réputation ! L'opinion du monde me séparait de toute connivence avec Bias , et on plaignit mon infortune au lieu de l'accabler de mé- pris ; je me ...
Page 91
... mari ; il était ton père , il souffrait , il m'écri- vait des lettres à fendre le cœur ; mais tu as raison , je ne devais pas avoir pitié de lui , qui n'eut pitié ni de sa femme , ni de sa fille , qui me laissa ruinée et déshonorée ; j ...
... mari ; il était ton père , il souffrait , il m'écri- vait des lettres à fendre le cœur ; mais tu as raison , je ne devais pas avoir pitié de lui , qui n'eut pitié ni de sa femme , ni de sa fille , qui me laissa ruinée et déshonorée ; j ...
Common terms and phrases
aime André avez baiser beau Bias bras çà cabinet capitaine Nantil chambre chapeau charte chère cheveux cœur comte d'Artois comte Dorand comtesse concierge conspiration corbeille coup cria dame devant Diable dit-elle domestique écoutait Edouard Dorand enfans êtes eût faisait femme fille Flore fortune François Ier garde Henriette interrompit j'ai j'aime j'aurais j'en jeune homme jolie Jules de Remicourt l'amour du jeu l'empereur laisser Lamoureux légion du Nord long-temps Louis XVIII m'aimez madame de Maule madame de Rochebonne madame Dorand mademoiselle de Châteauvert mademoiselle de Maule mademoiselle Maria main mariage ment messieurs modiste monde monsieur le comte mouchard n'avait Napoléon notaire officiers parole passé pensée père père de mademoiselle porte regards reprit le comte reste reux Ribac riette rougir rue d'Antin s'écria s'était salon sera seul Shakspeare sortir tête tion toilette vais veux voilà voiture voix voleur yeux
Popular passages
Page 340 - Nulle association de plus de vingt personnes, dont le but sera de se réunir tous les jours ou à certains jours marqués pour s'occuper d'objets religieux, littéraires, politiques ou autres, ne pourra se former qu'avec l'agrément du gouvernement, et sous les conditions qu'il plaira à l'autorité publique d'imposer à la société.
Page 196 - Lui seul est au-dessus de tout mot qui l'exprime. Éclair brillant et pur du feu qui nous anime; Étincelle ravie au grand foyer des cieux; Char de feu qui, vivants, nous porte au rang des dieux; Rayon, foudre des sens, inextinguible flamme Qui fond deux cœurs mortels et n'en fait plus qu'une âme, II est...
Page 248 - Eh ! qnel homme aima plus une femme!... C'était Un amour frais, brûlant, qui souffre et qui se tait, Le feu longtemps caché qui grandit sous la cendre. A force de se taire, il sut se faire entendre...
Page 22 - ... enfermées dans le cercle étroit d'une liberté qui s'étend seulement de la longueur de...
Page 19 - ... je vais me servir du langage usuel qui est compris de tout le monde, je vais faire jouer des ressorts de la vie commune et développer des senlimens que chacun a pu éprouver; il m'est donc permis de compter sur le mérite de l'actualité; on me lira sans études préliminaires, sans glossaire et sans e'tymologies-' j'en ressens presque un remords d'antiquaire.
Page 52 - A mesure que leurs inclinations divergeaient davantage les liens de leur affection mutuelle se resserraient au lieu de se détendre. La différence des caractères est rarement un obstacle à l'amitié comme à l'amour.
Page 96 - Le cœur lui-même n'échappe pas à l'obligation de se rapetisser au niveau du sort et de la condition où le hasard a placé l'homme.
Page 161 - A quoi bon? je n'épouserai pas la famille, j'ai assez de fortune pour deux; que m'importent ies antécédens qui ne sont plus, si je suis heureux du présent qui m'appartient?
Page 370 - Je vous rends grâce , ô rossignol! vous êtes la consolation du monde; par vous je l'atteindrai le grand rossignol , l'argent.
Page 24 - Montaigne; ce sont ces vertus de parade qui posent de chastes feuilles de vigne aux statues et allongent les robes de gaze des danseuses.