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Pacea donna la bénédiction du saint Sacrement.Le lendemain, Sa Sainteté assista avec les cardinaux et prélats à la messe solennelle célébrée par M. le cardinal Spinola; le père Carbonaro, pro-vicaire-général des clercs-réguliers-mineurs, prononça un discours latin.

Sa Sainteté a nommé camérier surnuméraire M. le comte Frédéric de Falloux du Coudray, Français.

Vierge, à celles de saint François de Paule, de saint François d'Assise, de saint Ferdinand, de tous les Saints et de la Commémoration des morts. Enfin, un Bref du 20 décembre accorde à la nouvelle église toutes les prérogatives et les indulgences dont jouissent les chapelles royales de Naples et de Portici.

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La veille de Noël, à trois heures et demie après midi, on exposa les reliques destinées à être placées sous les autels, et M. l'archevêque de SéFerdinand Ier, roi de Naples, ren- leucie, nonce apostolique, les vénéra tré dans cette partie de ses états après le premier. On continua de les védix ans d'éloignement, avoit voulu nérer pendant toute la nuit et jusqu'à acquitter un vœu qu'il avoit fait dans l'heure de la consécration de l'église. ses disgrâces, et avoit posé vis-à-vis La cérémonie commença le jour de son palais la première pierre d'une la fête, à huit heures du matin. Le grande église en l'honneur de saint roi, la famille royale et la cour se François de Paule. Cette belle entre- rendirent en cortège à l'église. M. le prise a été conduite à fin, et au bout nonce Ferretti, assisté des chapelains de vingt ans un autre Ferdinand a de la cour et des Pères Minimes, bé_pu ouvrir cet édifice au culte divin. nit les murs en dehors et en dedans. Rien n'a été épargné pour rendre ce On fit en dehors la procession des retemple digne de son objet. La ma-liques, et à la porte on lut les décrets gnificence et la piété des Bourbons y du concile de Trente et tout ce qui ont prodigué les marbres, les colon-intéresse le roi comme fondateur, et nes et toutes les décorations des arts. le peuple. Après quoi M. le nonce Le Saint-Père a érigé l'église en ba- achevêque fit les onctions à la porte silique avec les prérogatives des basi- de l'église et y attacha la croix du liques de Rome. Il a déclaré le maître- rit. On rentra ensuite dans l'église antel autel pontifical, avec faculté d'y avec les reliques, et l'autel pontifical officier solennellement les jours de fut consacré. La inesse pontificale fut Noël, de Pâque, de la Pentecôte, de célébrée par M. le nonce, assisté du saint Pierre et de saint Paul, de l'As- doyen de la chapelle royale, M. Fersomption, et le jour de la fête de saint dinand Corbi, évêque d'Ionopolis, François de Paule, et d'y célébrer la des autres chapelains et du clergé du messe basse en présence du roi ou palais, Le roi occupoit la tribune d'un membre de la famille royale. principale avec sa famille, le corps La bulle du 4 décembre déclare en diplomatique, les ministres, les géoutre autels privilégiés le maître-néraux, etc. Dans deux autres triautel, ceux du patron et de la sainte bunes construites exprès étoient les Vierge, et tous les autels où on dira personnages les plus distingués, la messe pour les morts de la famille hommes et daines, régnante. La bulle accorde encore étrangers. des indulgences aux fidèles qui visiteront cette église aux fètes ci-dessus désignées et à celles de la Circoncision, de l'Epiphanie, de l'Ascension, à toutes celles de la sainte

nationaux

et

-PARIS. - M. Delacroix, nommé à l'évêché de Gap, vient d'arriver à Paris, et l'on va procéder à ses infor

ations. Celles de M. Letourneur,

évêque nommé de Verdun, sont faites | c'est la licence des mariages civils et

déjà depuis quelque temps. On dit que M. le coadjuteur de Nancy, nommé à Bordeaux, a demandé à pouvoir faire ses informations sans ètre obligé de venir à Paris.

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la funeste hakitude qui prévaut dans quelques pays et dans quelques classes de négliger l'intervention de la religion dans l'acte le plus important de la vie domestique et sociale. Cette plaie désolante est le sujet d'une circulaire que M. l'évêque de Versailles a adressée le 12 décembre dernier à ses curés:

dit le prélat, c'est d'engager les ames dans Le premier effet de pareilles alliances, ici se faire illusion. Le contrat civil produit une vie criminelle. Car enfin il ne faut pas sans doute des effets importans dans l'ordre civil. Ce contrat est bon; il est même nécessaire, suivant nos institutions sociales. Mais qu'est-il dans l'ordre de la religion? qu'est-il dans l'ordre du salut? Est-ce à ce contrat que Jésus-Christ a altaché des promesses? et sous le règne de l'Evangile, est-ce du code qu'il faut attendre, pour les époux chrétiens, la grâce de vivre et de mourir saintement ? Non. certes. De

Cinq missionnaires du séminaire des Missions-Etrangères se disposeut à partir prochainement pour l'Orient; on les croit destinés pour Siam. Ils sont allés dernièrement prendre leurs passeports à la préfecture de police. Ils ont déposé chacun dix francs qui sont exigés, suivant l'usage, pour tous les passeports à l'étranger. Mais M. le préfet de police, instruit du but de leur voyage, n'a point voulu qu'on reçût cette somme. Il étoittrop heureux, a-t-il dit, de montrer quel intérêt il prenoit à leur généreux dévouement. Ce procédé est d'autant plus remarquable que M. le préfet de police, on le sait, est protestant, et qu'aux époques où la religion paroissoit le plus favorisée, la préfec-pnis que le Sauveur du monde a élevé ture de police n'avoit pas montré tant de bienveillance pour les pauvres missionnaires.

La souscription pour la fondation d'un petit-séminaire en Corse continue heureusement. Voici la seconde liste :

l'union conjugale à la dignité de sacrement, il n'y a plus, pour les vrais disci ples, qu'une seule manière d'entrer dans le mariage. C'est par l'Eglise qu'il faut passer: c'est par le ministère du prêtrẻ qu'il faut faire bénir son union. Sans quoi l'iniquité s'attache au pacte conjugal : en devenant époux on devient parjure; el'. pour vivre sous le manteau de la loi, on n'en vit pas moins dans le désordre, l'ignominie et le scandale.

» Un autre effet des mariages purement civils, c'est la haine dont s'arment contre l'Eglise les personnes engagées dans ce mauvais état. Hérode décapita saint JeanBaptiste, parce que saint Jean-Baptiste condamnoit le mariage d'Hérode. Dè

M. l'évêque de Nancy, 100 fr.; M. l'é. vêque de Versailles, 300 fr.; M. le comte Pozzo di Borgo, ambassadeur de Russie à Londres, 1,200 fr.; M. le comte Pozzo di Borgo neveu, 300 fr.; madame la contesse Pozzo di Borgo, née Crillon 200 f.; M. de Genoude, 100 fr.; l'Univers religieux, 100 fr.; M. l'abbé Stefani, recteur de Châtillon, 100 fr.; M. l'abbé Castellani, vicaire à Vaugirard, 30 fr.; M. l'ab-même il est bien difficile que des époux bé Malaspina, du clergé de Saint-Nicolas criminels ne passent point de la révolte à des Champs, 25 fr.; M. l'abbé Giuliani, la haine. Il y a un non licet qui vient sans du clergé de Notre-Dame de Lorette, cesse frapper leurs oreilles, et empoison20-fr.; un anonyme, 3 fr. ner leurs joies coupables; et dans l'impuissance d'étouffer cette voix importune, il leur semble que c'est déjà quelque chose que de la détester et de la maudire. D'ail

Une des choses qui affligent le plus les amis de la religion et des mœurs,

:

leurs, ainsi que l'a remarqué un ancien, il est dans la nature de l'homme de haïr qui l'on a offensé, Proprium est ingenii humani odisse quem læseris. Ces époux mal obéissans ont méconnu l'autorité de l'Eglise ils l'ont blessée au cœur, en ne l'invitant pas à leurs noces; il est donc comme nécessaire qu'ils se fassent ses ennemis; et que, pour éviter l'anathème dont ils se croient menacés, les premiers ils disent anathème et à l'Eglise, et à ses

sacremens, et à son culte. »>

pas Dieu est patient, mais il est juste ; et il est impossible que sa colère n'éclate pas un jour sur les contempteurs de ses ordonnances, qui réduisent le mariage à des élémens tout humains, et font de la légalité comme un masque, pour couvrir. vaille que vaille, la corruption de leurs

mœurs. *

Le sage et pieux prélat veut aussi que l'on éclaire les fidèles sur les peines canoniques et les incapacités que les règles de l'Eglise imposent à ceux qui se privent des grâces du sa

M. l'évêque déplore les suites de cette première démarche, l'éloigne-crement. Il engage les cures à traiter ment des églises, la mauvaise éduca- de temps en temps ce sujet, et il tertion des enfans, l'habitude de vivre mine par des avis où on reconnoîtra dans l'oubli de la religion. Son zèle toute la sollicitude d'un charitable cherche ensuite les moyens d'y por- pasteur : ter remède, Un de ces moyens est l'instruction; il faut éclairer de bonne heure la jeunesse à cet égard:

« Dites-donc à vos paroissiens, à ceux surtout que l'avarice ou le respect humain conseillent mal, dites-leur que je suis prêt à user en leur faveur de tous les pouvoirs qui me sont départis, et qu'il n'y aura pour eux de conditions onéreuses que celles que j'aurai moi-même à subir. Ditesleur quelles bénédictions, même temporelles, sont ordinairement le prix de l'obéissance et de la piété filiale: l'Eglise est leur Mère, ils sont ses enfans; c'est à eux de conclure. Dites-leur que bienheureux sont les immaculés dans le chemin de la vie ; et que, s'il y a de la joie en ce monde, c'est évidemment pour ceux qui ont le cœur pur. Dites-leur enfin, que la grâce du mariage

L'instruction des autres âges ne doit pas moins éveiller la charité d'un pasteur. Combien en effet qui ne voient dans le sacrement de mariage qu'une pratique arbitraire, et comme un luxe de dévotion! Il faut les désabuser sur ce point; leur bien faire comprendre que si, en qualité de Français, ils sont redevables aux lois de l'état; en qualité de chrétiens, ils ne le sont pas moins aux lois de l'Eglise que l'acte civil répond à la première de ces qualités, et l'acte religieux à la seconde; et qu'on ne peut pas plus séparer ces deux acles, qu'on ne peut renoncer à son ori-est pour les époux de la nouvelle alliance, gine ou à son baptême. Nul ne s'avise, cette robe nuptiale dont il est parlé dans et il a raison, de ne se marier qu'à l'E l'Evangile; sans laquelle il n'y a lôt ou glise, parce que notre législation s'y op- tard que pleurs et grincemens de dents ; pose. Mais à côté de cette législation humais avec laquelle aussi on trouve place à maine, n'y en a-t-il pas une, plus âgée que la salle du festin, c'est-à-dire qu'on accelle-là de dix-huit siècles, fondée par quiert et les titres les plus honorables, et Jésus-Christ lui-même, laquelle défend les droits les plus précieux, et les plus aux chrétiens de ne s'unir que devant le consolans priviléges. N'est-ce donc rien magistral? Pourquoi donc en respectant pour des chrétiens que de représenter, l'une, croiroit-on pouvoir mépriser l'au- par leur alliance, l'union, la sainte union tre? Et ne scróit-ce pas le comble de la de Jésus-Christ et de son Eglise? N'est-ce démence que de craindre les menaces du rien que d'ennoblir ses affections, de pu. code pénal, et de ne pas craindre l'indi-rifier ses penchans, de placer sous une gnation du ciel? Qu'on ne s'y trompe consécration spéciale les devoirs si épi

neux du mariage? N'est-ce rien que de paroissiens, et pour soudiacre un de faire intervenir le ciel dans un engage ses neveux, tous deux élèves du grand ment d'où dépend le bonheur ou le mal séminaire. M. Montels a prononcé un heur de la vie? Et le support mutuel des discours où il a rendu hommage aux époux, et les douceurs de la paix domes- vertus du vénérable pasteur, et surtique, et cette espèce de jeunesse perpé- tout à l'inviolable attachement qu'il tuelle qui est le partage presque assuré des a montré pour les principes dans des cœurs vertueux, et le témoignage d'une circonstances difficiles. La paroisse a bonne conscience, et la sérénité des der-pris grande part à la cérémonie. niers jours... Tout cela, n'est ce rien? Ah! qu'ils en fassent l'expérience, ceux qu'un joug humiliant accable de tout son poids. Qu'ils reviennent à Dieu, qu'ils rentrent dans le giron de l'Eglise : et, en place des soucis qui les rongent, le calme renaîtra dans leur ame, la joie reparoîtra sur leur front; et ils comprendront enfin tout ce qu'il y a de vrai dans cette sublime exclamation du prophète : Qu'il est bon le Dieu d'Israël, pour ceux qui ont le cœur droit! Quam bonus Israel Deus his qui recto sunt corde.

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On a publié à Louvain un annuaire de l'Université catholique de Louvain 1837. Get annuaire se divise en

pour

trois parties. La première est sur le personnel de l'Université. On commence par donner les noms des six prélats de Belgique, puis les noms de tous les professeurs. Il y en a six pour la Faculté de théologie, MM. de Ram, recteur, professeur de droit ecclésiastique; Thiels, professeur de dogme; Verkest, de morale; Wouters, d'histoire ecclésiastique; Beelen, d'EcriLe dimanche 15, une jeune per-ture sainte et de langues orientales, sonne élevée dans la religion protestante a fait abjuration dans l'église Saint-Donatien, d'Orléans. Depuis long-temps elle sentoit le vide du protestantisme; elle étudia la religion catholique, et convaincue que la vérité ne se trouvoit que là, elle prit généreusement son parti. Elle a reçu la communion le même dimanche et se réjouit d'avoir vu se calmer les inquiétudes qui l'agitoient.

et Verhoeven, de droit-canon. Le collége des théologiens, dit du SaintEsprit, a pour président M. Verkest, et pour directeur M. Verhoeven.Sept étudians en théologie ont été reçus bacheliers. La deuxième partie contient les réglemens pour le régime intérieur de l'Université; nous ne remarquerons que le réglement du collége des théologiens; il paroît rédigé de manière à maintenir l'ordre et la régularité parmi les jeunes gens. Ils Le 26 décembre dernier, jour de la devront faire une retraite tous les ans, fète de saint Etienne, M. Bergeon, se former aux habitudes ecclésiasticuré de Castelnau, près Montpellier, ques, être assidus à la prière et à la a célébré son 50° anniversaire de sa-méditation, ainsi qu'aux classes. Les cerdoce. Ses confrères et amnis ont été samedis il y aura des discussions théoinvités à se rendre à Castelnau pour logiques. De plus, les étudians seront la cérémonie; de ce nombre étoient éprouvés par des compositions théoM. Fermand de la Lanquière, MM. les logiques qu'on leur donnera à faire, supérieurs du grand et du petit sémi- soit par des examens, soit par des naires, M. l'abbé Cullier, curé de thèses, où l'on suivra autant que posSaint-Denis de Montpellier, et M. l'ab-sible la forme scolastique. La troibé Montels, aumônier du Palais de sième partie comprend les lois et arJustice. M. Bergeon étoit assisté à rêtés sur l'enseignement supérieur, l'autel par M. le curé de Saint-De-sur le jury d'examen, etc. Une granis, et avoit pour diacre un de ses vure représente le bâtiment dit des

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Halles, qui est le siége de l'Université.

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La démolition de deux beaux couvens de Barcelonne vient de commen cer; l'un étoit celui des Cordeliers l'autre celui des Dominicains, déjà à demi-brûlé par les révolutionnaires. En Espagne comme en France, on s'acharne à entasser les ruines; belle civilisation que celle-là !

Un journal italien rapporte que les Jésuites ont été reçus de nouveau par la république de Buenos-Ayres, et qu'ils se proposent de fonder près de la frontière un établissement assez semblable aux anciennes colonies chrétiennes du Paraguay. Le président de la république, le général Roxas, favorise ce projet.

Le dimanche 13 novembre, M. l'archevêque de Chambéry a fait la consécration de l'église paroissiale de. Saint-Pierre de Maché, construite par l'ingénieur Melano. Cette église d'ordre dorique se compose de trois nefs; elle a 111 pieds de long sur 50 de haut et 61 de large. La cérémonie s'est faite avec beaucoup de pompe et en présence de toute la population. M. le chanoine Chevray a prononcé un discours où il a félicité les habitans de leur zèle. Ils n'ont épargné en effet ni soins, ni sacrifices. Les corps, les chefs de famille, les jeunes gens, les jeunes personnes ont ouvert des souscriptions pour ériger des autels en marbre. La ville a contribué généreusement à l'entreprise. M. Favre, curé de Ma-visation s'est élevé aux mouvemens de la ché et archiprêtre, a montré autant de goût que de zèle pour la décoration de son église. Le roi de Sardaigne et M. l'archevêque de Chambéry ont aussi contribué à ériger le nouvel édifice.

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POLITIQUE.

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M. Berryer dans sa chaleureuse impro

plus haute éloquence en imposant silence aux interrupteurs du centre avec le coup d'œil d'un homme d'état et la conviction d'un chrétien, il leur a déclaré d'une manière nette et précise que quand les affaires d'un pays sembloient le plus désespérées, c'est alors que Dieu intervenoit pour les débrouiller : « Oui, mes

Une gazette de Gênes annonce qu'on y voit en ce moment réunissieurs, s'est écrié le brillant orateur, Dieu, un bon nombre de religieux Fran- Dieu seul alors en finit. » Ce trait sublime ciscains, qui se disposent à partir en présence d'une assemblée où un prochainement pour les nouveaux homme a osé dire la loi est athée, rapétats situés dans l'Amérique méri- pelle celui de Massillon: Dieu seul® est dionale, le long des côtes de l'Océan grand! pacifique. Ces religieux ne sont pas moins de 150, et doivent s'embarqner sur divers bâtimens, pour être répartis ensuite dans trois nouvelles républiques, Bolivia, Lima et Chili. Ils s'y emploieront à prêcher la foi dans les nombreuses tribus indiennes qui n'ont pas encore ouvert les yeux à la lumière de l'Evangile.

Voici encore quelque chose qui, au besoin, serviroit à montrer combien l'es prit de discorde et de dissension est inné aux révolutions: les cortès constituantes d'Espagne n'ont voulu consentir à ce que le pouvoir législatif fût composé de deux chambres, qu'à cette condition expresse: Qu'elles différeront entre elles par les quaIl est à croire qu'un envoi si consi-lités personnelles des membres qui les comdérable de missionnaires, ne se fait poseront, point sans l'assentiment des gouvernemens des pays où ils se rendent.

Ainsi voilà des gens décidés à ne bi ǹ vivre ensemble qu'autant qu'ils auront les qualités requises pour y vivre mal, et

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