nal avec les corrections de sa main, et diffère notablement du texte, incomplet d'ailleurs, qui seul est connu jusqu'ici. C'est ainsi encore que, à côté de la notification officielle des volontés impériales transmise par le ministre Bigot de Préameneu, nous avons trouvé le curieux autographe inédit qui suit, et qu'on lira avec intérêt, comme une preuve de l'ingérence continuelle de Napoléon dans les délibérations du Concile et comme un nouveau type de l'imperatoria brevitas qui caractérisait son style. L Congrégation particulière nommée par le Concile pour répondre que ('ninch quell Message de Sa Majeste, peuse mojen your prou Concile. Concile, avaux de prononcer sur lei a la dona surfen questions qui lui Sour proposées, pour c 1. O'lgihoyat conformer aux regla Canomiques, obs veer de tour temps dans l' Cylive, жата 3 mas au l'et w sait peus de dispenser de solliciter auprès puy de Sa Majesté, la permussion d'envoyer Pape, une députation qui lui expose Le refers dan By Deplorable dea Egline de l'Empire français en du Royaume d'Italie, en qua puisse conférer avec Sa Sainteté Sur le Paris le 5 juillet 1811. I. And fesch Bunfident +Ch. Fr. Archer. De Bordeaux 7 + Tregonie Cosque de Cormacker chaply Weque de Treves, + François Jaceply Cirque de Townay J. B. brique de "Nante + Maurice fréque de Gand + it autoind lugnede my En voilà assez, croyons-nous, pour donner aux lecteurs de ce livre une idée de l'intérêt que nous présentait notre découverte, aux archives de l'archevêché de Lyon, si complaisamment ouvertes à nos recherches par le regretté cardinal Foulon. Elle va nous permettre d'écrire une histoire inédite du Concile national, avec des documents suffisants pour que l'on puisse aussi se rendre compte d'un point d'histoire jusqu'ici très incomplet dans nos annales religieuses, celui des travaux, des luttes et aussi, avouons-le, des faiblesses du célèbre Conseil ecclésiastique de Napoléon, qui servit de préliminaires au Conseil national. 1. Voici comment il faut lire la note marginale signée par l'Empereur : < Ceci ne répond pas à la question. Elle est: Le Pape se refusant à l'institution, quel est le moyen pour parvenir à la transmission de l'épiscopat et pour qu'aucune Église ne soit vacante plus de trois mois? « Le refus du Pape est constaté par quatre années consécutives, par la bulle donnée à l'archevêque de Malines et par des lettres qu'un grand nombre d'évêques lui ont écrites. « Aucune députation au Pape ne peut avoir lieu avant que la question soit décidée en principe général, soit dans l'application particulière. Sans cela, le Concile se prolongerait à l'infini, << NAPOLÉON. > I LE CONSEIL ECCLÉSIASTIQUE DE NAPOLÉON EN 1810 ET 1811 I Le 10 juin 1809, les Romains, à leur lever, trouvaient, placardée aux portes des églises et au coin des principales rues de la ville éternelle, l'affiche suivante : Napoléon, empereur des Français, roi d'Italie et protecteur de la Confédération du Rhin, << Considérant que, lorsque Charlemagne, empereur des Français et notre auguste prédécesseur, fit donation de plusieurs comtés aux évêques de Rome, il ne les leur donna qu'à titre de fiefs, et pour le bien de ses États, et |