M. MAINE (M. le duc du), fils du Roi, se distingue à une affaire en Flandre, 233. Sa réception au Parlement en qualité de Pair de France, 309. MAINTENON (Madame de) refuse délicatement la charge de dame d'honneur de la Dauphine, 34. Ses libéralités envers les dames de la cour, 147. Mariage du duc de Bourbon et de mademoiselle de Nantes, 68. Marly (le château de), Séjour que le Roi y fait avec sa cour, et divertissements, 92. MIGNARD, peintre, fait les portraits du Roi et de la reine d'Angleterre à quatre-vingts ans, 122. Sa mort. Ses dernières ouvrages sont les plus beaux, 326. MOLIERE (Jean Pocquelin). Les princesses et les dames les plus distinguées de la cour figurent dans les intermèdes de son Bourgeois gentilhomme, 130. Le Roi trouve le spectacle fort agréable, et rit beaucoup, 131. MOLINOS, chef de la secte des Quiétistes, mis à l'Inquisition à Rome, 76. Son procès, 98. Meurt dans les prisons de l'Inquisition à Rome, 365. Monnoie. Le Roi ordonnne la fonte de toutes les matières d'or et d'argent employées comme meubles; il en donne l'exemple, 200. Changement dans la monnoie, 201. MONMOUTH (le duc de) est battu par les troupes du roi d'Angleterre, est fait prisonnier, conduit à Londres, et exécuté dans la Tour, 73. MONTAL (Le chevalier de). Paroles qu'il adresse au Roi, et réponse de S. M. 324. MONTCHEVREUIL (M. de). Son désintéressement; ce qu'en dit le Roi, 363. MONTESPAN (La marquise de). Présent qu'elle fait au Roi, 46. Elle lui écrit qu'elle va se retirer à l'abbaye de Fontevrault, 253. MONTPENSIER (Mademoiselle de) meurt dans son palais du Luxembourg, 293. Son testament, ibid. Autre testament présenté par M. de Lauzun, et que le Roi fait ouvrir par le premier Président, 294. N. Nain de 16 pouces âgé de trente-six ans, 104. Eil de verre, 330, 0. Ordre militaire de Saint-Louis. Sa création, 294. Le Roi demande aux princes du sang s'ils veulent bien en être, 297. Réception de chevaliers, 298. Ordre du Saint-Esprit. Réception de chevaliers, 161 et suiv. Procession, 167. P. Parlements et autres cours convoquées à Versailles par le Roi avant son départ pour la Flandre, 278. Ses exhortations aux corps de l'Etat, ibid. Paroles du Roi à M. de Beauvilliers en lui donnant la charge de chef du conseil de finances, 89. Passage du Rhin par l'armée de Monseigneur le Dauphin, 238. Patience et fermeté du Roi pendant l'opération de la fistule. Il tient conseil après midi du même jour et les jours suivants, 110 et suiv. Il veut que le jeu soit tenu comme à l'ordinaire, ibid. On recommence et à plusieurs reprises les incisions dans le mal du Roi, ibid. et suiv. PELISSON, de l'Académie française, premier commis de M. Fouquet. Ses charges, emplois et pensions; il meurt sans croire être malade, 290. Peuples singuliers du Canada, 243. Placets des comédiens Baron et Raisin, 60. PLUVAU (Le marquis de) condamné contumace à avoir la tête tranchée pour s'être battu en duel, 321. PONTCHARTRAIN (Le comte de). Confiance publique sous son ministère, 377. Sommes qu'il fait rassembler en vingt-quatre heures pour le prince de Conti, ibid. Préparatifs du Roi pour le siége de Mons, 253. Présents du Roi aux dames de la cour, 247. Prévot des Marchands (le) fait des présents à la duchesse de Bourgogne à l'occasion de son mariage, 389. Prince royal de Danemarck (le) voyage incognito. Accueil que lui fait le Roi. Cérémonial fixé dans cette occasion, 288 et suiv. Priviléges que le Roi accorde aux habitants de Dieppe pour rebâtir leur ville, 314. Procession du Saint-Sacrement avec le Roi et toute la cour, 260. Q. QUINAULT (le poète) meurt dans la dévotion, 160 R. RACINE (Jean). Il récite dans le cabinet du Roi la harangue qu'il avoit prononcée à l'Académie, 47. Veut veiller par le Roi qui est indisposé, et lui fait lecture des Vies de Plutarque, 354. Mot du Roi là-dessus, ibid. RANUZZI (le cardinal de), nonce du Pape à Paris, reçoit le bonnet de cardinal de la main du Roi. Il dîne avec S. M. et boit à la santé du plus grand Roi de la terre, 107. Cérémonial de sa réception chez les princes et princesses, ibid. REBENAC (M. de). Le Roi le consulte pour savoir s'il veut de l'ambassade de Constantinople, 191. ROQUETTE (l'abbé de) fait le tableau des malheurs de la Bourgogne indiscrettement, 336. RUVIGNY (le marquis de). Manière dont il emprunte 10,000 écus au Roi, 36. S. SABLIERE (la marquise de La) renommée pour son esprit, 288. SANTEUIL,un des meilleurs poètes latins modernes, meurt en Bourgogne, 374. SAVOIE (le duc de). Son mariage avec Mademoiselle; cérémonies et usages dans cette occasion, 30 et suiv. Secours dispensés aux pauvres d'une manière profitable à l'Etat,304. Secrétaires du Roi (prix des charges de), 259. Siége de Belgrade, 149. Siége de Mons. Réponse du Roi à une vedette en visitant les lignes, 255. Ce que dit le comte de Toulouse, âgé de treize ans, en entendant un coup de canon tout près de lui, ibid. Le Roi monte à cheval malgré ses souffrances de goutte, et s'avance jusqu'à la vue des ennemis, 256. Il tient conseil tous les jours, ibid. Honneur qu'il fait à Vauban, 257. Prise de Mons, ibid. Nombre des troupes de la place, ibid. SOISSONS (Madame la comtesse de) va rejoindre à l'armée son mari dangereusement blessé, pour le soigner, 238. Soupers à la cour le jour des Rois, 249, Stratagême des ennemis pour surprendre le camp devant Namur, 284. Suisses au service de France ne veulent pas être exempt de la capitation, 321. T. Tremblement de terre ressenti à Marly, 285. TOULOUSE OU THOLOSE (le comte de), fils du Roi, est reçu au Parlement comme amiral, 317. V. VAUGUYON (M. de La). Sa démarche auprès du Roi après avoir tiré l'épée contre M. de Courtenay dans le château, 263. Le Roi envoie l'un et l'autre à la Bastille pour informer ensuite l'affaire, 264. La crainte d'avoir déplu au Roi lui trouble l'esprit, 285. VENDÔME (les ducs de). Préséance qu'ils réclament au parlement, 307. Elle leur est accordée, 309. VILLEROY (le maréchal de). Le Roi le fait duc, 333. Violences exercées par les soldats sur des gens qu'ils vendoient aux recruteurs. Le Roi leur fait faire leur procès, 322. Visite de tous les magasins de blé du royaume, 299. VOITURE (le poète). Ce qu'il écrit sur la prise de Philipsbourg, 158. Vol fait à un officier. Manière gracieuse avec laquelle le Roi l'en dédommage, 120. ACCIDENTS arrivés à la chasse, 121, 185, 215, 237, 284, 287, 369, ALBE (le duc de). Accueil gracieux qu'il reçoit du Roi à ALBUKERQUE (le duc), vice-roi de Mexique, envoie au Roi ANJOU (le duc d'), petit-fils de Louis XIV. Le roi d'Espagne, ANTIN (le duc d') reçoit le Roi dans son château de Petit- Arrêt fort sévère contre les jeux de hasard, 361. Asti (château d'). Sa prise par les François, 245. Athalie (la tragédie d'), représentée par madame la duchesse de AYEN (le comte d') épouse mademoiselle d'Aubigné, nièce de B. Bals et mascarades à la cour, 30, 62 et suiv. BALUSE (Etienne), auteur de l'Histoire de la Maison de Bouil- BEAUVILLIERS (le duc de) donne de son vivant tout son bien aux pauvres, 41. BERRI (le duc de). Réprimandes et punition qu'il reçoit du Roi pour s'être emporté contre son sous-gouverneur, 28. Sa joie en recevant l'agrément du Roi pour accompagner jusqu'à la frontière, et sans précepteur, son frère le roi d'Espagne (duc d'Anjou); chute grave qu'il fait à la chasse, 215. Sa chasse heureuse dans la plaine de Saint-Denis, 232. Accident qui lui arrive à un feu de la Saint-Jean, 277. Son adresse à la chasse, 281 et 283. Dispositions de mariage avec mademoiselle fille du duc d'Orléans, 360 et suiv. Règlement de son apanage et de ses revenus, 362 et suiv. Fiançailles, 365. Mariage, 366. Cérémonie à cette occasion, 367. BERWICK (le maréchal) commande en Espagne sous le Roi, 244. Il gagne la bataille d'Almanza, 273. Est nommé pour commander l'armée contre le duc de Savoie, 280. BOILEAU (Despreaux). Sa mort, 375. BOISSEUL (M.) le meilleur homme de cheval qui fut en France. Sa mort, 327. BONTEMPS, premier valet-de-chambre du Roi, meurt de paralysie à Versailles, 105. Il a fait beaucoup de bien et n'a jamais fait de mal, ibid. Il emporte les regrets du Roi, qui ne manque pas de les témoigner, 106. BOUFFLERS (le maréchal de) défend Lille avec beaucoup d'intrépidité, 319. Est forcé de capituler, ibid. Le Roi le comble de distinctions, 320. Il est reçu comme pair au parlement, 328. Son discours sur cette occasion, ibid. Il part comme volontaire en Flandre pour aider le maréchal de Villars, 345. Bonne intelligence entre ces deux maréchaux, 346. Sa tendresse pour ses enfants, 375. Honneur qu'il reçoit du Roi, 376. Sa mort, 398. Son éloge, 399. Cérémonie funèbre, ibid. BOUILLON (le cardinal de) se fait enlever par des troupes ennemis, 357. Sa lettre au Roi, ib. Son procès au parlement, 359. Décret de prise de corps, 364. BOURGOGNE (le duc de). Le Roi le fait entrer dans le conseil de dépêches, 48. Réforme son gros jeu, 151. Renonce à la danse et pourquoi, 155. Reçoit avec une joie démésurée la nouvelle de son départ pour l'armée, 181. S'enferme avec Fénelon son instituteur alors disgracié, 182. Son retour à Versailles, 191. Est appelé M. le Dauphin après la mort de son père, 384. Son économie, 387. Son application aux affaires, 389. BOURGOGNE (la duchesse de). Ce que pensoit le Roi à son égard, 371. Il lui laisse la libre gestion de ses affaires, ib. Sa réponse aux courtisans qui la pressoient de jouer, 398. BRANDEBOURG (l'électeur de) se déclare premier roi de Prusse, 102. Le Roi rappelle son envoyé, 104. BRETAGNE (le duc de), fils du duc de Bourgogne, sa naissance, |