Histoire complête et authentique de Louis-Napoléon Bonaparte depuis sa naissance jusqu'uà ce jour: précédée d'un avant-propos intitulé Le 2 décembre devant l'histoire |
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... voulait son mandat , de choses et du pays ; il a fermé la bouche à une pressé qui tâchait tous les jours d'agiter et d'aveugler les masses , au lieu de les instruire et de les éclairér . En cela , il est vrai qu'il n'a pas observé la ...
... voulait son mandat , de choses et du pays ; il a fermé la bouche à une pressé qui tâchait tous les jours d'agiter et d'aveugler les masses , au lieu de les instruire et de les éclairér . En cela , il est vrai qu'il n'a pas observé la ...
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... voulait gouverner encore au rebours des instincts nouveaux , des nouveaux besoins de la France ; il voulait supprimer tou- tes les conquêtes faites par l'esprit de progrès en 89. Il renversa aussi une Assemblée , mais , en la renversant ...
... voulait gouverner encore au rebours des instincts nouveaux , des nouveaux besoins de la France ; il voulait supprimer tou- tes les conquêtes faites par l'esprit de progrès en 89. Il renversa aussi une Assemblée , mais , en la renversant ...
Page 15
... voulait qu'une chose , c'est que la France pût choisir librement son chef en 1852 : c'était là son crime aux yeux des partis . Le 2 décembre , les différentes factions parlementaires , se coali- sant alors pour une œuvre de destruction ...
... voulait qu'une chose , c'est que la France pût choisir librement son chef en 1852 : c'était là son crime aux yeux des partis . Le 2 décembre , les différentes factions parlementaires , se coali- sant alors pour une œuvre de destruction ...
Page 19
... voulait cet article . Et qui aurait - elle nommé ? La majorité était roya- liste , elle aurait , par son choix , préparé le re- tour d'une de ces royautés dont vous ne voulez pas ! Admettons qu'il en eût été autrement : vouliez- vous ...
... voulait cet article . Et qui aurait - elle nommé ? La majorité était roya- liste , elle aurait , par son choix , préparé le re- tour d'une de ces royautés dont vous ne voulez pas ! Admettons qu'il en eût été autrement : vouliez- vous ...
Page 29
... voulait pas s'éloigner de Paris , il pleurait , il frappait la terre du pied ; il fallut enfin l'emporter presque de vive force dans la voiture , et le calmer par la pro- messe d'un retour très - prochain . Caprice d'en- fant ! dira - t ...
... voulait pas s'éloigner de Paris , il pleurait , il frappait la terre du pied ; il fallut enfin l'emporter presque de vive force dans la voiture , et le calmer par la pro- messe d'un retour très - prochain . Caprice d'en- fant ! dira - t ...
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Common terms and phrases
10 décembre acte appelé Arenenberg Assemblée avez Berryer Bonaparte c'était cabinet candidature Cavaignac Chambre Changarnier chef choses citoyens Clément Thomas cœur colonel Vaudrey Commission conseil Constitution décret demande devant devoir dévouement drapeau Dufaure dynastie élections électorale épousa Ferdinand Barrot force garde nationale général Changarnier général Oudinot gloire Gouvernement guerre hommes impériale j'ai Jérôme Bonaparte jour journaux juger Juillet juin l'armée l'article l'As l'Assem l'Assemblée Nationale l'Empereur Ledru-Rollin législatif légitime Léon Faucher lettre liberté lois Louis Louis Bonaparte Louis-Napoléon LOUIS-NAPOLÉON BONAPARTE Louis-Philippe majorité membres ment Messieurs militaires ministres mois Napoléon Napoléon Bonaparte nation Odilon Barrot officiers Oudinot Pascal Duprat passé patrie pays pensée peuple poléon police politique pouvoir exécutif présent Prince principe proclamation questeurs reine Hortense repousse Représentants Répu républicains République reste révision révolution Rome s'était sentiments sera seul soldats souveraineté Strasbourg suffrage Suisse sympathies Thiers Thurgovie tion tribune VITET voix vote universel voulait
Popular passages
Page 29 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 430 - Je fais donc un appel loyal à la nation tout entière, et je vous dis : Si vous voulez continuer cet état de malaise qui nous dégrade et compromet notre avenir, choisissez un autre à ma place, car je ne veux plus d'un pouvoir qui est impuissant à faire le bien...
Page 260 - Elat. ,,Nous avons, citoyens représentants, une grande mission à remplir , c'est de fonder une république dans l'intérêt de tous et un gouvernement juste, ferme, qui soit animé d'un sincère amour du progrès, sans être réactionnaire ou utopiste. ..Soyons les hommes du pays , non les hommes d'un parti, et, Dieu aidant, nous ferons du moins le bien, si nous ne pouvons faire de grandes choses.
Page 430 - L'Assemblée, qui devait être le plus ferme appui de l'ordre, est devenue un foyer de complots. Le patriotisme de trois cents de ses membres n'a pu arrêter ses fatales tendances. Au lieu de faire des lois dans l'intérêt général, elle forge des armes pour la guerre civile ; elle attente au pouvoir que je tiens directement du peuple ; elle encourage toutes les mauvaises passions ; elle compromet le repos de la France : je l'ai dissoute, et je rends le peuple entier juge entre elle et moi.
Page 245 - Si j'étais nommé président, je ne reculerais devant aucun danger, devant aucun sacrifice pour défendre la société si audacieusement attaquée ; je me dévouerais tout entier, sans arrièrepensée, à l'affermissement d'une république sage par ses lois, honnête par ses intentions, grande et forte par ses actes. Je mettrais mon honneur à laisser, au bout de quatre ans, à mon successeur, le pouvoir affermi, la liberté intacte, un progrès réel accompli.
Page 139 - Représentant d'une cause politique, je ne puis accepter comme juge de mes volontés et de mes actes une juridiction politique. Vos formes n'abusent personne. Dans la lutte qui s'ouvre, il n'ya qu'un vainqueur et un vaincu. Si vous êtes les hommes du vainqueur, je n'ai pas de justice à attendre de vous, et je ne veux pas de votre générosité.
Page 429 - Soldats ! Soyez fiers de votre mission, vous sauverez la patrie, car je compte sur vous, non pour violer les lois, mais pour faire respecter la première loi du pays, la souveraineté nationale, dont je suis le légitime représentant. Depuis longtemps vous souffriez, comme moi, des obstacles qui s'opposaient et au bien que je voulais vous faire et aux démonstrations de votre sympathie en ma faveur. Ces obstacles sont brisés. L'assemblée a essayé d'attenter à l'autorité que je tiens de la nation...
Page 139 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie ; la défaite, vous voulez la venger.
Page 300 - J'apprends avec peine que les intentions bienveillantes du Saint-Père, comme notre propre action, restent stériles, en présence de passions et d'influences hostiles. On voudrait donner comme base à la rentrée du pape la proscription et la tyrannie. Dites de ma part au général Rostolan...
Page 307 - France à la hauteur de sa renommée, il faut des hommes, qui, animés d'un dévouement patriotique, comprennent la nécessité d'une direction unique et ferme et d'une politique nettement formulée : qui ne compromettent le Pouvoir par aucune irrésolution; qui soient aussi préoccupés de ma propre responsabilité que de la leur, et de l'action que de la parole.