Précis politique et militaire de la campagne de 1815, suppl. à la Vie de Napoléon, par le gén. J***. |
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... matin , pour passer cette rivière . Les troupes françaises occupaient , dès la veille , les positions suivantes : la droite , de 16 mille hommes , sous les ordres du comte Gérard , à Philippeville ; le centre , d'environ 60 146 VIE ...
... matin , pour passer cette rivière . Les troupes françaises occupaient , dès la veille , les positions suivantes : la droite , de 16 mille hommes , sous les ordres du comte Gérard , à Philippeville ; le centre , d'environ 60 146 VIE ...
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... matin . Si Napoléon ne connais- sait pas alors d'une manière précise la composition et l'emplacement de tous les corps ennemis , il savait du moins en gros que les Prussiens canton- naient de Charleroi jusqu'à Liége , et que les Anglo ...
... matin . Si Napoléon ne connais- sait pas alors d'une manière précise la composition et l'emplacement de tous les corps ennemis , il savait du moins en gros que les Prussiens canton- naient de Charleroi jusqu'à Liége , et que les Anglo ...
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... matin ; mais il est certain aussi que Napoléon donna à Ney , le 15 au soir , toutes les instruc- tions verbalement , de même qu'à Grouchy , auquel il or- donna de pousser jusqu'à Sombref , si cela était possible . Il est donc plus que ...
... matin ; mais il est certain aussi que Napoléon donna à Ney , le 15 au soir , toutes les instruc- tions verbalement , de même qu'à Grouchy , auquel il or- donna de pousser jusqu'à Sombref , si cela était possible . Il est donc plus que ...
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... matin , l'orga- nisation définitive de son armée en deux masses principales et une réserve : Grouchy eut le com- mandement de l'aile droite composée des corps de Vandame et de Gérard , avec ceux de cava- lerie de Pajol , Excelmans et ...
... matin , l'orga- nisation définitive de son armée en deux masses principales et une réserve : Grouchy eut le com- mandement de l'aile droite composée des corps de Vandame et de Gérard , avec ceux de cava- lerie de Pajol , Excelmans et ...
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... matin à Ney , ( 1 ) Cette organisation a trouvé des critiques , parce que dans le fait l'armée n'avait pas de centre ; on a pensé qu'il eût mieux valu extraire les quatrièmes divisions des deux corps de Reille et d'Erlon , et de les ...
... matin à Ney , ( 1 ) Cette organisation a trouvé des critiques , parce que dans le fait l'armée n'avait pas de centre ; on a pensé qu'il eût mieux valu extraire les quatrièmes divisions des deux corps de Reille et d'Erlon , et de les ...
Contents
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Common terms and phrases
15 au soir alliés Anglais armées arrivé assemblées attaque aurait avaient bataille bataille de Waterloo Benjamin Constant Blücher Bourbons Bruxelles Bulow c'était cavalerie chambre élective champ de mai Charleroi charte chaussée circonstances colonnes constitutionnel corps d'Erlon corps de Reille cuirassiers d'Hougomont d'infanterie députés devait division donner Dyle ennemis eussent eût fallait Fleurus forces forêt de Soignes Fouché Frasne fût garde gauche Gembloux Genape général Flahaut Gérard Gosselies gouvernement Grouchy guerre Haie-Sainte heures du matin impériales institutions jonction l'armée l'Empereur l'empire l'ennemi l'état l'Europe l'ordre laisser ligne Ligny Lobau Louis XVIII marche maréchal Ney masses ment mille hommes ministres monarchie Mont-Saint-Guibert mouvement n'avait n'était Namur Napo Napoléon nation nationale nuit ordre passé pays pensée peuple Pirch Planchenois politique position pouvait pouvoir prince Prussiens Quatre-Bras reste retraite réunir révolution Saint-Amand Sambre serait seul Sombref souveraineté succès système tion trône troupes trouvait Vandame verbal Waterloo Wavre Wellington Ziethen
Popular passages
Page 84 - Le goût des constitutions, des débats, des harangues paraît revenu... Cependant ce n'est que la minorité qui les veut, ne vous y trompez pas. Le peuple, ou si vous l'aimez mieux, la multitude, ne veut que moi.
Page 241 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 241 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 123 - ... trône qui m'est cher, parce qu'il est le palladium de l'indépendance, de l'honneur et des droits du peuple. Français, en traversant au milieu de l'allégresse publique les diverses provinces de l'empire pour arriver dans ma capitale, j'ai dû compter sur une longue paix; les nations sont liées par les traités conclus par leurs gouvernements, quels qu'ils soient.
Page 131 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 241 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 168 - Sa Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.
Page 241 - J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 126 - Nos constitutions sont éparses : une de nos plus importantes occupations sera de les réunir dans un seul cadre, et de les coordonner dans une seule pensée. Ce travail recommandera l'époque actuelle aux générations futures. J'ambitionne de voir la France jouir de toute la liberté possible ; je dis possible, parce que l'anarchie ramène toujours au gouvernement absolu.
Page 125 - ... leurs coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés.