Précis politique et militaire de la campagne de 1815, suppl. à la Vie de Napoléon, par le gén. J***. |
From inside the book
Results 1-5 of 23
Page 27
... place à un esprit de scepti- cisme et de discussion qui prétendait tout faire passer au creuset de la philosophie . Ces publicistes hardis pensaient qu'un droit , que les esprits forts et même toutes les classes éclairées nommaient un ...
... place à un esprit de scepti- cisme et de discussion qui prétendait tout faire passer au creuset de la philosophie . Ces publicistes hardis pensaient qu'un droit , que les esprits forts et même toutes les classes éclairées nommaient un ...
Page 35
... places , d'an- ciens employés impériaux qui voulaient les con- server , de jacobins qui demandaient aussi d'y avoir part , de doctrinaires qui prétendaient être seuls capables de conduire un état constitution- nel , d'anciens royalistes ...
... places , d'an- ciens employés impériaux qui voulaient les con- server , de jacobins qui demandaient aussi d'y avoir part , de doctrinaires qui prétendaient être seuls capables de conduire un état constitution- nel , d'anciens royalistes ...
Page 43
... places fortes , occupées encore par les trou- pes impériales , avant même d'avoir stipulé au- cune des conditions de la paix . Les traités de Paris , tracés à la pointe de l'épée avec une ri- gueur , justifiable sans doute comme ...
... places fortes , occupées encore par les trou- pes impériales , avant même d'avoir stipulé au- cune des conditions de la paix . Les traités de Paris , tracés à la pointe de l'épée avec une ri- gueur , justifiable sans doute comme ...
Page 47
... place sans en avoir reçu l'ordre . D'un autre côté , Toulon et Marseille n'étaient pas trop bien disposées . Toutefois , comme il importait de frapper promp- tement , Napoléon ne fut pas longtemps embar- rassé sur la route à tenir , car ...
... place sans en avoir reçu l'ordre . D'un autre côté , Toulon et Marseille n'étaient pas trop bien disposées . Toutefois , comme il importait de frapper promp- tement , Napoléon ne fut pas longtemps embar- rassé sur la route à tenir , car ...
Page 52
... place en 1814 , les lui aurait assez signalés ; mais ne pouvant invoquer ce prin- cipe en faveur de son retour , il dut s'efforcer de lui opposer le principe de la souveraineté natio- nale dans toute son étendue , comme le moyen le plus ...
... place en 1814 , les lui aurait assez signalés ; mais ne pouvant invoquer ce prin- cipe en faveur de son retour , il dut s'efforcer de lui opposer le principe de la souveraineté natio- nale dans toute son étendue , comme le moyen le plus ...
Contents
5 | |
14 | |
22 | |
28 | |
34 | |
40 | |
46 | |
54 | |
140 | |
146 | |
151 | |
159 | |
165 | |
176 | |
184 | |
190 | |
62 | |
69 | |
71 | |
78 | |
87 | |
106 | |
113 | |
120 | |
132 | |
196 | |
206 | |
213 | |
224 | |
226 | |
232 | |
243 | |
250 | |
Common terms and phrases
15 au soir alliés Anglais armées arrivé assemblées attaque aurait avaient bataille bataille de Waterloo Benjamin Constant Blücher Bourbons Bruxelles Bulow c'était cavalerie chambre élective champ de mai Charleroi charte chaussée circonstances colonnes constitutionnel corps d'Erlon corps de Reille cuirassiers d'Hougomont d'infanterie députés devait division donner Dyle ennemis eussent eût fallait Fleurus forces forêt de Soignes Fouché Frasne fût garde gauche Gembloux Genape général Flahaut Gérard Gosselies gouvernement Grouchy guerre Haie-Sainte heures du matin impériales institutions jonction l'armée l'Empereur l'empire l'ennemi l'état l'Europe l'ordre laisser ligne Ligny Lobau Louis XVIII marche maréchal Ney masses ment mille hommes ministres monarchie Mont-Saint-Guibert mouvement n'avait n'était Namur Napo Napoléon nation nationale nuit ordre passé pays pensée peuple Pirch Planchenois politique position pouvait pouvoir prince Prussiens Quatre-Bras reste retraite réunir révolution Saint-Amand Sambre serait seul Sombref souveraineté succès système tion trône troupes trouvait Vandame verbal Waterloo Wavre Wellington Ziethen
Popular passages
Page 84 - Le goût des constitutions, des débats, des harangues paraît revenu... Cependant ce n'est que la minorité qui les veut, ne vous y trompez pas. Le peuple, ou si vous l'aimez mieux, la multitude, ne veut que moi.
Page 241 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 241 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 123 - ... trône qui m'est cher, parce qu'il est le palladium de l'indépendance, de l'honneur et des droits du peuple. Français, en traversant au milieu de l'allégresse publique les diverses provinces de l'empire pour arriver dans ma capitale, j'ai dû compter sur une longue paix; les nations sont liées par les traités conclus par leurs gouvernements, quels qu'ils soient.
Page 131 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 241 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 168 - Sa Majesté me charge de vous dire que vous devez manœuvrer sur-le-champ, de manière à envelopper la droite de l'ennemi et tomber à bras raccourcis sur ses derrières; cette armée est perdue si vous agissez vigoureusement, le sort de la France est entre vos mains.
Page 241 - J'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi; les circonstances paraissent changées, je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 126 - Nos constitutions sont éparses : une de nos plus importantes occupations sera de les réunir dans un seul cadre, et de les coordonner dans une seule pensée. Ce travail recommandera l'époque actuelle aux générations futures. J'ambitionne de voir la France jouir de toute la liberté possible ; je dis possible, parce que l'anarchie ramène toujours au gouvernement absolu.
Page 125 - ... leurs coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés.