Je venais d'avoir vingt ans, lorsque ma mère entra un matin dans ma chambre, s'approcha de mon lit, m'embrassa en pleurant, et me dit : - Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions, pour payer nos dettes. - Eh bien, ma mère? - Eh bien, mon... The Monarchy of the Middle Classes: Or, France, Social, Literary, Political ... - Page 187by Henry Lytton Bulwer Baron Dalling and Bulwer - 1836 - 341 pagesFull view - About this book
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1833 - 758 pages
...mère entra un matin dans ma chambre, s'approcha de mon lit, m'embrassa en pleurant, et me dit : — Mon ami , je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes. — Eh Bien ! ma mère? — Eh bien ! mon pauvre enfant, nos dettes payées, il nous reste... | |
| Edward Bulwer Lytton Baron Lytton - Social Science - 1836 - 906 pages
...and said — " ' Mon ami, je viens de veudre tout ce que nous avions pour payer nos dettes '.f " ' Eh bien ! ma mere ?':£ " ' Eh bien ! my poor child,...what will you do there, mon pauvre ami?' " ' I'll sec the friends of my father, the Due de Bellnne, Sebastiani, Jourdan.' " ' Do as you will,' said my... | |
| Alain Auguste Victor de Fivas - 1838 - 150 pages
...d'avoir vingt ans lorsque ma mère entra un matin dans ma chambre, m'embrassa en pleurant, et me dit: "Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes." — " Eh bien, ma mère ?" —" Eh bien, mon pauvre enfant, nos dettes payées, il nous reste... | |
| 1844 - 662 pages
...mère entra un malin dans ma chambre, s'approcha de mon lit, m'embrassa en pleurant, et me dit ; — Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes. — Eh bien ! ma mère ? — Eh bien! mon. pauvre enfant, nos dettes payées, il nous reste... | |
| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - French language - 1850 - 176 pages
...d'avoir vingt ans lorsque ma mère entra un matin dans ma chambre, m'embrassa en pleurant, et me dit : " Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes."—" Eh bien, ma mère ?" —" Eh bien, mon pauvre epfant, nos dettes payées, il nous reste... | |
| A. A. V. de Fivas - 1852 - 166 pages
...d'avoir vingt ans lorsque ma mère entra un matin dans ma chambre, m'embrassa en pleurant, et me dit : " Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes."—"Eh bien, ma mère?" —" Eh bien, mon pauvre epfant, nos dettes payées, il nous reste 253 francs."—"De rente?..."—Ma... | |
| Alfred G. Havet - 1853 - 446 pages
...parler? 14. Je venais d'avoir 20 ans lorsque ma mère entra un matin dans ma chambre, et me dit : " Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes." (A. Dumas.) 1 5. Nous venons de le faire rire. 1 6. Vous auriez dû me le faire § savoir.... | |
| Gustave Chouquet - French language - 1855 - 266 pages
...mère entra un matin dans ma chambre, s'approcha de mon lit, m'embrassa en pleurant, et me dit : — Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes. — Eh bien, ma mère ? — Eh bien ! mon pauvre enfant, nos dettes payées, il nous reste... | |
| Alexandre Dumas - French drama - 1874 - 320 pages
...mère entra un matin dans ma chambre, s'approcha de mon lit, m'embrassa en pleurant, et me dit : — Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions, pour payer nos dettes. — Eh bien, ma mère ? — Eh bien, mon pauvre enfant, nos dettes payées, il nous reste deux... | |
| Marius Jean François Topin - French fiction - 1876 - 430 pages
...compléter, lorsqu'un matin sa mère entre dans sa chambre, s'approche de son lit et lui dit en pleurant : « Mon ami, je viens de vendre tout ce que nous avions pour payer nos dettes. Nos dettes payées, il nous reste deux cent cinquante-trois francs. — De rentes? dit Dumas.... | |
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