Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 11-12Paulin, 1834 - France |
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Page ix
... rendre cette affirma- tion successive , et nous avons trouvé toutes ses conséquences affirma- tives comme elle . Nous définirons l'homme une activité relative munie d'une raison et d'un corps . Nous avons prouvé que sa raison était le ...
... rendre cette affirma- tion successive , et nous avons trouvé toutes ses conséquences affirma- tives comme elle . Nous définirons l'homme une activité relative munie d'une raison et d'un corps . Nous avons prouvé que sa raison était le ...
Page 10
... rendre au roi une partie de son autorité absolue ; enfin , à quoi ne vous forceront - ils pas ? Quel sera le terme de leurs demandes insolentes et de vos lâches faiblesses ? Osez le fixer ; osez dire qu'arrivés à ce terme , vous aimerez ...
... rendre au roi une partie de son autorité absolue ; enfin , à quoi ne vous forceront - ils pas ? Quel sera le terme de leurs demandes insolentes et de vos lâches faiblesses ? Osez le fixer ; osez dire qu'arrivés à ce terme , vous aimerez ...
Page 11
... poignée d'Américains mal armés , mal disciplinés , et , avant de se rendre , faire mordre la poussière à plus de douze cents militaires anglais . Suivez le général Washington , faisant tête avec 3 à JUILLET ( 1791 ) 11.
... poignée d'Américains mal armés , mal disciplinés , et , avant de se rendre , faire mordre la poussière à plus de douze cents militaires anglais . Suivez le général Washington , faisant tête avec 3 à JUILLET ( 1791 ) 11.
Page 28
... rendre la justice en son nom ? Comment les magistrats ne seront - ils pas tentés de se cou- vrir le visage par pudeur , lorsqu'ils condamneront la fraude et la mauvaise foi au nom d'un homme qui n'aurait pas respecté sa foi ? Quel ...
... rendre la justice en son nom ? Comment les magistrats ne seront - ils pas tentés de se cou- vrir le visage par pudeur , lorsqu'ils condamneront la fraude et la mauvaise foi au nom d'un homme qui n'aurait pas respecté sa foi ? Quel ...
Page 33
... la personne royale pourrait se rendre coupable . Vous avez résolu hier , quoique vous ne l'ayez pas encore décrété , qu'en complétant T. II . 3 votre constitution vous détermineriez avec soin le cas où les JUILLET ( 1791 ) 55.
... la personne royale pourrait se rendre coupable . Vous avez résolu hier , quoique vous ne l'ayez pas encore décrété , qu'en complétant T. II . 3 votre constitution vous détermineriez avec soin le cas où les JUILLET ( 1791 ) 55.
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Common terms and phrases
accusateurs publics actes administrateurs agens applaudissemens applaudit articles assemblée assemblée nationale avez avocat avons Baill Barnave Beaumetz Brissot Champ-de-Mars citoyens actifs civile club club des Jacobins comité commissaires comte constitution convention nationale corps municipal corps-législatif coupable curé Dandré déclaration délibération demande départemens département députés despotisme directoire discours discussion district doit donner électeurs émigrans émigrés ennemis Fayette Feuillans fonctionnaires publics fonctions force garde nationale gouvernement guerre hommes j'ai Jacobins journal juge justice l'acte constitutionnel l'article l'assemblée nationale l'inviolabilité l'ordre du jour législatif législature lettre liberté libre lois long-temps Louis XVI maire maréchal-de-camp membres ment Messieurs mesures ministre motion moyens murmures nation non-sermentés officiers patrie patriotes Pétion pétition peuple politique pourra pouvoir exécutif premier présente président prêtres princes principes procès-verbal projet de décret propose proposition publique représentans révolution Robespierre royaume s'il salle sanction séance section Sén Sénéch sera serment seront seul société Thouret tion toyens tribunal tribune veto voix
Popular passages
Page 199 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 197 - ... afin que les actes du pouvoir législatif et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés ; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la constitution et au bonheur de tous.
Page 198 - La loi est l'expression de la volonté générale; tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation; elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 404 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 406 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 406 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 406 - La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n'est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l'exige évidemment, et sous la condition d'une juste et préalable indemnité.
Page 405 - Nul homme ne peut être accusé , arrêté , ni détenu que dans les cas déterminés par la loi , et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 199 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 406 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.