 | Anatole France - French literature - 1890 - 404 pages
...douloureusement à leur maison, à leur femme, à l'humble douceur du champ natal. On les appelait des MariesLouises. Les Maries-Louises furent sublimes....général Delort disait d'eux : « Je crois qu'on perd la tète de me faire charger avec de la cavalerie pareille. » Pourtant ils traversèrent Montereau comme... | |
 | Henry Houssaye - France - 1905 - 682 pages
...des Maries-Louises, ces chasseurs dont le général Dclort disait, au moment d'aborder l'ennemi : " Je crois qu'on perd la tête de me faire charger avec de la cavalerie pareille ! », et qui traversaient Montereau comme une trombe, culbutant les bataillons autrichiens massés... | |
 | Louis Stouff - France - 1906 - 342 pages
...3* Delort « répondit à l'ollicicr qui lui apportait l'ordre de Pajol : «Je crois, en vérité, qu'on perd la tête de me faire charger avec de la cavalerie semblable ! » (Pajol, III. p. 148). — On vient de voir que la relation Delort ne parle point de... | |
 | Anatole France - French literature - 1924 - 408 pages
...leur maison, i leur femme, à l'humble douceur du champ natal. On les appelait des Marie» Louises. Les Maries-Louises furent sublimes. Ils ne savaient...charger avec de la cavalerie pareille. » Pourtant ils traversèrent Montereau comme une trombe en culbutant les bataillons autrichiens massés dans les... | |
 | Anatole France - 1926 - 700 pages
...femme, à l'humble douceur du champ natal. On les appelait des Maries-Louises. Les Maries - Louises furent sublimes. Ils ne savaient pas monter à cheval...charger avec de la cavalerie pareille. » Pourtant ils traversèrent Montereau comme une trombe en culbutant les bataillons autrichiens massés dans les... | |
 | World War, 1914-1918 - 1914 - 84 pages
...des Maries-Louises, ces chasseurs dont le général Delort disait, au moment d'aborder l'ennemi : « Je crois qu'on perd la tête de me faire charger avec de la cavalerie pareille ! » et qui traversaient Montereau comme une trombe, culbutant les bataillons autrichiens massés dans... | |
 | 1910 - 1674 pages
...« Marie-Louise », ces chasseurs dont le général Delort disait, au moment d'aborder l'ennemi : t Je crois qu'on perd la tête, de me faire charger avec de la cavalerie pareille! », et qui traversaient Montereau comme une trombe, culbutant les bataillons autrichiens marris dans... | |
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Louises furent sublimes. Ils ne savaient pas monter à cheval et le général Delort disait d'eux : « Je crois qu'on perd la tête de me faire charger avec de la cavalerie pareille. » Pourtant ils traversèrent Montereau comme une trombe en culbutant... 